Chapitre 12.

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(T/p), au réfectoire.
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Le Caporal était effectivement venu à notre table pour me forcer à manger avec Hange. Je ne disais pas le moindre mot, Sacha me demanda les pommes de terre que je lui donna avec grand plaisir, ce qui ne plaisait pas vraiment à mon supérieur. Je parti dans ma chambre pour me reposer et repenser e tout ce que j'avais vécu. Je pensais sérieusement à quitter l'armée, je me suis fais violé, j'ai envoyé les nouvelles recrues à l'infirmerie, je ne me voyais plus rester dans le bataillon. Jean entra dans ma chambre, s'assît a côté de moi sur le sol et me prit dans ses bras.

(T/p)- Jean, il faut que je te dise... .

Il me regarda perplexe, il avait l'air surpris, je pense qu'il ne s'attendait vraiment pas à ce que j'allais dire.

(T/p)- Je vais quitter l'armée... .
Jean- QUOI ?! Non mais tu es folle ou quoi ?
(T/p)- Je n'ai fais que m'attirer des problèmes et franchement, ce n'est pas ce que je veux, je veux rentrer à Trost.
Jean- Qu'est-ce que vont dire les autres ?
(T/p)- Ils devront faire avec.
Jean- Le Caporal t'a dit que tu es son meilleur soldat, quitter l'armée serai une faute grave !
...- Effectivement !
(T/p)- Caporal ! Vous êtes là depuis longtemps ?
Livai- Assez pour avoir compris. Tu es vraiment sûre ? Ce serait dommage.
(T/p)- Mais je ne cause que des problèmes !
Livai- Non, sinon crois moi que j'aurai déjà demandé de ton licenciement au près d'Erwin.
(T/p)- Hum... .
Livai- Jamais je ne serai venu te chercher chez l'autre type.
(T/p)- Peut-être... .
Livai- Reste avec nous.
(T/p)- Je ne sais pas.
Jean- Aller (T/p) !
(T/p)- Pfff.
Livai- J'ai une idée.
(T/p)- Encore une idée brillante... .
Livai- La ferme et suis moi. Jean viens.

Le Caporal chef me prit la main et m'emmena quelques part.

(T/p)- Mais qu'est-ce que vous allez faire !
Livai- Tu veux plutôt dire qu'est-ce que NOUS allons faire ?!

Nous arrivions dans la cour du QG. Il me plaça devant lui, quelques mètres de distance.

Livai- Tu es très forte au corps à corps et j'avais envie de voir quelque chose... . Si tu me bas je te laisserai partir mais sinon, tu restes.
(T/p)- Ooh...mais j'ai pas beaucoup de chance de gagner... .
Et que viens faire Jean ?
Livai- Arbitre.
(T/p)- Hum... .

Nous nous mettions en position de combat, Jean tira un fumigène vert pour donner le signal de départ. Personne n'attaqua...on tournait dans le sens des aiguilles d'une montre quand soudainement des soldats se sont ramené, j'ai relâché ma position de combat mais pas ma vigilance, je savais que mon supérieur allait attaquer alors quand il allait me donner un coup de poing, je lui attrapa le poignet, le tourna et lui donna un coup de pied dans l'estomac. Je lui fit un sourire et m'en rendit un. Les soldats autour étaient stupéfaits...(T/p) offrant un sourire, ils n'y croyaient plus et ce qui était encore plus étonnant c'était que le Caporal-chef le rende, même avec des yeux meurtriers, il dégagea sa main de mon emprise et essaya de me faucher. Je sauta pour esquiver. Je suis beaucoup plus agile que mon supérieur, je peux donc faire des saltos, des flips, des roues, des souplesses, des vrilles et toutes autres figures. Je lui poussa le torse et enroula mon pied derrière sa cheville, il tomba, me regarda furieux. Je m'assis sur lui à califourchon. A mon plus grand regret, il arriva à me faire basculer sur le dos et prendre ma place.

Livai- J'ai gagné.
(T/p)- Alors vous m'excuserez pour ça !

Je remonta mon genou et lui donna un coup dans son entre jambe. Je ramena avec difficulté mes jambes à mon cou, mis mes pieds sur son torse et le poussa. Je me releva en faisant une souplesse arrière.

LivaïxReader Où les histoires vivent. Découvrez maintenant