Chapitre 14.

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Je m'en alla dans ma chambre après ce magnifique discours et les inquiétudes de mon supérieur. Une fois dans celle ci, je me mis en pyjama...enfin...j'enleva mon pantalon, mes sangles, ma chemise, mon soutien-gorge et remis ma chemise qui m'arrivait juste en dessous de mes fesses. Je me coucha mais je fût vite réveillé à cause de mes supérieur et a cause d'Hange.

(T/p)- Non mais ça va pas !
Livai- La ferme la morveuse et suis nous.
(T/p)- Tiens, ça faisait longtemps.

Il me prit le bras et m'emmena dans son bureau. 2 soldats des Brigades Spéciales étaient là. Ils m'attendaient ? En me voyant arriver, ils me prirent les mains et me les menottèrent. Ils n'avaient même pas décliné leurs identités !

...- (T/p) Kirstein, nous vous arrêtons pour le meurtre de Joan Kiminashi.
(T/p)- QUOI ?! C'EST UNE BLAGUE ?! JOAN EST MORT ET VOUS PENSEZ QUE C'EST MOI ?!
Livai- Tch...ils ne pensent pas, ils sont sûr.

Les larmes perlées au coin de mes yeux et dévalées mes joues telles une cascade. Mes yeux virent au bleu foncé, le Caporal et le Major le remarqua.

Erwin- Attendez ! Stop ! Attendez avant de l'emmener !
(T/p)- Quoi ?
Livai- Tes yeux, meurtrière !
(T/p)- Je ne l'ai pas tué...quel aurait été mon mobile ?
...- Lorsque vous sortiez ensemble, il vous a trompé.
(T/p)- QUOI ?! Qui vous a dit que je suis sorti avec lui ?
Erwin- Oui, qui ?
...- Charle Magne.
(T/p)- Ce petit con... . Écoutez moi, je ne suis jamais sorti avec Joan... .
Livai- Ne mens pas à tes supérieurs et à ceux qui t'arrête, tu as tué Kiminashi, tu es une meurtrière.
(T/p)- (pleurant à chaude larmes) Je ne l'ai pas tué... .

Le Caporal me regardait vraiment très mal, il ne me croyais plus...il ne m'avait jamais fait confiance... .

Erwin- (T/p), tu as tué Joan, ils ont des preuves.
(T/p)- Preuves de quoi ? J'ai pas votre arme du crime, j'ai pas de mobile, mon alibi c'est que je faisais un discours anti-sexiste avant d'aller directement me coucher, ensuite vous êtes arrivés comme des furies perturbant mon sommeil réparateur.
Livai- Quand tu dis que tu n'as pas l'arme du crime, tu plaisante ? Elle est sur toi !

Il passa ses mains autour de ma taille et prit ma lame de secours, au cas où je me fais attaquer. Il l'enleva de son étui, elle était recouverte de sang...en voyant ça, je m'effondra, je n'ai pas tué Joan mais pourtant j'ai l'arme du crime autour de ma taille. Ce n'était pas possible puisque je l'avais déposé dans mon tiroir du bureau. J'avais beau dire quoi que ce soit, personne ne m'écoutait, le bleu avait laisser place au rouge vif. J'étais en colère, après Hange, le Major et le Caporal. Ils ne me faisaient pas confiance et ne me croyais pas.

(T/p)- AAAAAAHHHH !!! JE VOUS AI DIT QUE JE NE L'AI PAS TUÉ !! IL ÉTAIT MON MEILLEUR AMI QUAND NOUS ÉTIONS PETIT, JE L'AI REVUE SEULEMENT IL Y A QUELQUES JOURS !! J'AI PERDU MON SANG FROID À CAUSE DE VOUS TROIS, VOUS N'AVEZ PAS CONFIANCE EN MOI ET VOUS NE L'AVEZ JAMAIS EU, BANDES DE TRAÎTRES !! MOI J'AVAIS CONFIANCE MAIS JE NE L'AI PLUS ?! LAISSEZ MOI PARTIR !!

J'étais tellement enragée que j'avais réussi à casser les menottes qui me retenaient.

Je sorti du bureau en claquant la porte, en partant, j'avais fait tellement de bruit que tous mes amis et mon frère étaient là, eux aussi, ils me regardaient mal.

Jean- (T/p), pourquoi tu as tué Joan ?
(T/p)- AAAAAAAAHHHH !!! TU VAS PAS T'Y METTRE ?! TU SAIS QUOI, JEAN, JE NE TE CONSIDÈRE PLUS COMME MON FRÈRE ET VOUS, VOUS PENSEZ QUE JE L'AI TUÉ AUSSI ?

Ils baissèrent les yeux, j'avais compris qu'ils n'avaient pas confiance en moi non plus.

(T/p)- Comment j'ai fais pour m'attacher à une bande d'idiots... .
Eren- (T/p), ATTENDS ?!
(T/p)- LA FERME ! A PARTIR DU MOMENT OÙ VOUS N'ÊTES PAS FOUTU DE ME FAIRE CONFIANCE ET DE ME CROIRE QUAND JE VOUS DIS QUE JE NE L'AI PAS TUÉ, VOUS N'ÊTES PLUS RIEN ! C'EST COMME SI JE N'AVAIS JAMAIS REVUE JEAN, COMME SI JE NE VOUS AVAIS JAMAIS RENCONTRÉ ?! VOUS N'ÊTES PLUS RIEN !!!!

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