chapitre 11

3.8K 300 35
                                    

HELLO mes petites saucisses de dinde.
Ce matin, en me levant je vais sur wattpad. Comme d'habitude et là....
Je vois 1k d'abonnés.
Haaaaaaaaaaaa, danse de la joie.
Donc pour vous remercier d'être toujours plus nombreux et plus présent, c'est pas un ... Non mais DEUX chapitres
XoXo Jane



Alec regarda le plateau et constata que ses biscuits était légèrement brûlé. Mais ce n’était pas grand-chose

Alec: Ma chérie on a juste à gratter le  dessus des biscuits et ça pourra se manger.

Rachel: Ce ne sont pas des biscuits c’est censé être des beignets.

Alec regarda étrangement se baigner qui ressemblait plus à un cookies qu’à autre chose.

Alec: Ah…

Il en pris un dans les mains pour le mettre à la bouche mais Rachel l’en empêcha.

Rachel: Ne mange pas ça, je n’ai pas envie de te tuer.

Alec: Si je peux te faire sourire alors je mourrais sans aucun problème.

Il mit le biscuit dans sa bouche et le mastiqua quelques secondes, Rachel regarda sa réaction. Elle se rendit compte qu’il avait du mal à avaler et elle se précipita pour lui prendre un verre de lait dans le frigo. Il le but d’une traite en ayant du mal à avaler.

Rachel:  Je t’avais dit de ne pas les manger.

Alec la pris dans ses bras, elle lui souris.

Alec :  J’aime te voir sourire.

Rachel:  Et moi j’aime être dans tes bras.

Alec: Je voulais te dire que cette histoire avec Monsieur Lavelle est bien terminé.

Rachel le regarda en écarquillant les yeux.

Rachel:  Comment ça ?

Alec: Il ne reviendra plus jamais t’embêter. Et ton magasin reste ton magasin.

Rachel: Il est sorti de la vente ? Mais si ce n’est pas lui qui va l’acheter c’est bien quelqu’un d’autre.

Alec: En effet. La personne qui l’a acheté c’est moi.

Rachel se décomposa et fit un pas en arrière.

Rachel:  Alors tu seras mon patron ?

Alec s’approcha d’elle et prit son visage en couple avec ses mains.

Alec: Non. Ton patron c’est toi-même. Je veux que tu gardes ton magasin et je veux que tu sois heureuse. Je sais que ce magasin est très important pour toi.

Rachel:  Mais c’est beaucoup trop. Je n’ai rien à t’offrir en échange, je veux dire…

Elle ne termina pas sa phrase qu’il l’embrassa. Elle fut surprise par son baiser mais était heureuse. Cela lui donner des frissons dans tout le corps. Elle entrouvrit les lèvres de façon intensifié leur baiser. Lui, été heureux de pouvoir caresser sa langue avec la sienne. Une fois terminé, il colla son front au sien.

Alec: Te voir heureuse me suffit largement. Je veux que tu saches que je t’aime.

Rachel: Quoi?

Alec: Je t’aime, tu es la femme la plus exceptionnel qui m’est jamais été donné de rencontrer.  Ton bonheur suffit au mien.

Rachel sentir son cœur battre de plus belle et un sentiment de joie s’empara de celui-ci.
Alec lui sourit et l’embrassa de nouveau.
Le lendemain matin, Alec était encore au lit et quand il se réveilla, il se rendit compte que Rachel n’était pas là. Il s’assit et l’entendit arriver avec un plateau dans les mains. Où étaient disposés un petit-déjeuner qu’elle déposa sur le lit. Elle avait un grand sourire qui lui allait à ravir.

Alec:  Comment vas-tu ce matin ?

Rachel:  Très bien. Et toi?

Il s’approcha d’elle et lui caressa tendrement la joue.

Alec: Je n’ai jamais été aussi heureux de toute ma vie.

Rachel baissa le regard, il se rendit compte que quelque chose la chiffonnés.

Alec: Sa ne vas pas chérie ?

Elle releva ses yeux timidement.

Rachel: Est ce que cette nuit… Enfin, tu… tu…

Alec: Je suis comblé.

Rachel eu un petit sourire mais elle n'était pas convaincu.

Alec: Tu ne crois pas n’est-ce pas ?

Rachel: Si… enfin…

Alec: Parle moi chérie.

Rachel: Disons que tu es un homme qui à eu plusieurs femmes. Je ne sais pas, je me dis seulement que peut-être…

Alec: Arrête ça tout de suite. Il y a une grosse différence entre coucher avec quelqu’un et faire l’amour.

Elle releva ses yeux et le regarda.

Alec: J’ai couché avec plusieurs femmes oui. Mais faire l’amour n’est pas la même chose et toi, toi tu es spécial. C’est toi que j’aime.

Elle se mit à lui sourire et l’embrassa.

***

Du désespoir naît l'amour Où les histoires vivent. Découvrez maintenant