Chp 3 : Nouveau ennuis et nouveau venu

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Aprèsleurs petits incidents en ville et les problèmes nocturnes quisuivirent, notre fine équipe réussit tout de même à s'offrirquelques heures de sommeil, bien vite réveiller par le lever dusoleil et les oiseaux qui chantonnait.

Les deux renardss'étaient installé dans l'herbe, tandis que les deux autresdormaient plus ou même bien installés dans leur véhicule, du moinsaussi bien installé qu'il le pouvaient dans un espace pareil.

Chacunétait reparti de son côté, mais la renarde eut une idée afin degarder le contact, et réquisitionna le téléphone de T.K, quin'apprécia pas vraiment mais bon, après tout ça semblait êtreune bonne idée.

Surla route, les deux compères réfléchissaient, repartir à WestBurryétait bien trop risqué et leur solution avait été de repartir enarrière, mais il ne ferait rien à part perdre du temps s'ilsrevenaient sur leurs pas.

-Sérieusement Rock qu'est-ce que tu veux qu'on trouve enrepartant à EastTown ? On en vient y a rien pour nous là-bas !

Adressal'as de pique à son ami, sa jambe recroqueviller et son pied posésur la poignée de la boîte à gants.

Soupirantun peu, la lame bleue lui répondit d'un air ennuyé.

-Si on retournait à WestBurry on pouvait se considérer mort tucomprends ça ou pas ? On va juste aller là-bas le temps queles choses se calment c'est pas la mort non plus ! Et puis onétait censé réparer la bagnole...

Tournantla tête vers lui, T.K le regarda avec un air un peu perplexe, avantde lui répondre comme s'il citait une évidence universelle.

-Nonmais t'es au courant que tu m'l'aurais dit plus tôt je t'avaisdit que j'connaissais un mec là-bas hein ?

Leregardant quelques instants, Rock eut de nouveau un long soupir,alors que les premiers buildings de la ville apparaissaient dans lepare-brise.

-Et tu m'explique au juste ? Comment tu connais un mec dans uneville aussi éloigné de SouthTown ?

T.Khaussa alors les épaules, s'affalant encore plus dans son siègeen répondant, bras croisés.

-Boarf, un type que j'ai plumer et qui me doit une dette qu'il m'atoujours pas rendu parce qu'il s'est barré justement, j'ai sonadresse s'tu veux...

L'asde pique guida alors son ami à travers les rues, le faisants'arrêter devant ce qui semblait être un vieux garage un peumiteux, accompagné d'un terrain vague à côté, simplementprotéger par une vielle clôture en bois, plutôt haute, dont laporte était simplement verrouiller à l'aide d'un vieux cadenasorange de rouille.

Segarant de l'autre côté de la rue, les deux compères pouvaientdéjà entendre la musique qui sortait du bâtiment, visiblementcelui qui bossait-là n'avait pas peur de perdre ses tympans unjour ou l'autre, m'enfin...

Traversantla rue, les deux amis se retrouvèrent dans un vieux garage assezsale, quelques carcasses entreposés dans un coin, et une vue sur lacour adjacente ou l'on voyait des voitures assez sales et vielles,sans doute des occasions à vendre.

Attendantquelques secondes, un bruit métallique se fit entendre au-dessus dela paire, sur un escalier métallique qui semblait mener à une piècesurplombant l'atelier, de laquelle sortit un jeune homme.

Ilavait typiquement la tête à travailler ici, son visage assez jeune,la vingtaine, peut-être un peu plus, était tâché de traces noiresde cambouis, avec quelques petites cicatrices (principalement descoupures) à certains endroits, une queue de cheval blonde traînantsur son dos, ses cheveux tombant un peu sur les côtes et sur sonvisage, sa tête recouverte d'un bandana rouge orné d'une croixblanche.

Le 8ème continentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant