giustizia [ Terminée]

la présentation

Les rues du bas quartier étaient emplies,la population s'était réunie comme l'avait demandé les rois et les prêtres. Au milieu du peuple,s'éleva un homme en longue blouse blanche,il était un peu vieux, sûrement dans la cinquantaine,et derrière lui des hommes un peu plus jeunes mais mâture en blouse de couleur rouge. Il s'avança vers la population comme s'il cherchait un angle pour se faire entendre sans problème. Il racla la gorge au-moins deux fois et entreprit de parler enfin:

- Population de Danville je m'adresse à vous (prend une pause et reprend), si je suis à me tenir débout devant vous, c'est parceque dieu m'a parlé et chargé de vous livrer son message. Si jusqu'ici la population était silencieuse,à ses derniers mots des brouhaha et des chahuts commençaient à y siéger. Il reprit:
- dieu m'a dit '' notre ville est maudite à cause de ne nombreux péchés,voilà pourquoi nos terres ne produise pas,et la sécheresse tarit nos recoins d'eau,et aucune trace de pluie. Nous n'avons aucune chance de survivre si nous nous entêtions.la solution est que nous nous réunissons pour un chaîne de prière.pour pouvoir participer à la chaîne de prière il faudrait déposer assé d'argent dans le pagné de récolte de dieu et des animaux en sacrifices. Les villageois se regardèrent les uns après les autres. Parcequ'ils connaissaient bien leur difficulté à se nourrir à payer la maison aussi les écoles pour les enfants. La tristesse commençait à se dessiner sur leur visage, certains se demandaient ''faudrait-il sacrifier les dernières reserves pour qu'elles s'accroissent ?" Et pour d'autres '' ces gens là nous ont déjà trop extirpé de l'argent à travers les taxes à payer pour rester sur nos terres,les coûts fort élevé des aliments dans les marchés, n'en ont-ils pas marre?". Tout le monde était confus, personne ne dédaigna parler. ''menteurs,voleurs,démons'' cria une voix fortement masculine, elle continua la cadence de mots vulgaires en leur langue maternelle,enfin on vit un jeune homme diviser la foule dans sa marche,il vint s'arrêter net devant les prêtres et rois.

- N'en avez-vous pas mare de torturer cette population ?? On a de la peine à produire à cause de la sècheresse,et vous ne nous rendez pas la tâche facile. Reprocha-t-il dans la langue commune, celle là que ne parle que ceux qui ont étudié dans les grandes écoles grâce aux bourses, cette langue que parlait les prêtres et les rois, difficile à la population de comprendre,ceux ci attaché à leur langue natale.

- veuillez reprendre votre place initiale monsieur. Ordonna le prêtre d'une voix de dignes.
Le jeune homme joua les sourds et reprit:
- vous n'êtes pas obligé frères,ils ne nous apporteront pas la paix. Une fois achevé,il descendit dans la place et s'en alla,et c'est ainsi que plusieurs personnes firent de même. Ceux qui étaient gagné par la peur obéirent aux rois et aux prêtres.