Chapitre 17. À La Frontière Des Mensonges

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Lorsque la vie s'achève l'être ayant perdu l'âme se fait guidé par les corbeaux. Son âme est alors emmener à l'endroit qui lui est destinée. Que ce soit le paradis, l'enfer, ou la salle des désolation ou de la rédemption. L'âme peut donc enfin trouvé sa place et passer l'éternité ou tout recommencer selon son désir...

Mais peut de gens savent qu'il existe une dernière et bien heureuse variante. Celle-ci est ni plus ni moins que la dimension des rêves ultime. Les chanceux ayant pu avoir les faveurs des oiseaux, se retrouve plongé dans un rêve éternel ou tout leurs désirs devient réalité.

Cependant d'autres plus astucieux n'ont pas besoin de mourir pour cela. Ces personnes font un pacte avec une créature jusqu'alors jamais observer que par les sujets, tous traumatisé de cette vision et refusant d'en parler. Mais certains individus sont assez courageux pour pouvoir articulé un nom des plus distordu. Un nom que des personnes ayant eu un rêvent dans une forêt bordé de 5 immense cathédrale, ne cesse de murmuré...

- Yrm-hilhutr... Ou autrement bien plus appeler par son nom commun la bête de l'horloge... C'est amusant n'est-ce pas ? C'est de cette créature que viennent les yeux comme les tiens !chuchota la voix d'un jeune garçon. Les yeux d'horloges aux cinq pouvoir de Yrm-hilhutr... Mais aussi à la faculté de maîtriser le temps... Penses-tu qu'ils lui appartiennent réellement ? Hein Oraguiri ?

Le jeune homme se réveilla en sueur dans son lit. Il regarda le plafond blanc en respirant lourdement. Il sentait comme une immense douleur traversant tout son torse de son épaule gauche à sa hanche droite. Sa cicatrice lui faisait affreusement mal soudainement malgré que cette dernière est pourtant plus d'une dizaine d'années.

-Ah... C'est pas vrai...

Il se redressa pour constater qu'heureusement il n'y avait rien d'inquiétant si ce n'est qu'une légère tâche de sang.

- Sérieusement... Je commence à en avoir mare de ce délire... Qu'est-ce qui se passe à la fin !?s'écria-t-il en regardant partout autour de lui pour constater que tout était à la normale. Bon au moins je suis pas dans ce maudit champs de fleurs du crépuscule... D'ailleurs...

Il regarda sa table de nuit où était posé une fleur rouge bordeaux. Une fleur du crépuscule, la fleur qu'Émmadéa lui avait laissé la dernière fois qu'il a pu la voir dans son rêve.

Les rayons de soleil entrant lentement dans la pièce la fleur se referma à peine qu'un rayon l'ai effleuré. Le jeune homme regarda cette fleur avec un air attristé mais avec un léger sourire tout de même.

-La fleur rouge... Elle est le symbole même de l'amour et de la tendresse... Comparer aux blanches qui ne sont que chagrin...

Il finit par se lever et enfila tout son équipement. Il sortit de sa chambre pour se promener dans les couloirs avant de rejoindre le salon. Il y trouva Araguiri ainsi que Shi déjà installé.

-Oh bonjour Oraguiri, bien dormi ?

-Salut l'ami...soupira Shi d'un air las

-Eh bien c'est pas la forme on dirait...

-Ouais c'est sûr que tu me vois pas souvent aussi peu enjoué... Mais bon j'ai vraiment failli y passer et Kasu est mort... Y a de quoi être déprimé...

-C'est vrai, notre compagnon et surtout notre ami nous à malheureusement quitter, il est dans notre devoir de respecter sa mort en restant des plus touchée durant une semaine.dit la bourgeoise en regardant par la fenêtre. D'ailleurs en parlant d'être toucher... Je n'ai pas vu Maria aujourd'hui...

À bien y réfléchir personne n'avait croisé Maria depuis deux jours. Elle n'avait pas quitter sa chambre depuis ce temps.

-Bon je vais aller la chercher... Je suis après tout en parti responsable de la mort de Kasu...

L'ombre de la révolteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant