Le Voisin d'en face [MxM]

Chapitre 9: Point de vu de Thomas

Cela fait approximativement deux semaines que nous nous somme mis d'accord pour sa venu avec Lily chez mes parents pour le réveillon. Entre temps nous somme partis pour l'anniversaire du petit Morgan qui était très content de la venu de Lily. Warren et moi avons rencontré plusieurs parents d'élèves très sympathique avec qui nous avons conversé. C'est dailleurs à cette fête que mes soupçons à propos du professeur de Lily se sont avéré vrai : Il est bien queer. Je l'ai appris de Patricia, une des maman d'une camarade de Lily. Conversation que j'ai tenus loin de Warren. Quant à lui il étais moins stresser que d'habitude sans doute le fait qu'il était avec moi enfin une partie de moi l'espère. Cette journée a été remplis pour l' irlandais et sa fille. Pour preuve ils se sont même endormi dans ma voiture.

Ce jours là, Warren m'a confié qu'il n'avais plus de voiture car tout se dont il avais besoin étais dans le quartier que se soit l'école de Lily ou son travail. C'est Grâce à la vente de celle-ci qu'il a pu se payer son appartement.

Actuellement je rentre de ma journée de travail nous somme le 24 décembre et dans quelques heures nous serons chez mes parents. Warren m'a fait part des traditions qu'il faisait dans sa famille et je fus étonner par certaine d'entre elle mais celle qui m'attirer le plus était la préparation de son fameux Irish coffee qui chérissait tant. Il s'est d'ailleurs proposé pour faire la bûche de noël et un autre dessert mais il ne m'en a pas dit plus.

J'entre chez moi et me déchausse en posant mon manteau sur mon porte manteau et mon attacher-caisse à son pied. Un bon café me ferai du bien mais avant direction la salle de bain pour un bonne douche. Une fois déshabillé je me glisse dans la cabine et l'eau chaude fait décontracter mes muscles. Je me savonne et la buée présente embaume la pièce. Autant en profiter pour attraper la hampe de mon sexe. Ça fait bien des jours que je ne l'ai pas fait, tellement pris par mon travail. Je ferme les yeux et applique un lent mouvement de va et vient qui me fait durcir, une image embrouillé de mon beau irlandais vient d'elle même dans mon esprit. Son image se fait plus nette, je le vois commencer par toucher mon corps, ma fine musculature puis l'imagine descendre de plus en plus en direction mon entrejambe. Putain que c'est bon ! J'accélère ce qui me fait lâcher des gémissements et je jouis dans un long râle guttural. Je réalise à peine ce que je vient de faire encore sous les effet de l'endorphine et autres hormones. Le cur battant je réalise enfin.

Oh... Merde ! Je me suis masturbé en pensé à Warren. Je suis vraiment le pire. Je me rince immédiatement pour enlever toute trace de ce que je viens de faire. Putain que j'ai honte. Aller Thomas c'est pas la première fois que tu fais ce genre de chose, c'est naturelle.

Je sort de la salle de bain enveloppé dans une serviette chaude et part en direction de ma chambre. J'enfile un boxeur noir, me sèche rapidement les cheveux avec une serviette et sort de mon placard mon éternelle chino brun, un pull col roulé noir et ma veste de costume cintré bordeaux. Quelque chose de classe sans trop en faire, c'est quand même jour de fête. Je m'habille mais laisse ma veste encore sur le cintre, je l'a mettrai seulement au moment de retrouver l'appartement d'en face. Je repart dans la salle de bain et me sèche convenablement les cheveux avec le séchoir que Louis et Ambre m'ont offert il y a deux ans. Parce que je cite : « Tu as de trop beau cheveux pour te permettre de seulement les laisser à l'air libre » depuis j'ai pris l'habitude de le faire lorsque je sort le soir. Ensuite je prend de quoi tailler ma barbe et refaire ses contours et me parfume d'eau de Cologne.

18 H 00 sonne j'ai eu le temps de boire mon café et actuellement j'entreprends de descendre les cadeaux pour ma famille dans le coffre de ma voiture et ainsi éviter les questionnement de la petite Lily. Une fois la tache fini je me dirige vers chez moi : prenant le cadeau de Warren que je dissimule en dessous de ma veste de costume que j'ai revêtis. Je prend mon manteau et mes clef de voiture. Je pense ne rien avoir oublier.