Ne me laisse pas [Livaï x Oc]

Chapitre 3 : Grand-père

Erwin, Livaï et moi venait d'arriver au district de Ehrmich. Pendant le trajet, un messager nous avez livré où était le commandant Pyxis plus précisément. On était devant la maison d'un riche. La Brigade Spéciale gardent les lieu.

Brigade Spéciale: halte, vous êtes pas autorisé à aller plus loin.

Erwin: je suis Erwin Smith, je fais partie du bataillon d'exploration et je voudrais m'entretenir avec le commandant Pyxis

Brigade Spéciale : Le commandant Pyxis est en train de faire une partie d'échecs donc cela va pas être possible

Erwin: dites lui juste que Hakai voudrait le voir

Brigade Spéciale : Hakai ? Je viens de vous dire que on va pas le déranger pour si peu

Livaï : Tu fous rien de ta vie à part boire et jouer au carte donc c'est pas maintenant que tu vas bien faire ton boulot

Brigade Spéciale : partez d'ici ou sinon je vous arrête

Erwin : Laisse tomber Livaï, on part

Livaï : et on va faire quoi de la p..

Livaï regarde la où je devrais me positionner logiquement.

Livaï : elle est ou la gamine ?

Je venais de m'infiltrer en douce dans le bâtiment pendant que Livaï engueulais le mec de la brigade Spéciale. Je marchais dans les grands et longs couloirs en essayant de ne pas me faire voire. Deux personnes de la brigade Spéciale est en train de parler, je me cache derrière un mur pour écouté leur conversation au cas où si il livre des informations sur le commandent Pyxis.

Brigade Spéciale : attention une gamine est entrée dans le bâtiment on essaye de la trouver sans que les supérieurs ne le remarque

Moi *Penser* Il parle de moi, je dois continuer d'avancer.

Je prend le chemin inverse des gardes.

Brigade Spéciale : elle est la

Je me mis a courir dans les couloirs. Ils commencent à me courir après.

Moi : non ça recommence

Je cours le plus vite en essayant de retrouver Erwin et Livai. Dans ma fuite je passe devant des gardes qui me pris en chasse eux aussi. Au bout de quelque minutes tous les gardes me suivaient. Ils était plus avantagé que moi car ils connaissaient les lieu. Je me fis entouré par la brigade Spéciale tous armés fusils braqués sur moi. J'ai peur, je ferme les yeux pour essayer de me réveiller de ce cauchemar sans fin mais impossible. Pris de panique je me mis à crier de tout mon cœur s'espèrent que quelqu'un m'entend et viennent m'aider. Mon cri était tellement puissant que les gardes se boucheraient les oreilles. Une personne passa entre les gardes, me pris dans ses bras, mis sa main devant ma bouche pour que j'arrête de crier, C'était Livaï.

Livaï : tais-toi tu me casses les oreilles

Il me sert très fort, je peux pas bouger. Cette action me réconforte, j'avais l'impression qu'il savait exactement ce que je ressentais.

Rappel : Livaï a aussi perdu sa mère quand il était petit, elle est mort sous ses yeux, et il a
perdu beaucoup de personnes qu'il aimait.

Dans ses bras je me sentais bien, j'avais impression que rien pouvais m'atteindre. Mon cœur bat beaucoup plus vite que d'habitude. Le commandant Pyxis et le propriétaire de la demeure viennent voir ce qu'il se passe, mon cri les allait atteint. Le propriétaire était en colère contre les gardes. Il faisait comme si il était supérieur a tout le monde dans le couloir mais même si il fait le fière il se cache derrière le commandent.

Le propriétaire de la demeure : Mais que se passe-t-il?

Il voit qu'il y a juste une petite fille dans les bras d'un personne. Il ne reconnais pas Livai mais il voit que on est en mauvaise posture car on somme encerclé par tout les gardes.

Commandant Pyxis : Baissé les armes

Tout les gardes arrêtent de nous pointer avec leur fusil. Ils font un arc de cercle de façon où le commandant peut voir nous voir. Pyxis me reconnais et s'avance vers moi.

Le propriétaire de la demeure : ne t'approches pas, elle a peut être une maladie

Commandant Pyxis : Hakai c'est toi?

Le propriétaire de la demeure : tu connais cette  vermine ?

Commandant Pyxis : c'est ma petite fille

Livaï me lâcha et je couru vers mon grand père. Le propriétaire de la demeure se senti con après la révélation du commandant.

Moi: grand père..

Je saute dans ses bras et je lâche mes meilleures larmes.