Quatrième entretien

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        Encore vous ! Votre article n'avancera jamais si vous persistez à venir avec cette tenue. J'ai encore un bon souvenir de votre poitrine...elle était exquise. Vous aussi vous en gardez un bon souvenir, j'en suis heureuse. J'ai une question. Pourquoi ne portez-vous pas de culotte ? Pour avoir un autre souvenir... très bien. Je verrais ce que je peux faire. C'est vos supérieurs qui doivent être heureux d'avoir une journaliste aussi dévouée, corps et âme.

        Ma première expérience avec une fille ? Vous voulez qu'on parle de ça. Allons y. Je sens que vous essayer de vous émoustiller toute seule. Elle s'appelait Magaly. J'avais déjà vingt-deux ans, oui les filles s'étaient un peu plus tard. Elle avait tout juste dix huit ans. Grande, élancée, les cheveux clairs, très longs, des yeux gris, une paire de seins jamais touchée et un sexe glabre. Elle était douce, je me souviens surtout de ça. Je l'ai regardé pendant longtemps, allongée sur le lit de l'hôtel, elle avait la peau si claire, comme si elle ne connaissait rien du monde, qu'on l'avait gardé précieusement cachée pour ce jour. J'avais presque peur de la toucher, de l'abîmer. Ses cheveux caressaient son corps, ils le chatouillaient. Je me suis posée à coté d'elle, et je l'ai touchée du bout des doigts. Elle avait un rire sincère. Je n'ai pas pu lui faire du mal à elle. J'avais envie de la protéger. Mais elle s'est mise au-dessus de moi, elle se caressait le corps, en soufflant doucement. Elle a glissé en bas du lit et a posé ses lèvres sur mes jambes, puis elle est remontée, c'est de sa faute, c'est elle qui m'a excitée. Après ses premiers coups de langue, je ne pouvais plus me contrôler, j'avais envie d'elle, d'entrer en elle, de lui faire des choses qu'elle ne connaitrait plus jamais. Elle était vierge. Elle était belle. On aurait dit un ange.

        Plus jamais je n'ai retrouvée quelqu'un comme elle. Les autres ont été des femmes que je voulais voir souffrir, que je voulais prendre sans ménagement. Elles ont été mes bêtes, mes muses, mes soumises. Je les ai prises et je les ai tuées sans peine. Je... je ne veux plus parler...partez ! PARTEZ !

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