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⌈ kuroko no basket | AKASHI Seijuro ⌋

rappel :

[t.p] = ton prénom

❝ the neighbor ❞

Le temps était maussade en dehors de ton appartement. Tu entendais la pluie battante contre ta fenêtre et l'orage grondant dans le ciel sans aucun son pour les perturber ; enfin presque. Ton voisin d'à côté avait décidé de jouer de son piano droit une mélodie douce qui pouvait t'embarquer dans ton imagination farfelue. Il en fallait peut pour qu'un scénario vienne s'inviter à toi : après tout tu étais romancière.

Tu éteignis ta télé qui n'avait pas de son et regardas ton mari dormir à l'autre bout de votre canapé quatre places. Plus rien ne te venais quand tu posais tes yeux sur lui, malgré qu'il ait été autrefois ta muse pour toutes tes scènes érotique apparaissant dans tes livres, il n'y avait plus de chaleur se propageant dans tout ton corps, plus de pensées adultes à son égare. Il ne restait rien. Calmement et sans le réveiller tu quittas ton canapé, ayant soudainement envie de manger des udons. Il était tard et tu étais en pyjama, mais tu t'en fichais. Tu enfilas ton imperméable noir, tes petites baskets de la même couleur, et mis ta grosse écharpe grise. Tu attrapas ton parapluie et tes clés, puis tu quittas l'appartement : direction la supérette encore ouverte au coin de ta rue.

Tu marchas bien dix minutes sous la pluie et le vent qui giflaient ta peau nue sous ton manteau avant d'arriver au lieu ou se trouvait ton trésor. Tu entras, saluant rapidement le vieux monsieur qui tenait la caisse, avant de t'avancer dans ton rayon où tu récupéras deux paquets de udons et une petite bouteille de coca cola. Tu payas le tout et retournas braver la petite tempête pour retourner chez toi. Lorsque les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, tu fus surprise de voir ton voisin au piano dans l'habitacle.

« Akashi-san !? Quelle surprise ! Vous sortiez ? tu lui demandas heureuse de voir l'homme qui animait tes soirées de douces mélodies

- Bonsoir [t.n]-san. À vrai dire non, je remontais, il te salua de sa voix habituellement douce et légèrement traînante, Et vous ? Que faisiez-vous dehors en ce temps ? il te demanda, souriant

- J'ai eu une petite faim et je n'avais pas ce qui me faisait envie dans mes placards, tu lui répondis joyeusement »

Puis soudainement un petit truc tilta dans ta tête. Vous étiez au rez de chaussez et actuellement si on descend ici c'est pour sortir ou chercher son courier, alors pourquoi le rouge était descendu si finalement c'était pour remonter sans rien faire. Tu regardas les étages défilés avant que ton regard ne se pose sur ton voisin. Il était beau et jeune, sûrement plus jeune que toi de cinq ans, et cela t'étonnais de le voir toujours seul. Du peu de conversation que tu avais eu avec lui, il avait l'air d'avoir tout pour plaire. Un bon physique, une bonne mentalité, il était intelligent et visiblement avait une bonne situation financière ; pas que vous viviez dans un quartier de luxe, mais vous vous trouviez non loin de ceux-ci.