Le temps du renouveau

Le retour

Le temps filait vite, le mois de décembre arrivait à grands pas, quand en ce 20 Novembre, un hibou toqua à la fenêtre de la brune elle décrocha la missive du bel hibou et déplia le parchemin. C'était Albus Dumbledore qui lui envoya une convocation, elle ne comprenait pas ce parchemin mais ça avait l'air important et urgent, elle sortie de sa chambre emportant avec elle sa baguette et sa cape, car les couloirs à ce moment de l'année étaient des vrais nids à courant d'air. Elle arriva dans la salle commune et s'étonna de ne pas voir Théo sur la table basse à étudier mais ne s'en formalisa pas, elle continua son chemin, arrivée dans le couloir qui gardait la gargouille menant au bureau du directeur Hermione tomba sur Harry, Ron et Ginny, elle fronça les sourcils avant de leur demander

- Vous aussi vous avez reçu un parchemin du directeur?

- Oui, d'ailleurs nous n'avons rien fait de répréhensible je ne comprend pas.

- Dans ce cas là Harry le mieux c'est d'y aller.

- choco grenouille

La gargouille s'ouvrît laissant place à ce grand escalier en colimaçon qu'ils empruntaient sans un bruit, puis Harry toqua à la porte, le directeur leur intima d'entrer. Quel ne fut pas leur étonnement en voyant dans le bureau Drago, Blaise, Pansy, Daphné, Théo et Luna.

- Vous voilà enfin tous les quatre, je vous attendais pour commencer.

Le directeur avait l'air inquiet, mais il était souriant.

- Je n'ai pas de bonnes nouvelles, à vous annoncer, je ne voulais pas y croire mais force est de constater que les preuves sont accablantes de vérité je ne vais pas couper le chaudron en quatre, Bellatrix Lestrange est vivante. La nouvelle tomba laissant les adolescents pantois, Hermione porta machinalement la main à son avant bras et fut parcouru de frisson. Dumbledore poursuivit.

- Elle à été vu aux États Unis nous pensons qu'elle a fabriqué un horcruxe ce qui expliquerait son retour dans le monde des vivants. Miss Granger, nous avons des alliés sur le sol Américains, des personnes que vous connaissez enfin surtout une puisque c'est nul autre que votre cousine Isabella Cullen.

La brune fronça les sourcils, et lança un regard interrogateur au directeur.

- Pardonnez moi professeur mais c'est une moldue, comment pourrait elle nous aider?

- Les choses ne sont pas toujours celles que l'ont crois connaître miss Granger gardez bien cela à l'esprit.

- Excusez-moi professeur mais qu'est-ce que ça a avoir avec nous.

- Miss Parkinson vous partirez tous les dix si vous l'acceptez dans le but d'en savoir plus et d'éviter le retour d'un nouveau mage noir. Je ne peux malheureusement pas m'éloigner du château et du ministère ce que vous comprenez bien, les membres de l'ordre ne peuvent eux non plus se soustraire à leurs obligations, donc je me vois dans l'obligation de vous en demander encore trop, mais sans vous la paix sur le monde magique est incertaine.

Les dix adolescents étaient sans voix, Ron ne tenait pas en place, Ginny avait le regard rivé sur Harry, qui lui avait déjà la tête sans des spéculations, Drago n'en revenait pas il réfléchissait à un plan d'attaque, Blaise serra la main de Daphné qui lui serra en retour, Pansy avait les larmes aux yeux serrant le bras d'un Théo livide, Luna regardait les tableaux des anciens directeurs qui écoutaient attentivement le discours d'Albus Dumbledore.
Hermione quant à elle était dans un état second, cette guerre ne finirait jamais. Bella elle ne l'avait pas revu depuis son mariage elle sourit face à ce constat elle qui était contre ce symbole s'était mariée à l'âge de 18 ans. Mais quel était donc son point commun avec la magie elle ne savait pas pour sa condition de sorcière comme tout le reste de sa famille, sa mère était partie en Angleterre pour un séminaire de futur dentiste et avait rencontré son père depuis ce jour ils ne se sont plus quittés et Jean Granger, Dwyer de son nom de jeune fille, n'avait que très rarement remis un pied aux États Unis ayant refait sa vie ici, sauf pour certain évènements familiaux comme le mariage de Bella et Edward son mari. Hermione sortie de sa léthargie quand une question sortie d'elle même de sa bouche.