BONJOUR TOUT LE MONDE ❤️❤️❤️
JE VOUS AI CONCOCTÉ CETTE NOUVELLE CHRONIQUE EN ESPÉRANT QU'ELLE VOUS PLAIRA.
CEUX QUI ONT DÉJÀ LU LE DÉBUT DE L'ERREUR SUR FACEBOOK OUBLIEZ TOUT ET RELISEZ ICI CAR L'HISTOIRE VA BEAUCOUP CHANGER.
LES VOTES ET LES COMMENTAIRES SONT TRÈS IMPORTANTS POUR LE DÉBUT D'UNE CHRONQIUE ALORS JE COMPTE SUR VOUS.
À VOUS DE VOIR SI VOUS VOULEZ QU'ELLE CONTINUE OU PAS.
AYTHIA ÑU DEM!! 😁😁😁
❌❌❌❌❌❌Je tiens à préciser que cette œuvre traite de sujets sensibles comme la dépression, l'automutilation, la torture, l'harcèlement, les attouchements sexuels sur mineurs donc certaines scènes pourraient choquer.
C'est dans un but de dénonciation bien sûr mais si vous êtes déjà dépressifs ou avez subit des traumatismes en rapport à l'un de ces sujets, ne lisez pas s'il vous plaît. ❌❌❌❌❌
Aussi loin que je me souvienne, je n'ai jamais eu d'amis.
A la maternelle et au primaire, j'avais bien eu quelques camarades dont il ne me reste plus que des souvenirs vagues et désordonnés mais nous nous sommes éloignés aussitôt qu'il a fallut changer de classe et après d'école.
Au collège et au Lycée par contre, je n'ai même pas eu droit à cette camaraderie, même éphémère. Au contraire, personne ne voulait se montrer en ma compagnie. J'étais la paria, la fille à éviter. Comme si j'étais porteuse d'une maladie invisible, répulsive et surtout incurable.
On m'appelait communément la « deum ».
Par « deum », il faut comprendre « satan » ou « sorcière » ou whatever you want. En résumé, rien de positif. Pour eux j'étais une personne étrangère, comme si je venais d'un autre monde. Pourquoi? Je ne saurai vous le dire clairement.
Il faut savoir que je suis le genre de premiere de la classe que tous les professeurs adulent. Ils ne manquent pas de faire remarquer aux autres qu'il fallait prendre exemple sur moi.
Je comprends que ça les foute en rogne de se faire rabâcher à longueur de temps ce genre de remarques mais est ce une raison suffisante pour me mépriser autant?
Pour s'attaquer à moi directement?
Et oui, je me fait harceler depuis la sixième. J'ai vécu toutes formes d'humiliations allant du simple crochet de pied en cours de sport et dans les couloirs au bain de sable à la sortie avec les habits déchirés et le visage en sang.
Tant de souvenirs qui me hantent jusqu'aujourd'hui.
Je suis en terminale actuellement et même si les coups et les insultes ce sont transformés en piques salaces et indifférence, ça fait toujours aussi mal.
Je suis une éternelle solitaire, j'envie les autres filles belles et coquines de ma classe, je regarde avec résignation les garçons qui viennent leur rendre visite à la sortie de l'école car comme vous l'aurez deviné, à 19 ans, je n'ai jamais eu un seul copain. Que dis je? Personne ne m'a jamais dragué, aucun garçon ne me regarde et je les comprends.
En plus de ma timidité maladive, physiquement je ne suis pas très avantagée. J'ai des yeux énormes qui me sortent presque de l'orbite, mes iris sont d'un marron trop clair qui me complexe énormément. Des fesses plates à l'instar de tout le reste de mon corps sauf ma poitrine. Elle, elle est tellement énorme que j'ai du mal à la faire tenir dans un soutien-gorge.
Je fais un mètre soixante six. Certains diront que c'est acceptable mais je suis la plus petite de ma classe. Les autres sont grandes et magnifiques. Je n'ai ni le teint clair et éclatant de Sally ni celui noir d'ébène magnifique de Soda. Le mien est d'un marron variable en fonction des envies du soleil.
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L'erreur
RandomSon cœur, trop pur pour ce monde corrompu, Voulait éradiquer toute cette noirceur, Personne ne voyait sa douleur dissimulée, Elle cherchait juste un peu de chaleur. Reconnaissance, elle désirait ardemment, Être acceptée, comme les autres, simplement...