La Maîtresse De Steve Garett

Chapitre 34

Steve frappa du point sur la porte de la chambre avant de sortir. Cette journée n'était décidement pas la sienne. La seule personne en qui il croyait pouvoir trouvé du reconfort lui faisait encore plus de mal que tout le monde.

Il s'adossa contre la porte déjà fermer et resta là. Les yeux fermés, il essaya tant bien que mal de chasser l'affreuse migraine qui lui martyrisait les tempes. 
Il avait besoin de prendre l'air, si non c'était certain qu'il allait finir par devenir fou.

Pourquoi Chloé ne voulait-elle pas comprendre son envie de fonder une famille avec elle ? Pire, elle était répugné rien qu'à l'idée d'avoir un enfant de lui.

Oui il lui avait fait du mal.
Oui il avait commis des erreurs, comme le commun de mortels d'ailleur.
Mais il s'était aussi excusé, il lui avait demandé pardon et il mérité qu'elle lui pardonne. Aucours de ses quelques semaines passés ensemble il avait cru qu'ils  avaient fini par tourner la page. Il s'était lourdement tromper.

Furieux contre lui même mais surtout contre elle, Steve descendit  quatre à quatre les marches des l'escalier et quitta l'appartement en claquant fortement la porte.

Ils n'étaient peut être pas sûre qu'il y avait un bébé en route, mais s'il y en avait, il avait le plein droit de descider de son sort tout autant qu'elle. Elle n'avait aucun droit de tuer leur enfant avant même qu'il ne puisse voir le jour. Il fit demi-tour et retourna à l'appartement. Il ne la laisserai pas leur faire du mal. Il verrouilla la porte de sorti avant de repartir.

Elle voulait prendre des pillules ? Eh bien lui ne voulait pas, il était temps qu'elle comprenne qui de eux deux commender.

Il était 00h 5' quand Rocco vint lui ouvrir la porte de chez lui en peignoir. Après avoir conduit comme un fou dans les rues de New york il avait fini par se retrouver devant la maison de son ami de toujours.

-Tout va bien Steve ? S'inquiet ce dernier en regardant l'heure sur la pendule accrocher sur l'un des murs du hall d'entrer.

Il n'eut qu'à le regardé pour savoir que non il n'allait pas bien. Il le laissa entré sans attendre.
Du haut de l'escalier qui ménait aux étages, Karmen fut un signe de tête à Rocco qui sembla comprendre ce qu'elle voulait dire puis retourna à sa chambre.

-Quesqui se passe ? Questionna Rocco. Esque quelque chose est arrivé à Chloé ?

Son nom sonna comme une torture à ses oreilles.
Etant un habituer de la maison, Steve se dirigea directement vers le coin bar du living-room et se servit un scotch qu'il bu d'un coup avant de se reservir.

-Tu m'inquiète sérieusement mec; dit Rocco en s'asseyant en face de lui. Racconte-moi ce qui se passe. Esqu'il y a eu un problème à la recolte de fond pour la campagne ?

-Non, tout s'est bien passé; dit-il enfin. Du moin, je l'espère je n'ai pas attendu jusqu'à la fin de la soirée.

-Karmen ne se sentait pas très bien c'est pour ça que nous ne sommes pas venus.

Il lui racconta dans le détail d'abord la découverte qu'il venait de faire sur son père et Sabrina puis son histoire avec Chloé depuis le début.

Quant il fini son récit, Rocco qui jusque là n'avait fait aucun commentaire, se versa à son tour un verre de scotch.
Il resta calme pendant un bon moment.

-Et que comptes-tu faire ? Demanda-t-il.

Steve expira lourdement. Il ne le savait pas lui même. Ça aurait été telment facile si Chloé était toujours amoureuse de lui.

C'est ta faute; lui rappella la petite voix dans sa tête.

-Tu ne crois pas que l'enfermer dans l'appartement est un peu trop ?

Il avait besoin du soutient de son ami pas qu'il lui fasse la morale.

-Je n'ai vraiment pas besoin que tu me fasse la morale Rocco. Je suis venus par ce que j'avait besoin de parler à quelqu'un. Et puis franchement selon toi qu'aurais-je dû faire.

-Je ne suis pas contre toi Steve. Tu es furieux et je te comprends; dit-il.

Ce n'est pas l'impression que Steve avait, non.

-Karmen est tomber enceinte d'un accord commun, nous voulions tout le deux ce bébé. Je comprends que tu aie envie d'avoir ta propre famille mais as-tu pensé à elle ? A ce qu'elle veut ?

Rocco le connait telment bien qu'il arrivait à le percé à jour même quand lui ne le pouvait pas.

-Comprend qu'elle ne puisse pas te faire confiance à cent pour cent après ce qui s'est passé et surtout maintenant qu'elle connait la véritée.

-C'est elle qui est parti; retorqua-t-il sur la défensive.

-Aucune femme ne serait resté après les atrocités que tu lui as dites ce jour là. Il aurait été simple de lui expliquer les raisons de ton marriage, je suis sûre qu'elle serait resté par amour pour toi mais....

Il inspira avant de continuer.

-Ce n'est plus la peine de revenir à tout ça. Le fait est qu'elle a peur que l'histoire se répète et le mieux serait que tu la laisses décidé de ce qu'elle veut. Si non, tu risque de la perdre pour de bon cette fois.

Même si Rocco l'agacait parfois, comme à cet instant, Steve savait toute fois qu'il avait raison.
Il passa ses deux mains dans se cheveux d'une manière las.

Après un dernier verre, Rocco le raccompagna jusqu' à la porte.

-Tu aimes cette femme Steve. Ne la laisse pas te filer entre les doigts mon gars si non tu passeras ta vie à le regretter.

Le son du verrou de la porte qu'on ouvrait, reveilla Chloé. Elle avait fini par sombrer dans un demi-sommeil après s'être épuiser à essayer d'ouvrir la porte d'entrer. Elle avait toujours du mal à croire que Steve aie été asser égoïste pour l'enfermer dans l'appartement. Tout tourner toujours autour de lui, elle en avait marre qu'il veille tout le temps contrôler sa vie. 

Recroquevillé sur le plancher du vestibule, Chloé le regardait avec telment de fureur que si ses yeux avaient été des bombes, il serait déjà en cendre.

Ni l'un, ni l'autre ne parla. Il attendu que Chloé l'insulte ou explose de fureur mais rien. Elle ne bougea pas ni ne dit un seul mot. Lui non plus ne le fit pas, il n'y avait rien à dire.

Il s'approcha de l'endroit où elle était assise et lui tendit le paquet qu'il avait à la main. Comme elle ne fit aucun mouvement pour le prendre,il le mit sur le sol à côté d'elle. Il se tourna pour partir.

-Je veus partir; l'entendit-il dire d'une petite voix.

Son cœur râta un battement. Non, elle ne pouvait pas lui faire ça. Surment pas maintenant qu'il était près à tout pour la gardée au près de lui. Son cœur se brisa à l'idée de ne plus la voir le matin à son reveil.

-Tu sais que tu ne peus pas. Si pas pour toi pense à tout les enfants du centre et à tout tes amis qui y travaille. Il serai vraiment dommage que je leur retire mon aide et mes finances tu ne crois pas; dit-il d'un ton neutre qu'il était loin de ressentir.

Et si malgré sa ménace elle décide de partir ? Il ne s'en remettrait pas.

Biensur il ne pensait pas un mot de sa menace, il était incapable de laisser tout ces enfants détruire leur vie et encore moin les voir souffrir. Cet chantage était son dernier espoir de la faire changée d'avis, il savait à quel point tout ces gens comptaient pour elle.

-Tu ne faira jamais une chose pareille....

-Tu ne veus pas prendre le risque.

Il quitta la pièce la laissant seul.