/!\ ÉPOQUE DES MARAUDEURS /!\
Des amitiés fortes, de l'amour, des secrets...
Ils mènent de vies d'adolescents normaux, malgré les petits aléas que la vie leur impose.
Mais ce ne sont pas des adolescents normaux, ce sont des sorciers. Leurs vies sont...
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-1er Septembre 1971, Poudlard Express-
Severus passa à côté d'eux en les bousculant et traça son chemin avec Lily. James ne comprenait pas ce que le garçon venait de faire,pourquoi il avait agit ainsi. Il allait sûrement se faire une amie et lui la lui enlevait de la sorte. Ça ne se passerait pas comme ça, il en était sur. D'autant plus que cela ne semblait pas dérangeait la petite rousse de leur parler à lui et Siruis.
- Il est malade ! Il a failli faire tomber nos boules puantes ! S'exclama Siruis.
- Il est vachement louche ce type.
- C'est un euphémisme !
- Severus. Plutôt Servilus !
- Pour qui se prend t-il ?
Son nouvel ami était d'accord avec lui. Décidément, ils ne partageaient pas que l'envie de mettre le désordre partout où ils allaient. Il en était certain, ils deviendraient de bons amis. Si tenté soit-ils qu'ils se retrouvent dans la même maison.
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-Mai 1974, dortoir des Maraudeurs - Poudlard-
- Vous êtes sûrs que Franck dort ? S'assura James.
Remus Lupin se leva du lit de son ami, alla vers le lit du dit Franck et claqua des doigts devant son visage.
- Ouais, il dort.
- Très bien, l'autre jour j'ai eu une idée lors du cours de sortilèges. Vous vous souvenez ce sortilège qui permet de savoir où se trouve une personne, quand et a quel instant ?
Les trois hochèrent la tête pour approuver. L'autre jour, lors du cours du professeur Flitwick, ce dernier avait abordé très rapidement le sujet d'un sortilège qu'il menaçait de jeter à Marlène Mckinnon, une Serdaigle avec qui ils partageaient ce cours, si elle continuait d'arriver en retard. Il avait aussi explicitement préciser, lorsque tous les élèves s'étaient subitement montrés intéressés par ce sortilège, qu'il était excessivement difficile de faire ce sortilège.
- Comment oublier ? Ce serait super utile avec cet idiot de Rusard et son horrible chatte, ou même Peeves.
- Tu lis dans mes pensées Siruis ! Alors voilà l'idée que j'ai eu.
Il leur dépeint alors le tableau d'une carte, une carte ensorcelée sur laquelle ils pourraient voir quand Rusard se déplace, et à quel endroit. Peter avait directement semblait emballé par l'idée, et Siruis de même.
