Tout ce que je veux, c'est être avec toi [ Terraink Fanfiction Originale ]

17h59 ( Le sexe 3/3 ) ( Terracid )

Attention !

Ce dernier chapitre est centré sur du contenu très sexuel. Si tu est jeune ou mal à l'aise face à ce genre d'histoires, passe ton chemin et va lire une autre histoire ^^

Sinon, bonne lecture pour les plus courageux d'entre vous :)

Warusenagusa, le 5 février 2021 

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Il était devenu incontrôlable. Il ne cessait de me dominer, en me faisant vivre et ressentir des expériences sexuelles inoubliables.  Mais je ne voulais pas qu'il s'arrête. J'étais en extase. C'était tellement jouissif de ressentir enfin toutes ces sensations, après tant d'années à avoir attendu ce moment.

Et c'est arrivé.

J'étais en train de le vivre.

Et c'était juste incroyable.

Je me sentais juste nerveux. J'avais chaud, mon coeur battait de plus en plus vite, ma respiration était devenu incontrôlable et ma *poutre* se dressait tel un mat de bateau.

NDA ( Moi ) : Bordel... Pourquoi j'écris des métaphores aussi gênantes et claqués ? Même Terracid ne penserait pas une seconde à cette phrase si ça arrivait. 

Je m'accrochais si fort à lui. Je ne voulais pas gâcher une seule seconde de ce moment. Je voulais tout connaître de lui, et ne jamais oublier la douceur de sa peau, son odeur si particulière, ses bouclettes de ses cheveux soyeux et de sa barbe qui me chatouillait le cou et le menton. Et surtout, je ne voulais pas oublier sa voix si douce, si unique et rassurante. Je voulais profiter de toutes ces choses, cette nuit. 

Il se décolla de moi après ce long baiser. Puis il me dit :

- Tu est sûr de vouloir aller plus loin ? 

Sa main glissa vers le bas de mon torse, mais ne semblait pas vouloir venir vers mon sexe. Il alla plus loin et toucha mon *trou de paille*. 

Je rougissa. J'arrivais pas à croise ce qu'il venait de faire. Ni ce qu'il me proposait. J'eu un long moment d'hésitation, et finalement, je crois qu'il a prit ce silence pour un oui. 

Je fit un léger mouvement de tête et lui dit, tout doucement :

- Juste... va pas trop vite...

Il me souria. Et me fit un rapide baiser sur les lèvres et me rassura :

- T'inquiètes. Je ferais attention.

Il a alors commencer à me tripoter la peau de mon *bouchon* , puis il mit carrément son doigt dedans. Il explorait l'intérieur de mon *tunnel* avec son index. 

C'était trop. Je sentais que je n'allais pas tenir longtemps tellement c'était bon. Je sentais que mon *tunnel* devenait de plus en plus mouillé. Je me rendis compte que je criais si fort qu'il diminua le mouvement. Je lui ordonna :

- T'arrête... pas... Continu...

Mais il me répondit :

- Fais pas le con. Tu vois bien que t'est pas encore prêt.

Je m'opposa à lui. Je lui pris sa tête, la colla contre la mienne et lui dit :

- Je te dis de continuer. Tu peux t'inquiéter pour moi si tu veux, mais ne m'inflige pas ce supplice. 

Il était surpris par ma réaction.

- J'ai peut-être mal, mais je préfère souffrir plutôt que de pas pouvoir subir toutes ces choses que tu me fait depuis le début de la soirée.

Silence complet : 

- J'ai trop attendu, autant y aller à fond jusqu'au bout ! déclarais-je 

Il me prit la tempe et posa ses lèvres sur les miennes. Il lâcha :

- Alors tu en veux plus. Très bien, mon petit Damien. Mais ne te plains pas si ça fait encore plus mal.

Il baissa son bassin et mit sa *courgette* au bout de mon *trou de serrure*. Il me chuchota :

- J'aime quand tu ose me défier.

Et il la rentra en moi. Je poussa un cri de surprise. J'étais tétanisé.

 Il était en moi.

 Je la sentais. 

Je n'y croyais pas. 

Savoir que son sexe était dans mon *tunnel* m'avait déboussolé. Je n'avais plus aucun repère. Tout étais flou autour de moi. J'étais en extase total. Je la sentais juste en moi, explorer mon *tuba* en faisant des mouvements de va et vient. J'entendais Thomas respirer de plus en plus fort. Il prit ses mains dans mes cheveux et s'accrocha à ma tête. Ma voix criait des gémissements de plaisir dans toute la pièce. Nos torses étaient l'un contre l'autre. 

Après plusieurs minutes, je sentis sa main me caresser le sexe et à commencer à me *secouer*. Je me raccrocha à lui. Mes ongles étaient sur le point de lui écorchés le dos. Mais le plaisir nous faisait oublier la douleur. 

Haletant, Thomas me dit :

- Je vais...*éclabousser*... En toi !

- Aah... aah... Thomas...

Je sentis alors un liquide couler en moi. Il se retira, essoufflé. 

On s'allongea l'un de l'autre, tentant de reprendre notre respiration. 

Nous n'entendions que nos souffles dans la chambre. 

Ça y est. On l'avais fait.

Je reprenait petit à petit mes esprits.

Ce moment m'avait semblé si flou et incohérent, voire inimaginable.

Pourtant, ça venait de s'être passé.

Je tourna ma tête vers lui. Il continuait de reprendre son souffle. 

Je le regarda. Depuis notre rencontre, je ne l'avais vu que sous un angle amical, sympathique, marrant. Puis c'est devenu vite plus que ça. Je pensais souvent à lui, je rêvais de lui, je fantasmais sur lui. 

Aujourd'hui, j'avais découvert un tout nouveau point de vue de lui. C'était encore plus fort que je le voulais avant. 

Il se tourna vers moi, souriant :

- Alors ? Tu t'en remet ?

Je lui caressa la tempe de ma main droite. Je me rapprocha de lui :

- Faut que je t'avoue un truc, maintenant qu'on la enfin fait. 

Il semblait étonné. 

- Bah vas y, balance. 

Je lui souria :

- Tu m'a fait découvrir des tas de sensations que j'oublierais jamais. Même toi, rien qu'en te regardant, tu me fait déjà un truc.

Je ne dit rien pendant un moment :

- Je vais te dire un truc. Que tu m'a dit l'autre soir. Et que je veux plus que tout au monde.

Je vis ses joues rougirent face à ma remarque. C'était la première fois que je le voyais aussi gêné depuis nos aveux. Je me colla à lui, lui pris sa main pour le rassurer. Je regarda intensément la pupille de ses yeux bruns, qui me faisait tellement craquer. Je lui avoua :

- Tout ce que je veux, c'est être avec toi. 

Il me souria et déclara : 

- Moi aussi, Damien. Plus que tout au monde. 

Il rapprocha sa tête de la mienne et on s'embrassa de nouveau. 

Il se retira et me chuchota :

- Je t'aime, Damien. 

Je lui murmura : 

- Moi aussi, Thomas. 

Fin 😊💗