Chapitre 12

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Mardi, 13 février 2011

J'ai d'abord posé mes affaires chez moi et j'en ait profité pour prendre une longue douche et enfiler un jogging. Heureusement, il n'y à personne chez moi. Sincèrement, je n'est pas envie de croiser ni l'un, ni l'autre. J'ai jouer un peu de la guitare, j'ai écrit quelques textes, puis je suis partit chez hera. Il fait déjà presque nuit, il n'y a plus personne dehors à part quelques personnes rentrant de cours. J'arrive devant chez elle et sonne à l'interphone. Après seulement quelques secondes, la porte s'ouvre et hera apparaît, vêtue d'un bas de pyjama licornes légèrement serré au hanche et d'un court débardeur noir. Mon regard se pose sur ses cheveux qu'elle a lâché, lui tombant sur les épaules et on dirait qu'elle a bien que le débardeur sur elle.
Putain ce que c'est sexy.
Elle ne semble même pas remarquer mon regard qui, j'en suis sûr, est en train de la dévorer. Je me racle la gorge et essaye de me focaliser sur son pentalon.

Moi: jolie.

Elle baisse la tête pour regard le pentalon que je lui désigne du regard. Ses fossettes se creusent et un sourire amusé apparaît sur ses lèvres. Elle s'écarte de la porte pour me laisser entrer.

Hera: c'est mon préféré.

Moi: ça ne m'étonne pas.

Je m'avance tendis qu'elle referme la porte derrière moi.

Moi: alors ? On y va ?

Hera: oui, mais avant, je t'es promis un dîner. Suis moi.

Je la suis au salon de couleur rose pale. Sur le canapé une plaie blanche est posé face à la cheminée ou y figure dessus la télé. Mes yeux se pose sur des petits bouquets de fleurs et des sortes de plantes posés un peu partout sur une gigantesque étagère à carreaux blanche. On y trouve quelques cadres de photos avec quelques livres, sans compter la petite bibliothèque dans le coin du fond. Je devine que tout ces livres sont à sa mère. Généralement, quand on vient de déménager, ça à tendance à ressembler à une sorte de maison qu'on voit dans les catalogues, vous savez, sans aucune présence de vit, c'est assez vivant, ici. Sur leur photos, je ne voit aucune présence d'un père, il n'y a qu'elles. Elle me conduit vers une porte du salon qui mène à la cuisine. Si le salon été rose, la cuisine elle, elle est... blanche. Elle tire une chaise au plan de travail pour que je vienne m'y asseoir. Je vois...
Je souris amusé et m'y installe.

Moi: j'ai droit à quoi ?

Hera: du riz au poulet.

Du riz au poulet ? Intéressent. Elle sort deux assiettes, et y met le riz blanc avant d'en poser un devant moi avec une fourchette. Quelques micro boule de truc marron sont mélangé au riz. C'est le poulet ça ? Elle s'assoie en face de moi en servant ce qui me semble être une limonade faite maison.

Hera: commence.

J'ai l'impression d'être dans une émission gustative.

Moi: et si je n'aime pas ?

Hera: impossible.

Moi: t'es bien en train de dire que t'es une superbe cuisinière, n'est ce pas ?

Hera: oui.

Je souris avant de prendre la fourchette. Je la trempe dans le riz puis en prend une bouchée. Ce qui me surprend en goûtant, c'est le fait que ce soit.. vraiment pas mal. Je croyais que ça allait être juste bien. On sent le beurre mélanger à une sauce bizarre que je ne serais décrire. Une sauce au poulet ? En plus de ça, moi qui connaît rien en cuisine, je peux apercevoir que la cuisson est parfaitement maîtrisé. Elle regarde des vidéos de cuisine tous les jours, ou quoi ?

Is it love ? Colin The beginning...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant