La Maîtresse De Steve Garett

chapitre 11

Steve bu d'un trait son whisky puis envoya un troisième verre se briser contre le mur de son bureau.

Elle l'avait traité de violeur, comment avait-elle pu croire un seul instant qu'il pourrait abusé d'elle ?
Mais était-elle à blamé ?

Non, elle avait était une victime. Il laissa explosé sa rage sur sa table de travaille. Ses dossiers, son ordinateur, ses crayons...tout alla réjoindre le sol.
L'image de Chloé se débattant contre un port sans succés s'imposant à son ésprit.

Il prit la bouteille de whisky et la vida en une longue gorgé. Il ne savait rien de son passé, ni des choses qu'elle avait dû endurer mais il en payait les pots cassés. Le voir avait dû lui rappeller des mauvais souvenir.
Il y a trois ans, il ne c'était pas soucié de la connaitre un peu mieux, s'il l'avait fait, il saurait au moin ce qui la tourmenter mais élas, il s'était laissé guider par son égo.

Elle avait raison il l'avait traité comme la plus part de ses clients, il avait telment voulu se protéger de tout sentiment qu'il n'avait pas vu tout les mals qu'il lui faisait. Elle s'était donné entièrement à lui et lui au lieu de l'accepter comme elle était il l'avait silencieusement juger. Ne s'autorisant aucune sortit dans son cercle avec elle par peur que son passé se sache et détruise sa réputation par la même occasion.

Sauf que maintenent qu'il était près à entammer une rélation sérieuse avec Chloé, le passé de  cette dernière venait plané comme une ombre autour d'eux. Elle avait surment vécu des horreurs et pour le savoir il lui fallait beaucoup de patience, une patience qu'il ne s'était jamais vanter d'avoir.

Il ne savait peut être pas contre quoi il allait devoir se battre mais il se promit que cette fois il se battrait pour elle et célà même contre son passé.

Il envoya Guiseppe la chercher dès que le repas fut servit dans la salle à manger deux heures plus tard.
Il s'était calmé et avait répris ses ésprit, en espérant qu'elle aie fait de même.
Il remit de l'ordre dans ses cheveux en bataille de sa main et bu une gorgé du café fumant que Guiseppe lui avait apporté pour faire disparaître l'odeur d'alcool. Pas qu'il se soucit vraiment de son apparence mais, elle le prennait déjà pour un violeur pas besoin d'ajouter ivrogne à sa liste de défauts.
Pourquoi n'arrivaient-ils pas?
Il commençait à perdre patience et voulait la revoir au plus vite.

Guiseppe réapparut alors vers la porte de la salle à manger accompagner de près par  Chloé.
Elle avait apparemment pris un bain et s'étais changé. Elle était vêtus d'une robe rose trop ample pour elle.

Si elle voulait le dégoûté en portant des habits larges, alors elle se trompait, ça ne faisait qu'accroitre son envie de savoir ce qui se cachait sous ces habits bien trop moche.
Elle s'installa en face de lui sans dire un mot.

-Bonsoir

-Bonsoir; répondut-elle sans pour autant le regarder.

Leur repas leur fut servis dans un silence de mort. Elle entreprit de trié ses aliments sans pour autant les mangés. Elle joua pendant un moment avec ses aliments avant qu'il ne perde patience à la voir manger.

-Tu es censé manger pas jouer avec ta nourriture.

Dans le silence elle avala enfin sa première bouché.

-Esque ça te plait ?

Steve voulait à tout prix rompre ce silence dans lequel elle voulait s'enfermé.

-Oui c'...est très bon.

-Dans ce cas il serait navré que tu ne finisse pas ton assiétte, Guiseppe sera surment déçu.

Elle soutient son regard pendant un moment avant de le baissé sur son assiétte. 
Steve se concentra aussi sur son repas, il était claire qu'elle ne voulait pas lui parler.

Le repas se poursuivit en silence jusqu'à ce que Chloé le rompe.

-Je suis désolé pour ce que je t'ai dit tout à l'heure. Je...je...oublie ça s'il te plait.

Steve leva la tête de son assiétte pour la regarder mais elle était toujours tête baissée sur son assiette et jouer avec son repas.

-Je ne crois pas pouvoir oublier, bella.

Elle leva enfin sa tête et croisa son regard.

-Je ne le pensais pas Steve je...

Elle se massa le front avec son pouce et son index comme pour chasser une migraine.

-Tu ne le pensais peut être pas mais je ne peus pas pour autant faire comme si de rien n'était, tu es perturbé et j'aimerais savoir pourquoi.

-Ça n'as pas d'importance de toute façon, s'étais juste une bêtise que j'ai sorti je ne même pas pourquoi.

-Tu le pensais vraiment Chloé; dit-il,il soufla un bon coup avant de continuer. Je ne sais pas ce qui t'est arrivé mais sache que je ne te fairais jamais de mal physiquement, je ne suis pas de ceux qui battent ou abusent de femmes.

Elle poussa cette fois son assiétte puis bu un peu d'eau.

-Je le sais et je suis sincérement désolé de t'avoir dit ça.

Steve se leva de sa chaise pour aller vers elle.
Il mit un gênou à terre pour être à sa hauteur. Elle se cala encore plus sur son siège pour éviter tout rapprochement.
Chloé croisa le regard impassible de  Steve. Il mit sa main droite sur sa joue et la caressa avec tendresse. Elle n'avait pas besoin qu'il se montre aussi gentil avec elle. Elle était capable de gérer leurs joutes verbales mais face à sa gentillesse elle perdait ses moyens et ce n'était pas du tout bon.

-Pourquoi tu ne veus pas me dire qui t'a fait du mal petite fée...

Il mit son front sur le sien, ce qui provoqua un millier de frissons dans tout le corps de Chloé.

-Parle-moi s'il te plaît, j'ai besoin de savoir, je ne supporte pas de te voir dans cet état, laisse-moi t'aider.

Chloé ferma les yeux un instant emporter par la voix douce et rassurante de Steve. Il était si proche d'elle, son soufle venait caressé son visage, un seul petit mouvement et leur lèvres ne fairaient plus qu'un.

Elle avait rêvé de ce moment pendant trop longtemps, bien de fois elle avait ésperé qu'il se confie à elle, sur sa famille, son travaille ou même ses amis. Mais il avait été claire; Pas de confidence entre eux et maintenant qu'il était près à lui manifester un peu d'intérêt, elle n'en avait plus envie. Steve faisait parti d'un monde bien trop différent de celui dans lequel elle avait grandi, par conséquent il ne pourrait jamais la comprendre. Elle mit ses mains sur les accoudoirs de la chaise puis la poussa en arrière se libérant ainsi de l'emprise de Steve. Elle avait déjà du mal à supporter sa gentillesse, sa pitié était la dernière chose qu'elle voulait.
Elle se leva immiter par Steve qui ne comprenait rien à la situation.

-Tu as été claire il y a trois, une relation platonique pas d'attachement, pas de confidence, tu as tes sécrets et j'ai les miens alors il vaut mieux en rester là.

Sur ce, elle lui tourna le dot et s'en alla.