Chapitre 26

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Les temps passaient vraiment vite quand le bonheur décidé de sonner à votre porte.

Chloé mis une couche de mascara sur ses yeux tirés à l' high-liner puis, ajouta une couche de son gloss rose bonbon sur ses lèvres charnues. Elle regarda ensuite ses cheveux dans le mirroir. Elle avait vraiment besoin d'aller chez le coiffeur, heureusement, elle avait reussi à les disciplinés en les tirants en une longue queue de cheval strict et impeccable.

-Tu n'as pas bientôt fini là dedans ? Questionna Steve de l'autre côté de la porte.

-J'y suis prèsque; cria-t-elle.

Depuis quatre jours maintenant elle avait élu domicile dans la chambre de Steve....si aumoin on pouvais appellé ça comme ça.

En réalité, Steve ne la laissait plus passer plus de trente minutes dans son ancienne chambre.
Selon lui, trente minutes étaient amplement suffisant pour prendre une douche, se changer et retourner dans la chambre de ce dernier. Et la seul fois où elle avait été en retard il était venu la tirée de la douche en la soulevant dans ses bras et ne lui avait même pas permi de mettre un peignoir.

Heureusement pour elle, ils n'avaient croisés aucun domestiques dans le couloir.
Ses joues s'enflamèrent à ce souvenir.

Mais même si elle partageait pratiquement la chambre de Steve, elle n'avait pas encore déménagé ses affaires et ne tenait pas non plus à le faire.
La vie avec Steve était certe magnifique...magique même, la preuve, elle n'avait plus touché à ses cachets depuis leur première nuit ensemble et n'avait prèsque plus des insomnies, c'était surment dû au fait qu'ils ne dormaient que très peu.

Mais, elle avait besoin de son indépendance. Elle avait besoin de se sentir encore maître de sa vie même si ce n'était qu'à moitié. Partager la chambre de Steve voulais beaucoup dire pour elle.
C'était en quelque sorte se confier tout entière à lui, d'autant plus que trois ans plus tôt il avait été claire sur le fait qu'il ne voulait aucune approche sentimentale, hors elle était tomber amoureuse de lui et même que trois ans plus tard ses sentiments étaient toujours intact.

Et là était le big problem elle aimait cet homme plus que tout....un homme qui ne voyait en elle que la maîtresse parfaite au lit et rien d'autre. Heureusement pour elle, Steve n'avait plus abordé la question du déménagement et semblait satisfait de la relation qu'ils entreténait tout en lui laissant un semblant d'indépendance et ce tout ce qu'elle demandait pour le moment.

-Tu as cinq minutes de retard bella, ne m' oblige pas à venir te chercher ; insista-t-il.

Sans plus de cérémonie, elle quitta le dressing.
Steve la regarda avec insistance, ce qui la fit rougir.  Elle remit une méche imaginaire derrière son oreille d'embarras, ce qui arracha un rire de gorge à Steve.

-Tu es splendide; dit-il en la tirant vers lui.

Elle était vêtu d'une petite robe droite  verte simple mais chic. Perché sur des talons de 12 cm, il arrivait toujours à la dépassée d'une bonne tête.

-Tu es aussi pas mal; le  taquina-t-elle.

Son smoking gris lui donné un air mystérieux, dangereux même, mais surtout sexy....terriblement sexy et séduisant.

-Si tu veus paraître ne serait-ce qu'un petit peu convaincante, il faudrait d'abord que tu arrêtes de bavé;  la nargua-t-il en riant.

Elle lui fit une tape sur le bras puis essaya de se dégager de son emprise.

-T'es pas drôle; dit-elle boudeuse ce qui le fit rire de plus belle.

Il était jeudi et elle devait accompagné Steve dans sa visite ou sortie officielle, elle n'en savait rien.

Deux jour plus tôt, il lui avait démandé si elle pouvait l'accompagner, il en serait très heureux avait-il dit.
Biensûr elle avait dabord décliné mais Steve Garett Paterson ne considerait jamais un Non comme une reponse, il avait alors insisté jusqu'à la convaincre.
Et voilà qu'ils étaitent tout les deux près à y aller.

-Je meurs d'envie de t'embrasser là tout de suite; dit-il. Mais je sais que si je le fais on risque d'être très en retard et Tony me massacrerai avec des sermons.

-Oui; rencherit-elle en lui caressant la lèvre infèrieur par provocation. Et surtout qu'il ne faut pas que tu abime le maquillage que j'ai mis trente minutes à faire.

Elle finit sa phrase par un clin d'œil et un sourire coquin.
Il lui releva le menton à son tour avant de declarer.

-La prochaine fois que tu me fais un clin d'œil tu passeras un sale quart d'heure.

Sur ce, il tourna le dot et quitta la chambre suivit d'une chloé morte de rire ce qui le fit sourire aussi.
Il ne se lasserait surment jamais de l'entendre rire.

L'ascenceur les ména au hall d'entrer, où déjà une horde de paparazzi les attendaients et différent membre de son comité exécutif.

Il vu le visage de Chloé changeait d'expression en un quart de tour.
Il avait oublié de la prevenir de leur présence.

Oublier !?  Non plutôt omis. S'il l'avait prévenu de la présence des journalistes pendant les activités d'aujourd'hui, il était certain qu'elle aurait réfusé de l'accompagner.

Il mit sa main sur ses hanches pour la rassuré. Puis s'arrêta pour permettre aux paparazzi de prendre des photos. Il la sentit se crisper sous ses doigts.

-Fait un jolie sourire chérie; souffla-t-il à son oreille. C'est bientôt fini promis.

Elle lui obéit et étira ses lèvres en un sourire criaper.
Des flash retentirent de tout les côtés en même temps que les questions.

-Monsieur Paterson, qu'avait vous à dire sur la déclaration faite par l'ex-senateur Bennet ? Questionna un journaliste dans l'assembler.

-Qui est la jeune femme à vos côté ?

-Comment vous appellez-vous madémoiselle ?

Il ne repondu à aucune des questions et partit Chloé dans ses bras.

Dès qu'ils furent dans la voiture elle se détendit enfin et rélacha son souffle.
Steve la regardait avec attention, elle passa sa main dans son chignon, essuya une sueur inexistante, humecta ses lèvres...

-Relax bella, on est seul ici.

Elle sembla revenir enfin au temps présent. Elle tourna la tête dans sa direction au moment ou la voiture se mettait en marche. Une lueur indescriptible passa dans ses yeux.
-Tu le savais n'es pas ? L'accusa-t-elle. Tu savais que les journalistes seront là et tu me l'as caché.

-Eheee...bébé, calme toi. C'est normal qu'ils soient là. C'est une sortie officielle et les journalistes seront avec nous tout au long de la journée alors....

Explica Steve d'une douce voix.

-Tu m'as piègé; coupa-t-elle. Tu m'as manipulé comme toujours.

Chloé savait pertinement qu'elle s'énervait pour un rien. Elle savait dès le depart qu'en entrent dans la vie d'un futur sénateur, elle entrait dans celle de toute l'amérique, ou plutôt, que toute l'amérique entrait dans la sienne.

-Tu t'énerve pour un rien; retorqua-t-il. D'autant plus que tu savais à quoi t'attendre.

Chloé ne dit plus rien.
A quoi bon ? De toute façon elle savait qu'elle aurait dû y être préparer et que doren avant elle serait obligé d'affronter les journalistes en permanence.

-Je ne veus pas que tu te fache contre moi bella, je ne voulais pas t'inquiété avec tout ça; dit-il.

Steve la rapprocha de lui sur la banquette et automatiquement elle vint se blottir contre son torse.
Elle passa ses mains sur ses  hanches pour se rapprocher encore plus de lui. Il lui caressa les cheveux et le reste du trajet se passa ainsi, dans les bras l'un de l'autre.

La Maîtresse De Steve GarettOù les histoires vivent. Découvrez maintenant