à toi qui vient ici, soit le/la bienvenu/e ! ici les commandes sont ouvertes, libre à toi de me demander ce que tu voudras sur le manga ou anime qui se trouve dans la liste, dans la première partie de cette histoire.
une chose importante que je tien...
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❝ not feminine enough ❞
Depuis un moment déjà tu sortais avec le pervers de l'ancienne équipe de basket appelée la Générations Des Miracles, j'ai nommé Aomine Daiki ! Alors non tu n'avais pas le corps de Mei-chan ou n'importe quelle autre bimbo, tu ne te maquillais pas de façon à pouvoir te confondre avec un pot de peinture, et tu ne t'habillais que de vêtements que tu trouvais confortable : les hauts de ton petit copain faisait largement l'affaire. Pour lui tu n'étais pas l'incarnation de l'innocence parce que de la perversité tu en avais, et ça l'avait rendu un peu jaloux lorsqu'il avait vu tes yeux posé sur le torse du géant violet, Murasakibara Atsushi, et que tu bavais légèrement. Tu n'étais pas non plus ce genre de fille ultra cliché qui ne prenait que de la salade au Maji Burger et qui essayait de paraître sophistiquée, non, si tu avais faim tu pouvais engloutir plusieurs hamburger suivit de frites – parce que mesdames les frites c'est la vie ! – et c'est comme ça que le basané t'aimait.
D'ailleurs en y réfléchissant même maintenant, tu ne savais pas le pourquoi du comment il était tombé amoureux de toi, ni même comment tu avais pu accepter de sortir avec lui alors qu'il n'était, mais alors là pas du tout, ton type. Tu n'étais – toujours pas – le genre de fille cliché qui aimait se faire attendre et accepter au dernier moment, lorsque le garçon, ou la fille aussi, comptait lâcher l'affaire, mais Daiki avait du faire un certain nombre d'efforts pour te prouver qu'il voulait réellement sortir avec toi et que ce n'était pas seulement un stupide jeu où tu n'était juste que le coup d'une nuit. Cela t'avais même étonné que le grand Aomine Daiki t'avoue être puceau le soir de votre première fois. Car ce n'est pas en lisant seulement des pornos qu'on obtenait le titre de « pervers de l'équipe », mais monsieur était je m'en foutiste, et tant que ces stupides rumeurs du fait qu'il ai couché avec un tas de filles ne te touchais pas, il laissait couler.
« [t.p] la demoiselle de la table 5 te réclame ! t'annonça ta chef qui jouait les cuisinier aujourd'hui
- J'y vais de ce pas ! tu répondis en te dirigeant déjà vers la table »
Tu avais besoin d'argent pour refaire ta chambre et de ce fait pouvoir acheter encore plus de yaois, oui c'était une drogue, mais que pouvais tu y faire. Alors tu avais postulée un peu partout ; café, boulangerie, épicerie, mais ils ne rapportaient pas assez pour toi. Ce fût le Saint Graal pour toi lorsque ta tata, qui passait chez toi à l'improviste, te parla de son amie qui tenait un café à thème, et là tu pu te remercier d'être une otaku et d'avoir regarder Black Butler. Certes tu n'avais pas la taille de Sebastian ou Claude, mais tu avais quand même – une fois habillé d'un uniforme et d'une perruque – cette aura masculine qui se dégageait de ton corps et cela avait réellement plu au café, autant à la patronne qu'aux jeunes lycéennes qui te servaient de clientes.
