Chapitre 27

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La journée se passa à merveille.
Chloé eut un grand plaisir à visiter la maison de retraite, l'orphelinat ou encore la maternité. Mais rien de tout ça n'était comparable à la joie qu'elle ressentait à regarder Steve s'occuppait avec soin de tout ces gens. Tout le monde semblait l'aimé, en un rien de temps il avait conquis les cœurs de toute personne qu'ils avaient croisés jusque là. Mais ne l'avait lachée sous aucun pretexte. Elle était toujours à côté de lui quant il fallait serré des mains ou s'entretenir avec tel ou tel autorité. Même que, à l'hopital quant on lui avait démandé de couper le ruban de la nouvelle matérnité, il avait insisté pour qu'ils la coupent ensemble.

A plusieur reprise, il avait été confronter à des questions à son sujet, il les avait tous gentiment ignorer.

Maintenant elle était assise au milieu d'une ribambelle d'enfant, un petit garçon sur les génoux et un livre à la main entrain de leur lire un comte.

L'établissement youngester, était une sorte d'orphélinat privée, acceuillant les enfants qui souffraient de maltraitence parental ou tout simplement d'abandon.
Les responsables du centre donnés à tout ces enfants un environnement sain et une famille pour chacun d'entre eux. Elle aurait aimé être récceuilli par des telles personnes pendant son enfance sa vie en aurai été peut être différente.

De l'autre bout de la salle Steve écoutait distraitement les paroles de Tony concernant l'interview qu'il devait donné à la fin de cette visite, absorber dans sa contemplation de la femme au centre de l'attention.
Tous semblaient sous son charme, les enfants, l'assemblée, les journalistes.....lui.

Elle semblait vraiment à l'aise avec tout ces enfants autour, pourtant, il aurait juré l'avoir sentit déconfite et gêné pendant la visite à la matérnité.
Elle était resté seul dans son coin ne s'approchant que peu des bébés et n'en avait touché aucun.

La femme à la matérnité et celle qui se trouve maintenant sous ses yeux semblait si différente.

N'aimait-elle pas les bébés ? Non impossible aussi loin qu'il se souvienne Chloé avait toujours été fasciner par ces bout d'être. Ça devait surment venir de son inquiétude à cause des paparazzi. Il aurait donné tout pour les faires tous disparaître.

Les beaux yeux de Chloé captura son regard le sortant de sa litargie.
Elle acquissa un sourire plus lui fit un clin d'œil.
Destabilisé, il sourit malgré lui. C'était de la pure provocation de sa part et il avait hâte de se retrouver seul avec elle pour le lui faire payer.

Elle se leva de sa chaise demanda quelque chose à un employer du centre puis prit la direction qu'on lui indiquer du doigt. Il fit signe à Tony de s'arrêter dans son monologue puis quitta à son tour la salle.

Après s'être débarbouiller, Chloé quitta alors la petite pièce qui cervait de toilette pour dame. Avant d'avoir pu fermer correctement la porte, une poignet ferme la saisit par le bras avant de la plaquer contre le mur. Elle cria mais son cri s'arrêta dans sa gorge quand son agresseur plaqua sa main contre sa bouche.

Ainsi plaquer, elle put enfin regardé son agrésseur et son soulagement se transforma en colère.
Un sourire moqueur aux lèvres, Steve la regardait une lueur amusée dans les yeux.

-Alors, Madémoiselle je vous ai fait peur ? Railla-t-il.

Elle essaya de se dégager mais il pesa sur elle de tout son poids la bloquant encore plus. Malgré sa frustration son corps réagi à la chaleur de celui de Steve. Elle jigotta pour lui échaper  mais aulieu de ça son ventre se retrouva collé à ses hanches ce qui accentua encore son trouble.

-Je vois qu'on est d'humeur joueuse aujourd'hui; dit-il tout près de son oreille. Dit-moi, Que devrais-je faire de toi, hein ?

Elle bougea la tête pour se dégager mais sans succés, la main sur sa bouche la ténait fermement. Sa colère monta en flêche ainsi qu'un tout autre sentiment dérangeant.

-Tu m'as allumé toute la journée, et il me tarde de me vanger.

Elle lui mordu la pomme de main. Il lâcha un grognement sourd puis éclata de rire.

-J'aime quand tu joues au dure comme ça; susurra-t-il près de sa joue. Ça promet beaucoup d'autre plaisir.

Il ponctua sa phrase par une morsure à la joue puis retira enfin sa main de sa bouche.

-Ça ne va pas dans ta tête ? Explosa-t-elle. Quesqui t'a pris de me faire peur ainsi, et puis pousse toi tu m'étouffe connard....

Il aimait la façon qu'avait son nez de se froncé quant elle était en colère. Et le plis de sa bouche quand elle lui crié dessus. Cette bouche qu'il avait enfin d'embrassé depuis le matin. De son pouce, il déssina le contour de ses jolies lèvres.

S'il avait su que ce simple geste la  coupérait dans le flot d'insulte qu'elle lui lancait il l'aurait fait plus tôt. Il rapprocha lentement sa tête de la sienne tout en caressant sa nuque de son pouce gauche.

-Non...non. N'y pense même pas; paniqua Chloé en essayant de le repousser de ses mains sur son torse. Tu vas détruire mon gloss si tu m'embrasse, j'aurais les lèvres gonflés et tout le monde dévinera ce qui c'est pas...

il la coupa dans sa phrase par le pouce qu'il posa sur ses lèvres.

-Qui a dit que j'allais embrassé tes lèvres; renchérit-il une lueur espiègle dans les yeux.

Sans plus de cérémonie, il se pencha et l'embrassa dans le cou. Il parsema des petits baisés de son sou à son épaule avait de devenir plus insistant. Il lecha la lobe de son oreille ce qui emporta le peu de bon sens qui lui restait.

Elle ferma les yeux et s'accrocha à lui. Les mains de Steve partirent à la découverte de son corps.
Ses hanches, son dot, ses cuisses...mais quand ils s'arrêterent sur ses seins, elle oublia Tout et émis un gémissement. Elle ondulla des hanches pour se rapprocher encore plus de lui.

Quand elle crut ne plus pouvoir tenir trop longtemps avant de faire demi-tour et retourner dans la toilette avec lui cette fois, un petit cuinement se fit entendre avant d'être suivit par le rire d'un enfant. 

Elle s'éloigna de lui en un tourne-main.
Steve rit en essuyant le contour de ses lèvres, lui fit un clin d'œil puis l'abandonnant avec la petite fille.

La Maîtresse De Steve GarettOù les histoires vivent. Découvrez maintenant