giustizia [ Terminée]

plus fort

         
           Les rois mettaient un peu de pression aux dirigeants de la Prussia. Ceux ci sans perdre du temps, s'emparèrent des papiers qui se dirigeaient vers eux par l'intermédiaire des doigts du ''re''.
- Quel est ce vacarne? Interrogea un des soldats qui escortaient les dirigeants prussians. Subitement on entendit des bruits de vitres cassées,des rebondissements de pierres contre les toîts du château.
Tout le monde se leva brusquement,le ''re'' fit signe à ses associés et prussians de rester dans la salle et de signer.
Dan s'était en allé faire appel à un ami intime qui avait un peu d'influence dans la région voisine,et ensemble ils ont convaincu tous les habitants de toutes les régions du pays,de leur aidé dans leur combat.
Le temps que les soldats mirent à  se rendre compte de la situation,la population fracassa à coups de pieds et biles de bois l'immense porte d'entrée du château. Par derrière c'étaient les fenêtres qui laissaient pénétrer un tas de personnes. Tous munis d'armes,ils immobilisaient les soldats et généraux. Dan sortit de la foule et s'empara des papiers que tenait le dirigeant prussian.Il le parcouru du regard avant de les lever au ciel et de hurler de joie.
- Pas de signature !!
Les ''houra'' et cris de joie des populations envahirent la pièce et firent des échos dans tout le palais. Dan prit plaisir de les déchirer, ensuite les émietter,puis se dirigea vers le ''re'' et lui tint tête :
- on ne vous veut plus,et on se battra pour vous voir hors de notre pays.
Ils relâchèrent les soldats et montraient les armes ( fourches,haches, épées,etc...) en leur direction,les poussant eux, les prêtres et rois hors des frontières.

  La nuit était éclairée par les feux de camps et les lampes. Et les chants,cris,et rires heurtaient le drap étoilé.
   Thréonine remarqua que Dan s'était éloigné de la fête après avoir remercié comme il se devait les populations voisines,et décida de le rejoindre.
- Que fais-tu là ? Tu es le héro de la fête, alors ta place n'est pas içi. Dan souria.
- Je n'y aurais pas pu tout seul. Vous avez été tous braves, courageux et incroyables. Il avait encore un peu du mal à y croire, seront-il libres pour de bon? Mais pour le moment l'important c'était ce sourire sur le visage de la population,et leurs traits de visage détendus.
Thréonine lui prit la main.
- Vraiment merci, désolée de t'avoir traité de lâche la dernière fois,tu es celui qui a fait revivre l'espoir dans nos cœurs. J'aurai aimé que mes parents soient là,papa aurait aimé le vin. Elle fit une pause comme pour ravaler ses sanglots et leva ses yeux tristes au ciel. Elle sentit la main masculine sur sa joue.
- Tu n'as pas à t'en faire,ton père était un grand homme,il savait ce qui l'attendait,mais il les a affronté, vois-tu,je me battrai toujours en gardant son geste à l'esprit. Il voulait la réconforter,mais il savait qu'il ne devait pas s'égarer à laisser ses émotions prendre le dessus, alors il retira lentement sa main.
- Encore merci,tu es mon héro.