Dans la forêt plongée dans le noir, non loin du drame du moi dernier, un groupe de 4 personnes se tenait sous les arbres morts. Le vent sifflait à travers les branches qui trop fragile pour certaines se brisé. Les 4 individu portait des tenu plutôt sombre dont trois étaient noir et rouge bordeaux et une bleu sombre et violet.
La plus grande des 2 femmes qui portait une veste longue en cuir renforcer, une baissière en laine, un pantalon large et des bottes marron, s'avança en portant sa grande faux sur l'épaule avant de prendre la parole.
-Tu es sûr que c'est ici, questionna t-elle derrière sa capuche orné de fausses oreilles de chat et son écharpe devant sa bouche, je ne vois aucun cadavre...
-La donzelle douterait de mes capacités ?
-Et puis quoi encore ? Mais là on peut vraiment dire que c'est un muet qui dit à un sourd qu'un AVEUGLE les regarde...
-Oh tu vas te calmer la bourge, s'énerva le très grand homme masqué par une écharpe sur le bas de son visage et un bandeau sur les yeux, ça même pas un mois que t'es là et tu te permets de nous commander ! Faut bien croire que la rumeur disant que les femmes à grosse poit-
Il ne put terminé sa phrase se faisant frapper de plein fouet par le manche d'un pistolet dans le ventre. La plus petite du groupe n'avait même pas hésité une seconde pour le frapper.
-Je me demande fortement si tu es vraiment si aveugle que ça...
-T'parles c'qu'un clodo, s'exclama la voix roque d'un vieil homme qui possédait un équipement noir et rouge bordeaux, faut pas croire s'qu'il raconte...
En réajustant son large chapeau noir il vint aider le très grand homme à se relever. La femme à la faux soupira en mettant une main sur ses large anche dénudé.
-Bon nous ne sommes pas là pour se chamailler ! Il nous faut trouver des indice !
-Et les yeux manquant, disait l'homme avec le bandeau sur les yeux en se plaignant de douleur, les yeux que possède notre chère bête...
Dans le chalet se trouvant quelques centaines de mètres plus loin l'écrivain était entrain de dessiner dans un carnet en cuir semblant très vieux. Émmadéa elle faisait la cuisine qu'elle avait bientôt fini d'ailleurs. En reniflant l'odeur de la cuisine Oraguiri eu un grand sourire.
-Civet de sanglier avec... De la châtaigne et des champignons !
-Bravo, s'exclama la petite jeune femme en riant joyeusement, je vois que ton odorat est toujours aussi performant !
Tout deux riait avec innocence et bonne humeur. Ayant maintenant fini Émmadéa vint près de son créateur. Elle entoura ses épaules en venant poser la tête du jeune homme contre sa poitrine. Ce dernier se mit à rougir mais sans plus étant maintenant habitué.
-Cette tenu te vas toujours à ravir...
-Est-ce un prétexte pour cacher ta gêne ?
-Ah ah, se mit à rire nerveusement l'écrivain en se grattant la joue, tu n'as pas tort...
Elle finit par poser une main dans les cheveux d'ébène du jeune homme et joua avec s'amusant à le décoiffé. Elle regarda en même temps dans le carnet se qu'était entrain de dessiner l'écrivain. On aurait dit une sorte de chimères, un crâne de loup avec des bois de cerf, un buste humain bien que recouvert de fourrures, des mains osseuse avec de longues griffes et des pattes de avec sabots robustes.
-C'est quoi ce monstre ?
-Ça c'est un infecté ayant atteint le stade 3 de son évolution... Quand il passe à se stade la source d'infection ayant maintenant un corps qui commence à pourrir, va ramassé des morceaux de cadavre, de la peau et des os pour venir fortifié son corps. Par la suite le corps va s'agrandir de toutes par arrivant à des monstres arrivant à une auteur de 5 m. Se qui est étonnant c'est que même les os s'agrandissent comme par exemple le crane qui devient proportionnel au reste du corps...
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L'ombre de la révolte
ParanormalAngleterre 1875. Dans un monde où la technologie a grandement avancé depuis l'innovation des machines à vapeur le monde entier est rentré dans une grande course aux usines et surtout à l'armement. L'Angleterre où devrai-je plutôt dire l'empire d'Opr...