46.William x reader

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William de Moriarty The Patriot

C'est une commande de emmalabest03, en espérant qu'elle te plaira!

Disclaimer: Je tiens à préciser que je ne connais pas l'univers et j'ai commencé à l'écrire sans connaitre l'époque, je ne l'ai su qu'après. Mais comme j'ai bien aimé ce que j'avais mis au début, et mon idée, j'ai décidé de le laisser comme ça et de continuer. Je ne sais pas si ça change grand chose à l'anime de base. Mais l'époque est plus avancé dans cet os. J'espère que ça ne vous dérangera pas trop et que ça à quand même à voir avec Moriarty.

Bonne lecture les gars !

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Elle soufflait longuement , marchant dans les rues de Londres, les épaules affaissées et le morale à zéro. Elle venait de se faire virer une énième fois, le patron de cette brasserie l'avait renvoyé , alors qu'elle s'appliquait à bien nettoyé les lieux. Les riches, tout les mêmes, pensa t-elle en passant un passage piéton. Comment allait t-elle joindre les deux bouts? C'était ce qu'elle se demandait depuis aux moins de bonnes minutes. T/p avait trouvé ce travail , et espérait le garder pendant un moment, mais son employeur ne voyait pas de la même manière.

Elle habitait à quelques mètres d'ici, dans les banlieues pauvres de Londres, elle ne roulait pas sur l'or, c'était à peine si elle avait le smic. Avec ce renvoie , elle n'avait plus de moyens de revenus, donc plus la capacité à payer son loyer. Cela la démoralisait encore plus. En passant devant une boutique de vêtements , elle soufflait une deuxième fois en voyant une robe qui lui plaisait, chose qu'elle ne pouvait pas s'acheter.

Maintenant il fallait qu'elle ré-arpente les annonces d'emplois un peu partout, ce n'était pas comme ci elle ne s'était pas tiré les cheveux pour trouver cette brasserie délavé. Elle pouvait faire tout, le ménage , le service , promener des animaux de compagnies , etc, tant qu'elle touchait de l'argent, cela lui allait.
La c/c aurait bien voulu entrer dans une université et continuer ses études , mais par faute de moyens, elle ne pouvait pas se payer une chambre de campus , sans travailler. Et la bourse lui était passé sous le nez , après avoir lamentablement raté ses examens de fin d'années.

Elle longeait les trottoirs londoniens, espérant passer devant une boutique ou un restaurant en recherche d'employés. Mais en vain, personne ne passait d'annonces.
C'est comme ça qu'elle rentrait l'humeur maussade, et frustré de n'avoir même pas pu en placer une devant ce vieil homme en costard, anciennement son patron. Ce qui l'agaçait c'était que la société actuelle ne prenait pas vraiment en compte l'avis des femmes. T/p ferma la porte en posant son sac et ses clés en soupirant. Elle allait encore passer sa soirée à éplucher les demandes d'emplois un peu partout dans la ville, cette pensée lui fit mal à la tête. Son anniversaire approchait, et son ami Albert Moriarty, qu'elle connaissait lorsqu'elle était petite, insistait à ce qu'elle vienne le fêter dans son manoir. T/p venait autrefois d'une famille plutôt aisé, elle avait baigné dans la richesse et dans l'hypocrisie pure. Elle vivait au près de ses parents, mais surtout sa mère, son père n'était qu'un riche sans cœur, il n'était jamais présent , mais commandait tout à la maison. À la mort de sa mère, elle partit , avant que son père ne l'a force à se marier avec un homme qui avait son portefeuille remplis.

De là, s'enchaîna une multitude de péripéties, elle n'avait pas l'habitude de n'avoir qu'un maigre salaire pour vivre, d'avoir un petit appartement ,bien loin de la grande demeure de son enfance, et puis le deuil de sa défunte mère fut très long, elle qui était son seul repère. Quand elle rata ses études, la c/c sût ce que c'était la galère de trouver un boulot, de subvenir à ses besoins, d'avoir très peu d'économie , et le surmenage que pouvait avoir ce mode de vie. Mais elle avait vécut aussi de belle chose, elle a pu rencontrer et discuter réellement avec ses collègues, et non des pestes qui te souris hypocritement. Son caractère n'avait fait que s'accroître, et elle savait ce qu'était les vraies valeurs des choses, qui paraissait futile auparavant.

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