Chapitre 38

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-Tonny où es-tu putain; tonna Steve son portable à l'oreille. Et où sont les autres employés, il est plus de neuf heure et mes locaux sont toujours vide. Je ne suis entouré que par des incompétents....

-Mais....

-Ne me coupe plus jamais la parole.

Le silence se fut entendre à l'autre bout du fil.

-Si tu ne ramène pas tes fesses ici dans moin de dix minutes ne revient plus jamais et tu peus dire aux autres employés que ce n'est pas la peine qu'ils viennent travaillés, ils sont tous virés.

Son affreux mal de tête tripla d'intensité, sa tête allée exploser c'était certain. Tonny attendi d'être sûre qu'il avait fini de parler avant de repondre.

-On est dimenche Steve et les gens normeaux ne travaillent pas aujourd'hui alors trouve autre chose à faire et bonne journée.

Déjà qu'il avait eu l'audace de lui repondre, il raccrocha qui plus est. Il se promit de chercher un autre assistant dès aujourd'hui mais avant il devait trouvé un comprimé pour son mal de tête.

Après dix minutes de recherches infructueuses, il décida d'abandonné. Il ne savait pas où était rangé tel ou tel chose dans cet immense bureau on lui aurait demandé un crayon qu'il ne l'aurait pas trouvé. Tonny savait surment quel était la place de chaque objet et à quoi il servait contrairement à lui.

Il s'assit à son bureau avec lassitude, son mal de tête ne cessant d'accroître.

Deux mois.

Voilà deux mois qu'il avait quitté Paris et donc deux mois qu'il n'avait plus révus Chloé.
Soixante-deux jours, 1 488 heures, 89 280 minutes.... une éternitée.

Il cogna son point sur le bureau ce qui lui arracha une plainte.
La porte de son bureau s'ouvrit sur Rocco un carton à la main.

-Tu ne sais pas qu'on toque avant d'entrer ? Dit Steve en jurant dans sa barbe de quelques jours.

-Waouhhh ! Quel acceuil chalereux, merci beaucoup; taquina-t-il.

-Quesque tu veus Rocco, je ne suis pas d'humeur là.

-Tu ne l'es jamais ces jours-ci mais bon; coupa-t-il. Tonny m'a dit que....

-Ne mentionne plus le nom de cet abruti ici, il est viré; dit-il.

Rocco s'assit en face de lui sans pour autant repondre, trouvant inutile de le contrarier encore plus. Et sachant qu'il ne pensait pas un mot de ses dires.

-Le gardien m'a donné ça pour toi; dit Rocco en lui tendant le carton. Il dit que c'est arrivé tard hier.

-Quesque c'est ?

-Je ne sais pas tu devrais l'ouvrir.

Steve regarda le carton en face de lui.

-Laisse-le je l'ouvrirais un jour.

-Il vient de Paris; ajouta Rocco comme si cette seul phrase allé lui faire changer d'avis.

Il n'hésita qu'une seconde avant de s'emparer du carton et l'ouvrir.
La couverture d' Eliane et ses deux photos pas des photocopies comme il l'avait démandé mais les originaux. Elle lui avait donné les dernier souvenir de leur fille. Sur la petite carte il n'y avait qu'un phrase: " je crois que tu en as plus besoin que moi "

Oui, il en avait besoin mais pas seulement d'Eliane, il avait encore plus besoin d' Elle.

-Tu devrais lui dire ce que tu ressens.

La Maîtresse De Steve GarettOù les histoires vivent. Découvrez maintenant