giustizia [ Terminée]

Sauveur

      Ils venaient d'arriver devant la cathédrale et les soldats bâillonnèrent les prisonniers qui avaient le dos nu et fouetter avec des fils barbelés, pendant ce temps Dan était forcé à suivre le spectacle à genoux devant un Damoclès. Le vent portait les grognements presque sourds de ses amis,et les rires du babbo et du ré qui leur cria d'hymner son pouvoir. À chaque coups portés,Dan serrait la mâchoire tout en priant que ses amis à l'extérieur reviennent à temps.
Il écarquilla avec horreur et inquiétude ses yeux quand il perçu un d'eux ne plus réagir aux coups. Il cria son nom,sans réponse. Le pauvre s'était évanoui de douleur,mais ceci ne dérangeait point leurs persécuteurs.

- c'est l'heure. Lâcha le re et un soldat mis la tête de Dan dans le creux du Damoclès.

- Arrêtez par pitié !!! Hurla une voix féminine qui se rapprochait. Il l'avait reconnu,mais ceci n'accentua que ses inquiétudes. Pourquoi était-elle là ?

- svp arrêtez,vous avez déjà ce que vous voulez, pourquoi tout ce sang? Hurla-t-elle en colère et en larmes. Le camp ennemi l'espiègla tel un déchet ou un être sans importance,le re mouvementa son index et ses soldats continuèrent à porter des coups à leurs prisonniers.

- va-t-en ma chérie. Lui cria Dan voyant qu'il était sur le point de mourir. Elle ramassa une pierre pour viser au garde qui tenait la vie de son amant.
''gagner du temps,il faut juste gagner quelques secondes'' n'arrêtait-elle pas de se le dire en écho dans sa tête. On vint la saisir violemment apres son acte,ce qui désorienta le re . Puis c'est un tremblement de terre qui se fit entendre,des charres de guerres envahissèrent le lieu, c'était la police territoriale,avec elle au-moins c'était sûr qu'ils retrouveraient leurs terres et sans plus de craintes. 
Étant d'un plus grand nombre que les soldats du côté adverse, c'est sans encombrement qu'ils les saisirent et les attachèrent tout en leur privant de leurs armes de guerre.

Quant-à la jeune fille,elle s'était tout de suite précipitée vers son amant pour le défaire de ses noeuds.

- Ma petite chérie. Disait-il une fois detaché et couvrant son visage de baisés .
- Tu n'as rien ? T'es pas blessé ? Reprit-t-il.
Elle lui sourit en larmes,juste immaginer qu'elle pouvait le perdre lui fendait le cœur. Elle comprit en l'enlaçant, qu'elle devrait profiter de leurs instants de vie,avant que la mort ne les emporte.

Peu de temps après,des états ont été alarmés de l'injustice dont avait été victime le peuple rebelle, le ré ,le babbo,furent arrêtés et condamnés après les nombreux témoignages de leurs victimes,quant à leurs états complices,ils furent sanctionné de laissé chacun un tiers de leur terrain et de leurs richesses à la population rebelle en attendant que la leur ne fleurisse de nouveau.
C'est ainsi que le peuple de Thréonine et Dan émigrèrent sur les terrains qui leur étaient ouverts. Et ce sont ces terres qui accueillirent leur bébé qui n'avait cessé de se développer. Mais de ce qui était des générations du peuple rebelle,elles eurent la joie de découvrir une terre remplie de richesse que leurs grands parents avaient lutté pour protéger.

Fin