Je ne sais plus quoi faire, ni quoi pensée. C'est comme si toute la pression exercée c'est dispersé, que des millions de papillons ont prient leur envolent dans mon estomac et que mon cœur manque quelques battements. Je suis paralysé, je ne sais pas quoi faire. Je reste fixe, essayant de comprendre où j'en suis. Mon cerveau ne contrôle plus mon corps. Ses lèvres douce me donne envie de répondre à son baisé, mais non, je n'y arrive pas. Ces longues minutes semblent des minables secondes.
Il se détache de moi, je me sens seule. Je n'ai pas bougée, je n'ai rien fais. Je suis stupide, j'attend ça depuis tellement longtemps et je ne réagis même pas.
"Je... Désolé" dis-je minablement. "Je t'aime tellement" marmonnais-je.
Il me regarde dans les yeux. Son visage est impassible. Puis un rire moqueur et à la fois franc sort de sa bouche.
"Tu m'aimes? Moi je te déteste" rigole-t'il. Je n'ai qu'une seule envie. Partir, courir, m'enterrée, je ne sais pas, mais être hors de sa vue.
"Alors pourquoi tu m'embrasses hein?!" Je suis à la limite de l'énervement. Je suis pétrifié, honteuse.
Je lève ma main en l'air, mais au moment où je l'abat sur lui, il m'attrape le poignet.
"NE ME FRAPPES PAS, JE NE SUIS PAS TON CHIEN BORDEL!" Cri-t'il, me poussant contre un mur, toujours me serrant le poignet.
"Alors arrête de jouer avec moi" murmurais-je. Au point où j'en suis, autant tout dire. Quelques larmes coulent sur mon visage.
"Ne pleure pas. S'il te plait" chuchote-t'il en mettant sa tête dans le creux de mon cou.
Il est bipolaire. Mais genre vraiment.
Je me détache de sa prise, pendant son moment de faiblesse et cour.
Je ne sais pas où je vais, mais loin de lui. J'arrive devant la porte des toilettes. Tiens, ça m'avait manquée cette endroit paisible. Je ferme la porte principal des toilettes féminine et me laisse tomber au sol.
Les larmes ravages mon maquillage, je tremble, j'ai froid. Je ne me sens pas bien du tous. Je peine à me relever, mais y arrive après 5 minutes. Je me regarde dans le miroir. Le changement me frappe. Comme une gifle.
Regarde toi pauvre fille. On dirai une baleine. Un cachalot échoué minablement, sur la plage. Et tu crois vraiment que Zayn va aimer "ça"? Tu fais le double de ton poids qui correspond à ta taille. Tu mériterai de crevée. De mourir. Il y a des gens qui doivent vivre, et d'autre mourir. Tu sais de quel camps tu appartiens. Tu es grosse, conne, moche. Crève.
"Arrête" sanglotais-je. Je me roule au sol.
Arrête? Tu veux que j'arrête? Mais arrêté quoi exactement? Je ne fais rien de mal, je te dis juste ce que tu es et ce que tu mérites. Tu ne devrais même pas existé. Tu pourris l'humain, tu le rends plus minable. Fais quelque chose, mais pour l'amour de Dieu minci! Tu es juste... Honteuse, dégoûtante.
"ARRÊTE, ARRÊTE, ARRÊTE, ARRÊTE. PUTAIN ARRÊTE. JE NE T'AI RIEN FAIS ARRÊTE" Criais-je désespérément. J'en ai mal. Je me bouche les oreilles, espérant ne rien entendre. Mais la voix est plus forte que n'importe qui. Elle résonne dans ma tête.
Tu ne m'as rien fais? Tu plaisante la j'espère? Tu es la cause de tous ce qu'il t'arrive. Tu es celle qui à tous fais pour te pourrir la vie. Tu es détruite, regarde toi! Tu fais genre de rien, mais tu ne peux même plus te relevée. Tu es faible! Alors non je n'arrêterai pas. Je ferai tous pour que tu souffres comme je souffre. Je ferai tous pour te détruire, plus que tu ne l'es déjà.
Je n'ai même plus la force de répondre. Je suis fatiguée. J'ai faim. J'ai soif. Mais, je suis grosse. Je pleure, j'ai mal au cœur. Je ne suis pas bien. Je ne suis même pas capable de ne pas pleurer. Il a raison. Je suis faible.
Je me relève, comme je peux contre le mur. J'ai besoin d'elle. Si seulement elle était la pour moi, comme elle l'est d'habitude. Je sors en trombe des toilettes et cours dans la cour. J'entre en trombe, faisant quelques surpris à mon passage.
Je cours jusqu'à elle et l'emporte avec moi, avant de ressortir aussi vite que je suis rentrée. Elle est la, avec moi. Tous ne peux que bien ce passée.
Je cours au toilette et m'enferme à nouveau dans celle-ci. Je me jette au sol. Il est froid. Comme l'es mon cœur. Je ne sais même pas pourquoi je me suis jetée au sol, c'est comme si on m'avait poussé.
Aller. Mutile toi. Et meurt au passage. La mutilation c'est la seule chose qui t'accepte. Tu es nul. Aller. PUTAIN MUTILE TOI BORDEL.
Je sors cette lame que je garde toujours dans ma trousse et la pose sur mon bras. La fraîcheur de la lame me donne la chair de poule. J'ai tenu tellement longtemps. C'est incroyable. Je la fais glissée légèrement, mais durement sur ma peau. Un petit pincement ce fait ressentir, et quelques gouttes de sang se forment.
Ça fait du bien. Ça m'avait tellement manqué. Et je recommence, jusqu'à que je n'arrive plus à en faire d'autre. Jusqu'à que je me vide de mon sang. Jusqu'à que je meurs.
C'est ça, meurt.
"Tu as gagné de toute façon" murmurais-je. Je trace un dernier traits et range ma lame. Je sang coule. Je le sens. Et j'aime ça.
Mais.. Je sais que je ne vais pas mourir. Je n'ai pas fais assez profond de toute façon. Je ne peux pas mourir.
Je me relève et sors en cavale des toilettes, malgré la scène de crime, au sol, causé par ma faute.
Je regrette tous de suite mon action, une fois dehors. Non seulement parce que mon bras me fait légèrement mal, mais aussi parce que je tombe nez à nez avec Zayn.
"TU FOUS QUOI LÀ" ma voix est étonnement forte, ce qui le surprend.
"Calme toi Linn" Dit-il doucement, tout en ce rapprochant de moi.
"NE M'APPROCHES PAS, NE ME TOUCHES PAS" je recule et fini pas me cogner contre le mur.
"Shutt" il pose sa main sur mon bras et l'enlève instantanément quand il a dut sentir un liquide froid.
"C'est toi. C'est toi qui m'a fais ça" dis-je calmement. Trop calmement.
Tu es grosse et moche donc c'est de ta faute. Bon à rien. Sale conne. Crève, il ne t'a rien fait lui. Il t'a juste dit ce qu'il ressentait et ce qu'il voyait. Dégage maintenant. Cour, va maigrir. Perd ce ventre proéminent. Casse toi de cette foutu terre. Tout est de ta faute, arrête d'accusé tous le monde. Surtout lui. Meurt. Lui, au moins, mérite de vivre. Pas toi.
"TA GUEULE TOI" dis-je en donne un coup de poing à la source de cette voix. Je ne savais pas exactement où il allait atterrir. Je compris seulement quand je sentis une douleur sur la joue. Je venais de me frappée.
___________________________
Voila, un chapitre pour souhaité les vacances 😘 bonne vacance pour la Zone A (la mienne). Courage pour les autres, c'est dans pas longtemps! Je vous aime fort 😍❤️ merci pour toutes ces vues omd 😵 continué à partager cette histoire 😙 merci 😊-LinnxXx 💕
VOUS LISEZ
Help Me [TERMINER]
RandomAider moi. Aide moi Zayn. Mais pourquoi je lui demande de m'aider? Puisque c'est lui qui me la pourrit. Lui et ses amis. Mais ses amis, je m'en fous. C'est lui qui m'intéresse. C'est lui que je veux. Puisque c'est moi qui l'ai abandonné. Pourtant j...