la signature

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        Face à l'incapacité du peuple d'être utile aux ''re'' et au ''babbo'',et à la sécheresse du pays,ils mirent le projet de vendre le pays à une puissance intéressée sur pied.
  La Prussia était une grande puissance ,alors le fait qu'elle accepta l'invitation d'entrer en possession des terres de Danville,renvoya à ravir les ''re'' et papes. Ceux-ci s'empressèrent de fixer une date pour établir les choses sur papier.

  La nouvelle circulait dans les quartiers et parvinrent aux oreilles de Thréonine qui s'inquièta et projetta d'aller voir l'homme en qui elle remettait tous ses espoirs ces derniers temps, balayant du revers de la main ses interdictions formelles d'y remettre pied.
           Une fois devant la porte de la maisonnette,elle frappa fortement, et des grognements en suivirent.
- Que fais-tu là? Grondat-il en inspectant les alentours.
- Rassure toi je me suis assurée que personne ne me suive . Dit-elle  .
- Oui j'suis très rassuré. Il lui prit le bras pour l'attirer à l'intérieur.
Elle pu constater qu'il s'apprêtait pour un voyage.
- Tu t'en vas ?  Lui questionna-t-elle.
- Oui-Oui. Dit-il en rangeant les affaires restantes dans un sac un côté,mal brodé. Elle fonça sur celui qui était sensé détenir les vêtements du jeune homme.
- Autant de vêtements pour qu'elle raison ? Tu t'en fuis? Tu nous abandonnes à notre sort? Pointilla-t-elle avec stupéfaction. Mais Dans ne répondit pas et continuait de ranger ses affaires.
-Tu n'es finalement pas si fort,si courageux que je ne le pensais,tu n'es qu'un lâche. Lui hurla-t-elle à la figure,et sortit de la pièce en larmes.
   Le jour de l'assise entre les dirigeants de Danville et ceux de la Prussia était arrivé. La population pouvait voir les bâteaux étrangers accoster sur leurs rivages. Des hommes en beaux vêtements défilaient dans les rues pour arriver au lieu de rendez-vous, situé au cœur de la ville.
Thréonine ne savait que faire, elle avait fini par se dire que c'était leur destin,il n'y avait rien à faire.
Les dirigeants de la Prussia entrèrent et siégeaient autour d'une immense table.

- Nous vous souhaitons la bienvenue. Le babbo venait d'entrer et ensuite ce fut les rois encore appelé ''re'' qui firent leur apparition dans la salle.
- Avez-vous jetté un coup d'œil sur le territoire en venant? Reprit le babbo.
- Ne vous inquiétez pas, nous avions eu à  envoyer un espion bien avant votre proposition pour qu'il inspecte les lieux. Informa un dirigeant de la Prussia.
- Et j'espère que vous êtes toujours intéressés. Demanda les rois.
-  Bien évidemment. Acquiesça-t-il.
Le babbo poussa une pile de documents à signer à leur égard.
- vraiment désolé de vous presser mais on aimerait pas traîner.

giustizia [ Terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant