Chapitre 5

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Pendant que je surveillait les troupes, je vie encore un homme qui frappait une femme violemment, elle saignait, je me mis à courir vers eux malgré la douleur que mes cotes me procurerai, ils étaient tout au bout des rangs, quand j'ai commencé à courir, le Caporal était revenu et m'observait. Quand j'étais arrivé sur place, je tourna le gars par l'épaule et lui donna un magnifique coup de poing dans la tête, il s'écroula lui aussi. Je demanda à la jeune femme si ce n'était que superficiel ce qu'elle m'affirma, je pris le gars sur mon épaule et aida la jeune femme à se relever pour l'emmener à l'infirmerie. En revenant près du Caporal, il me demanda si j'avais fort mal à ma cote, je lui répondis qu'effectivement, j'avais mal, très mal mais avant qu'il me remette une nouvelle fois les os en place, je devais aller déposer le garçon et la jeune femme à l'infirmerie. Après ça, en revenant, je me mis devant le Caporal, il prit a nouveau mes hanches pour me rapprocher de lui, mit mes bras autour de son cou...tout le monde s'arrêta pour nous regarder, ils devaient tous penser que quelque chose de spécial aller se passer, ils nous fixaient tous, le Caporal releva mon haut, passa sa main délicatement sur mes cotes, quand il s'apprêtait à frapper, le jeune femme que j'avais secouru tout à l'heure cria au Caporal de ne pas me faire de mal.

Livai- LAISSES-MOI FAIRE, GAMINE !!

...- ARRÊTEZ, je vous en prie, ne faites pas de mal à celle qui m'a sauvé.

(T/p)- Ne t'inquiète pas, il ne va pas me faire de mal, au contraire...il répare sa propre erreur, le Caporal m'a fait mal mais il va entre guillemets soigner ma blessure.

Livai- Tu as compris maintenant, gamine ? Sert les poings et respire bien.

(T/p)- Vous n'étiez quand même pas obligé de... .

Il me frappa et me rattrapa comme ce matin. Elle mit ses mains devant sa bouche en me voyant tomber, elle arriva vers moi, le Caporal m'avait assise contre un arbre. Elle me demanda comment j'allais et je lui répondis que j'allais plutôt bien. Elle me demanda également ce qu'il m'avait fait pour avoir besoin de me frapper pour me soigner.

(T/p)- Il m'a donné un coup de poing la dernière fois si fort qu'il m'a déplacé une cote, il s'en est aperçu ce matin et m'a donné un nouveau coup pour la replacer et la, en courant pour aller sauver une autre femme, ma cote s'est à nouveau déplacé et il me la a nouveau remise en place.

...- Alors il n'est pas violent avec vous.

(T/p)- Un peu mais ça va.

Je me releva et quand je m'apprêtais à retourner dans les rangs et bien le Caporal m'attrapa le bras.

Livai- Si il y a le moindre problème, tu m'appelles.

(T/p)- Vous savez aussi bien que moi que je ne le ferai pas, vous savez très bien que je n'attendrai pas sagement que vous arriviez.

Livai- Tu m'exaspère, la gamine.

(T/p)- Je ne veux pas rester à rien faire, avec ou sans votre approbation, je déambulerai quand même dans les rangs.

Livai- Relativise et vas te reposer, gamine.

(T/p)- Non... .

Livai- Non ?

Je me défit de sa main et recommencé à marcher, il appela l'autre jeune femme et lui demanda de surveiller pendant que lui et moi marchions. De mon côté, je vie une femme avec les mains basses alors je lui releva, elle me regarda avec le sourire, je continua d'avancer et là, je le vie. Il était avec Eren, en face de moi, il se battait, la tête et les mains basses. Je me mot derrière lui, releva sa tête avec la main droite et je releva ses mains, il se retourna, me vit et sa tête se décomposa. Il me prit dans ses bras et tomba sous l'effet de l'émotion, 10 ans, 10 ans que nous ne nous étions pas vu.
Le Caporal arriva derrière nous.

Livai- Les 2 Kirstein ! AU BOULOT ! GAMINE ! Tu veux reprendre un coup ?

(T/p)- Aaaah ! Non...vous faites trop mal !!! Dis-je au Caporal Désolé, Jean, on se reparle tout à l'heure.

Jean- Attends, cette demi portion là, t'a fait mal ?

(T/p)- Si tu tiens à ta vie, évite de parler de lui comme ça.

Je lui montra ma cote.

Jean- AAAAH !! Non mais il faut que tu te fasses opérer là !

(T/p)- Ça va ! Il me la remise en place 2 fois.

Je retourna mon frère et plaça ses mains là où il le fallait releva sa tête et fit la même chose avec Eren. Puis je m'en alla observant de loin son combat. Je me dirigeais vers le Caporal, il me demanda si j'avais encore fort mal et je lui répondis que la douleur n'était plus aussi forte qu'avant mais qu'elle était bien présente.

...- SHORTYYYY !!!

Livai- Tiens revoilà la bigleuse.

Hange- Alors comme ça on caresse la cote de ses subalternes ?

Livai- Ça te dis quelque chose le terme replacer la cote que tu as déplacé, c'était nécessaire pour que je sache où donner un coup. Tu veux toujours voir des titans déviants ? Si oui sache qu'il y en a un.

Hange- Où ça ?

Livai- Juste devant moi.

Hange- T'es pas gentil, shorty.

(T/p)- On dirait un vieux couple.

Le Caporal leva les yeux au ciel, le Caporal ajouta que jamais il ne serai attiré par Hange, trop bizarre, trop curieuse, trop intrusive et d'autres choses. Il retourna sur l'estrade et fit signe d'arrêter l'exercice, nous le rejoignions (en marchant cette fois), tout le monde s'arrêta et s'en alla dans leur chambre pour reprendre quelques forces avant d'aller au réfectoire. Hange m'emmena pour aller sympathiser avec elle dans sa chambre, le Caporal la retena.

(T/p)- Caporal, pourquoi retenez-vous Hange ? Lui demandais-je.

Livai- (T/p), dans mon bureau, tu as des choses à régler avec les deux crétin, celui dont tu as donné un coup doit être réveillé.

Hange- Tu as frappé quelqu'un ?

(T/p)- Euh...oui mais le gars allait tuer une jeune fille qui avait du sang de partout, j'allais quand même pas lui faire ça, j'allais quand même pas le laissé commettre un meurtre...il y a pas un domaine où les femmes sont plus douées ?

Livai- C'est en voulant sauver la femme en détresse qu'elle s'est
re déplacée la cote.

Le Caporal me prit par le col et m'emmena avec lui malgré sa taille, je fit un signe de la main à Hange pour lui dire à tout à l'heure, en passant dans les couloirs, Jean me vit me faire traîner, d'un coup, je bondi, me releva et hurla sur le Caporal comme quoi je n'étais pas une serpillière et que je ne voulais pas qu'il m'emmène à son bureau de cette façon.

LivaïxReader Où les histoires vivent. Découvrez maintenant