La Maîtresse De Steve Garett

chapitre 6

Chloé se reveilla avec d'énormes cernes sous les yeux. Elle avait àpeine dormi et avait lutté tant bien que mal contre l'envie de prendre ses affaires et partir loin d'ici sans laisser des traces pour que Steve ne la retrouve point.
Pourtant trois ans plutôt elle avait fait la même choses mais malheureusement il l'avait rétrouvé. Et puis elle n'allait pas passer toute sa vie à fuire cet homme. Mais aussi, deux million de dollars était beaucoups d'argent; avec une telle somme elle pourrait enfin ouvrir sa propre galérie d'art et s'achêter une petite maison où elle pourra passé le reste de sa vie. Et surtout il fallait qu'elle mette un trait sur cet homme une fois pour toute.

Elle prit une douche à la va vite puis alla s'habillé et préparé sa valise.
Elle ouvrit l'un de deux armoires de sa minuscule commode pour en sortir ses vêtements et les étala sur le lit puis passa à la deuxième pour en sortir ses sous vêtements et resta figé un moment. Ils étaient sans déssus-déssous, la veille au matin elle les avaient pourtant laissés bien ranger.
Elle poussa un soupir las; finalement la proposition de Steve était tombé pile au bon moment. Elle en avait assé de son pervers de bailleur qui avait les doubles clès de son apparte. Il ne ratait jamais une occasion pour aller fuiller dans ses affaires mais n'était encore jamais allé jusqu'à son armoire à sous-vêtements. Bon sang, elle en avait assé de lui et de ses avances dégoutantes. Aumoin elle ne le réverait plus jamais.

Elle chercha un ténus correcte à se mettre mais ne trouva rien. Tout ses habits n'était plus à sa taille. Après sa grossesse aulieu de prendre des formes, elle en avait perdus. Elle regratta de ne pas avoir écouter Katy quant elle lui disait de réfère sa garde robe; elle ne se rappelait même pas la dernière fois qu'elle s'était achêté quelque chose à porter mais pour sûre ça rémonter à lontemps. Elle prit alors une robe que katy avait oublié chez elle, elle s'excuserait et la rembourserait plus tard.

Comme promit vers 10h 30', le chauffeur de Steve vint toqué à sa porte. Il l'aida avec sa petite valise qu'il mit dans le coffre puis lui ouvrit la portière de la jeep noir. Elle était soulagé que Steve ne soit pas venus la chercher, elle n'aurait pas aimé qu'il voit dans quel condition elle vivait.
Toute les têtes se tourner sur leur passage, il était extrémement rare de voir ce genre de voiture dans son quartier minable. Dans la voiture, elle appella son patron pour donné sa démission; ça aussi elle n'allait pas le régretter. Elle en avait assé de tout ces ivrognes, des bagares et surtout des petites tapes sur son postérieur. La seul chose qu'elle regrétèra c'est le centre.

Dès qu'elle arriva à l'aéroport, on la conduisit dans une salle d'attente privé où on lui apporta un café. Après une démi-heure d'attente, Steve pointa enfin son nez. Elle le vut arrivait grace à la baie vitre de la salle d'attente.

Ce n'est pas trop tôt; pensa-t-elle. Il était en ténus décontracter. Son jean gris, sa veste en cuir noir et son t-shirt impécablement blanc mettaient en valeur sa silhouéte atlétique.
Lunettes de soleil sur son nez, il avançait dans la foule tel un mannequin; suivit de près par ses gardes qui se chargaient d'éloigner les paparazzis et certains voyageurs curieux.
L'un de ses gardes lui ouvrit la porte puis il entra. Elle se leva immédiatement à son approche, les mains jointes sur sa petite robe d'été.

-Bonjour bella; dit-il en enleva ses lunettes.

-Bonjour; repondit-elle en avalant sa salive.

-Suis-moi, on sera mieux dans l'avion.

Elle prit sa petite valise à côté de son siège.

-C'est tout ce que tu as comme bagage? Demanda steve à la vue du petit sac qu'elle avait.

Chloé reagrda sa valise puis remit ses yeux sur steve.

-J'ai juste prit le nécéssaire; mentit-elle.

Lui dire qu'elle n'avait presque rien n'était pas résonnable.

-Ah ! Parce que tu pense revenir ici??

Surcil gauche levait, il la toisait comme s'il avait une débile devant lui.

-On ne sait jamais; peut être que ma vie de débaucher va me manquer.

Elle le préceda vers la sortit pour couper cour à cette discution.

-C'est par ici; dit-il en pointant la porte opposer.

-Sois sûre que tu ne travailleras plus jamais dans un bar de toute ta vie; continua-t-il.

Qu' entendait-il par là ? 
Elle en avait aucune idée, sa plaisanterie était de mauvais goût mais il l'avait bien chercher et puis c'était sa mission de lui rendre la vie impossible. Telment que dans deux mois il serait soulagé de se débarasser d'elle.
Elle le suivit vers l'autre sortit en silence, puis sur le tarmac.
Elle fut époustoufflé par l'avion devant ses yeux.

Un jet privé, comment avait-elle put croire qu'il voyagait comme le gens normal? Steve Garett n'avait rien de normal, il  le lui avait pourtant dit trois ans plutôt, non ?
Deux homme vinrent prendre leur valise.

Ils entrerent dans l'avion à l'intérieur encore plus sophistiquer que l'extérieur. Il ne lui parlait toujours pas et c'était agaçant. D'autant plus qu'elle ne savait pas quoi faire dans un avion et qu'elle en avait peur.
  Elle s'assit sur le premier fauteil qui se présenta à elle.

-Tu vas faire la moue toute la journée? Demanda-t-elle.

Elle était en panique mais hors de question qu'elle le lui montre.

-Met ta ceinture, on va bientôt décoller.

Il lui tourna le dot pour partir et sa panique monta d'un cran.

-Où vas-tu? Demanda-t-elle.

-Je vais prendre les commandes du décollage; je réviendrais plus t...

-Quoi? Il n'y a pas des professionnels à bord ?

Ses yeux grands ouvert trahissait sa panique elle le savait, et puis il n'y avait qu'à voir le sourir de steve pour voir qu'il a comprit.

-Ne t'en fait pas il n'y a aucun risque d'accident, je tiens à ma vie tout autant que toi.

Il voulut s'éloinger de nouveau mais elle se leva à la hâte et s'accrocha à lui.

-Je préfère venir avec toi.

Steve sourit en regardant ses mains accrocher à sa veste.
Elle le lacha et retrouva un peu de son bon sens.

-Si ça peut te rassurer.

-Quoi ! Me rassurer? Je n'ai pas peur, c'est juste pour assister à un décollage, histoire d'en apprendre un peu plus sur les avions ça a toujours était ma passion.

Il rit de plus bel cette fois, dévoilant ses magnifiques dents blanches.
Elle le suivit de près jusqu'au devant de l'appareil.
Il demanda à l'un de deux pilote de lui ceder sa place. Celui-ci s'en alla.
Il vient vers elle et lui demanda de s'assoir sur un troisième fauteil un peu à l'écart de deux autres. Elle aurait aimé être à côté de lui.
Il l'aida à bouclé sa ceinture puis déposa un baiser sur ses lèvres avant de partir.

Son chaste baiser lui fit oublier pour un moment sa peur. Puis dans un bruit des moteurs, l'avion commença petit à petit sa montée.
Elle ferma les yeux et s'accrocha aux accoudoirs de toute ses forces.