La Maîtresse De Steve Garett

chapitre 5

Chloé resta figé face à l'homme en face de lui. Il était calme alors que elle bouillonait de l'intérieur.
Il n'avait aucun droit de lui faire ça. Il n'avait donc pas de cœur? Pas d'éstime pour elle ?

-Je veus que tu rédeviennes ma maîtresse; dit-il après avoir bu une gorgé de son champagne.

Un long moment de silence s'en suivit.
Chloé explosait carrement de l'intérieur.

-Tu as perdus la tête? Jamais de la vie tu m'entends, plus jamais.

Il essuya sa bouche avec une serviette qu'il déposa par la suite sur la table puis croisa ses mains sur sa poitrine en se calant de tout son poids sur sa chaise.

Sa musculature avait doublet depuis la dernière fois qu'elle l'avait vu; ne put s'empêcher de remarquer Chloé. L'ombre noir de sa barbe légére lui donné un air de prédateur. Si par le passé elle l'avait trouvé sympa et gentil, maintenant il lui faisait carrement peur.

-Sauf si tu as mon argent là tout de suite je ne vois pas un autre moyen par lequel tu pourrais me payer.

Chloé chercha dans sa tête, elle non plus ne voyais aucun autre moyen par lequel elle pourrait le payer.

-Ecoute aumoin ma proposition jusqu'à la fin, tu pourrais t'étonné d'en être la première bénéficiaire.

-Une proposition ! Plutôt un chantage.

Chloé émit un rictus avant de croiser à son tour les mains sur sa poitrine.
Elle n'avait d'autre choix que de l'écouter jusqu'au bout car elle le savait même si l'envie de sortir d'ici ne lui manquer pas,elle ne le pouvait pas. Il était le seul à détenir la carte magnétique qui ouvrait d'ascenceur.

-Je te propose de vénir avec moi. On cohabitera ensemble pendant deux mois vu que ce le temps qu'il restait avant la fin de notre contrat; commença steve.

Il avait du mal à se concentrer avec la femme en face de lui. Les mains croisés sur sa poitrine faisait monter dangeureusement ses seins. Il se mit à se demander s'ils avaient la même saveur que dans le passé...
Il chassa cette pensé loin dans sa tête, il avait besoin de toute sa concentration pour la négociation qu'il était entrain de faire.
Mais si sa raison savait ce qu'il fallait, son corps lui savait ce qu'il voulais.

-Passer ce délait, si tu as toujours envie de partir, je te rendrai ta libértée avec en compasation une somme d'un million de dollars pour que tu réfasse ta vie et loin d'un bar cette fois si tu veus bien et dans le cas contraire...

-Par ce que tu crois que j'aurais envie de rester? Coupa-t-elle un rire moqueur aux lèvres.

-On ne sait jamais, tu auras peut être envie de rester après. Mais cette fois soit sûre d'une chose, je veus exploré jusqu'où peut aller notre rélation.

Et c'était vrai, il n'avait jamais pu l'oublier et passer à autre chose avant son départ et n'était pas sûre de pouvoir le faire cette fois encore.

-Tu me demandes de quitter ma vie ici, mon travaille, mes élèves et tout ça pour ton propre plaisir.

Elle se passa la main sur le visage.

-Tu gagne àpeine de quoi te nourrir avec ton travaille et ne t'en fait pas le centre te trouvera une ou un remplaçant.

Il était telment arrogant que s'en était exaspérant.

-Je fais du bénévolat au centre on a pas de quoi payer des nouveaux enseignants...

-Le maire m'as pourtant assuré que vous vous en sortiez bien; dit-il en plissant le front.