Bonjour à tous !
Non, je ne vous ai pas oublié ! Ne vous inquiétez pas, j'ai toujours tendance à un peu m'égarer au cours de la publication d'une fic, mais me revoilà !
J'espère que vous avez regardés les 1ers épisodes de la saison 4 ! J'ai lu les scans, donc peu surprise, mais ... [spoiler free] = Wow, les scènes de combat du 1er épisode étaient tout de même très bien faites ! Un vrai plaisir !
Voici le 6e chapitre ! N'hésitez pas à me donner votre avis !
Dernier chapitre des flashbacks (tout aussi mièvre que le précédent). La relation Levi/Mikasa est désormais bien lancée. Jetons-nous dans l'angst, maintenant (T-T) : au prochain chapitre, pour l'instant tout semble parfait dans le meilleur des mondes ;)
Petites notes : Ce chapitre est sous les PDV de Levi et Mikasa ; C'est fluff, très fluff, je vous préviens, voire un peu ... hot :D ; Allez, dernier chapitre avant d'en arriver au VRAI sujet ! Ah!, et, je l'avais peut-être dit dans une note précédente (ou pas), mais pour cette fic, Mikasa et ses amis ont actuellement 20-21 ans. Ils ont donc été recrutés vers leurs 16 ans (j'ai toujours du mal avec cette partie du manga où ils sont enrôlés à 12 ans, ça me dérange beaucoup).
Je vous invite à écouter : Heartlines, de Florence and the Machine et Let go for tonight, de Foxes.
Merci à tous, et bonne lecture !
XXX
Levi passa une grande partie des jours suivants noyé sous la paperasse. La récente promotion d'Hanji lui donnait plus de travail qu'il ne l'avait d'abord imaginé : sans plus personne d'autre que lui comme subordonné direct, elle avait transféré tous ses dossiers et rapports en retard au Caporal, trop occupé par les mondanités et réunions de l'Etat-Major, qui la retenaient de l'aube jusqu'à parfois très tard dans la nuit.
Les plans, les pièges, les commissions d'enquêtes internes, les remises de médailles, les recrutements ... Quelle belle merde. Qui le laissait débordé par des dossiers en tous genres, des piles de papiers dont il n'avait réellement que faire, et puis, il avait été en plus chargé d'accueillir les nouvelles recrues ! (Hanji avait refusé que Braus et Springer s'en occupent, argumentant qu'ils allaient faire peur aux nouveaux arrivants avec leur enthousiasme idiot et les faire fuir à la première occasion. Les autres – Mikasa, Armin, Eren, Jean – étaient à proscrire : entre désespoir, mélancolie et froideur, rien en eux ne parviendrait à pousser ces recrues à s'engager pour de bon.).
Il avait donc passé une de ses rares journées de repos à remplir des dossiers. Rien qui ne semblait réellement changer de l'ordinaire. Il avait l'impression que son corps était en train de fusionner avec la chaise, tant il semblait avoir passé des heures assis, le corps penché vers la table, soupirant d'ennui en voyant le soleil poursuivre sa course au travers de la fenêtre de sa chambre, sans qu'il ne puisse rien y faire.
Levi prit un instant pour respirer, s'accorder une pause. Il se laissa retomber contre le dossier de sa chaise, grimaçant sous la douleur provoquée dans son corps ankylosé. La pile de dossiers à traiter tanguait encore dangereusement sur un coin de la table, et sa vue fut suffisante pour le vider de toute énergie.
Il avait besoin de sortir de cette pièce, de s'aérer. Qu'Hanji et sa paperasse aillent se faire voir : il pouvait bien s'octroyer une pause, n'est-ce pas ?
Il se releva, bien décidé à se changer les idées, au moins une heure, et ses pas le portèrent de façon quasi automatique vers la salle d'entrainement. Elle devait être vide, aussi vide que les couloirs et les salles communes du bâtiment, alors que les recrues vaquaient à leurs occupations personnelles et avaient certainement tous pris un peu de leur temps pour s'aventurer en ville ou passer un peu de temps avec leur famille ou amis. Il n'eut donc pas peur de croiser qui que ce soit. Il fut bien surpris en se rendant compte que Mikasa Ackerman avait apparemment eu la même idée que lui.
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« Cruel World. » | Rivamika.
FanfictionMikasa Ackerman savait parfaitement que le monde était cruel. Il était froid, dur et tranchant. Il daignait parfois vous offrir quelques cadeaux, quelques instants de joie pure, d'allégresse, pour tout aussi vite vous les reprendre, vous les arrache...