La Maîtresse De Steve Garett

chapitre 9

Dès qu'elle sortit de la cabine de toilette, Chloé reprit sa place et se réfugia dans un silence complet.
Steve non plus ne semblait pas vouloir rompre ce silence, tant mieux.

Elle venait de quitter la toilette après au moin une bonne demi-heure. Ses yeux pourtant bien rouge et gonfler par ses précédantes larmes ne semblait pas encore à bout. Elle rassembla toute ses forces pour rétenir le flot de larme qui ménacer à nouveau de couler.
Steve lui semblait impénêtrable, comme si aucun de tout ce qu'elle avait pu lui dire ne l'avait affécter. Il avait pris son ordinateur et travailler comme si de rien n'était.
Elle se cala dans sa chaise et ferma les yeux, espérant ainsi faire un petit somme pour faire passer le temps. Mais c'était sans compter sur ses insomnies quotidiennes.
Après s'être tourner et retourner sur son siège, elle commençait à peine à s'endormir quant elle sentit une pression sur son ventre. Cette pression pourtant ferme n'avait rien de douloureux ni d'atroce comparer à ses maux de ventres infréquents.
Elle ouvrit faiblement ses yeux pour appercevoir des mains fermes se débattre avec la ceinture de sécurité.

-Quesque tu fais ? Demanda-t-elle d'une voix endormie à steve.

-On va  attérir dans quelques minutes.
Elle se reveilla alors entièrement. Il finit de boucler sa ceinture avant de s'attaquer à la sienne.

-Tu...tu ne t'en occupe pas ? Paniqua-t-elle de nouveau.

-Non. Mon personnel de bord va s'en chargait.

-Ah....

-Tu n'as pas à t'inquiéter, on ne risquent rien. Ils sont compétent, ils savent faire leur travaille.

Ses arguments la calmerent même si elle n'était pas totalement rassurer.
Elle se cala plus encore dans son siège quand l'appareil commença à perdre d'altitude. Elle avait l'impression que son cœur aller exploser telment il battait trop fort. Elle ferma les yeux et serra les accoudoirs de toute ses forces avant qu'une main chaude vienne se poser sur la sienne.
Se contact pourtant furtif la rassura sans trop savoir pourquoi. Elle se sentit tout de suite en sécurité et se détendit un peu. Pourtant le contact de Steve ne devait en aucun cas avoir cet impact sur elle. Elle ne devait plus jamais lui faire confiance au risque de perdre l'infime parti de son cœur qui rester. Cette main ferme mais chaude caressa la sienne dans des petits gestes circuleur. Ses reins s'enflama à cette simple caresse, elle devait gardé ses nerfs à vif si elle voulait sortir intact de ces deux mois de vie commune, il le fallait.

L'avion se posa enfin, au grand soulagement de Chloé. La main de Steve resta sur la sienne encore un moment puis il l'enléva. Elle respira à fond un bon coup pour se donner un conténance avant d'ouvrir les yeux et de faire comme si de rien n'étais.

Elle déboucla sa ceinture puis suivit Steve vers la sorti. Le steward les attendaient devant la porte un grand sourire aux lèvres.

-Bienvenus à New york, en esperant que vous ayez fais un excellant voyage.

New york, new york, new york ?
Répéta une petite voix dans sa tête.
Mais que faisaient-ils ici??
Au dernière nouvelle Steve vivait en californie, alors pourquoi New york?

Elle n'eut pas le temps de lui poser la question car déjà il quittait l'appareil.
Sur le tarmac deux jeep noir les attendaient avec des hommes tous vêtus des costumes deux pièces noirs et des lunettes de soleil.
Steve passa une main autour de ses épaules et la guida vers l'une des voitures. A leur approche un homme grand au cheveux sombre leur ouvrit la portière. Elle monta suivit de près par Steve.

-Merci Manuel, dit-il avant que l'homme ne ferme la porte.

Manuel  alla se mettre au volant et
Sans plus tarder, la voiture démarra.
Suivit par l'autre voiture.
Elle n'avait jamais cotoyer ce genre de vie même quant ils sortaient encore ensemble. Elle avait toujours su que c'était quelqu'un d'important mais n'avait pas imaginé à quel point. Il n'avait jamais mentionné se qu'il faisait et encore moin sa famille ou ses proches. Elle se l'était imaginé possédant une petite entreprise florissante, un petit appart simpa dans un quartier huppé...

A cet instant, elle se rendit compte qu'elle ne savait rien de lui, elle avait beau lui dire qu'il ne la connaissait pas, c'était pourtant réciproque.
Elle était tomber amoureuse d'un inconnus...

-A quoi tu penses ?

-A rien...

-Tu es perdus dans tes pensées, tu semble sur une autre planête alors ne me dis pas que tu ne penses à rien.

-A rien qui ne te conserne alors.

Il voulut rétorqué quelque chose mais son téléphone vibra à cet instant.  Tant mieux, elle n'avait pas envie de lui parler pour l'instant.
Elle se tourna vers la vitre pour admirer la ville defiler sous son regard.
Très vite elle fut charmé par la beauté de la ville oubliant momentannement l'homme à côté. Elle avait beau trouvé la ville charmente et extraordinnaire, elle n'en était pas pour autant rassurer. Etre ici voulait dire être totalement dépendante de Steve, tout ce qui la répugner.
En californie aumoin elle aurait pu compter sur son amie Laura en cas de besoin.

La voiture s'arrêta devant un grand immeuble d'aumoin septante étages.
A partir de là tout se passa vite.
Une grande foule de gens attendaient devant la porte d'entrer. Elle eut apeine le temps de remarquer que s'étaient des journalistes qu'elle se retrouva protéger par les bras de Steve. Ses gardes leur traça un passage au milieu de la foule, la tête en bas elle avança aussi vite qu'elle le put jusque dans le grand bâtiment.

Quand les portes de l'ascenceur ses fermerent, elle put enfin respiré convénablement et Steve la lacha.

-Je suis désolé, je ne sais pas comment ils ont appris que je rentrais aujourd'hui; s'excusa steve.

Elle ne savait pas comment il arrivait à gerer ça, elle ne pourrait jamais s'y habituer.

-Ça va, je n'ai rien.

Il sembla rassuré.

-Ton bras droit n'est pas avec toi cette fois ? Il n'était pas de voyage avec nous pourquoi? Questionna-t-elle pour changer de sujet.

-Tony est resté à sacramento il avait quelque chose à faire là-bas, il sera de retour bientôt.

-C'est toujours comme ça ?

Steve sut immédiatement à quoi elle faisait allusion.

-Tu finiras par t'y faire, avec le temps tu ne remarquera même plus leur présence, dit-il un faible sourire aux lèvres.

-Alors heureusement que je ne compte pas rester indéfiniment dans ta vie.