Chapitre7: Affrontement parental

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Après de très longues années, il était finalement temps que les deux amoureux de l'époque fassent leur ultime rencontre.
   C'était dans une cérémonie de défiler de la journée libérale de la femme ; madame Kiwis et Geremie , son nouveau compagnon de bord se préparaient à partir suivre la marche du défilé. Geremie, savait que son ex meilleur ami passera par là. Il décida donc de le saboter aux yeux du peuple, en conduisant Kiwis la mère du petit et ex copine au vu de la haine et la rancoeur qu'elle avait envers lui.
Tout se déroulait normalement, les derniers reglages du matin étaient à l'honneur. la phanphare résonnait d'un trin. Les chants des petits enfants retentissaient comme des etincelles d'autre part. Il a fallu attendre l'heure d'arrivée des grandes autorités pour que madame puisse finalement rencontrer l'auteur de sa grande disette.
Geremie était déjà un Homme d'affaires influents du pays, et bien entendu, il obligea maman Kiwis à perdre une fois de plus sa dignité en faisant d'elle son épouse.
  Une mère qui est prête à tout, une mère qui ne laissera pas son fils tombé. Ce sont ces mots qui étaient écrits sur le visage de maman Kiwis, vu son regard, ses paroles attristées .

Maman Kiwis : Je suis tellement nerveuse. Ça fait si longtemps que je n'avais plus revu cet homme.

Monsieur Geremie : Il viendra dans une grosse cylindrée noire. C'est son véhicule des sorties officielles.

Maman Kiwis: un loup déguisé en bon parleur. Il payera le tort qu'il m'a causé; même si cela me coûte mon tout dernier souffle de vie.

Pendant qu'ils étaient encore en plein dialogue, ils ne s'en apercevèrent pas que le sénateur lourdement attendu avait garé au parking d'en face ; et, celui-ci c'était déjà dirigé vers les tribunes. Ils a fallu le mot de monsieur l'imprésario pour s'en rendre compte. Les deux souffraient d'attente, la cérémonie devait durer 3h.
Vers midi, le défilé tirait déjà vers sa fin. Maman Kiwis, la mère du petit garçon réfléchissait sur comment échapper la garde. C'est l'un des jours où le sacrifice d'une mère a été à l'honneur.
Pour réussir à le stopper, elle ramassa une photo de leur enfance, convoqua des médias , à cela s'ajoutait des preuves de monsieur Geremie ( c'était tout de même des photos d'enfance, sa carte de visite, son numéro de téléphone. Mais, il cacha deux chiffres pour lui épargner des harcèlements divers. )
Lorsque le défilé était terminé, les journalistes conseillèrent à maman Kiwis de faire un scandal pour qu'ils puissent tous ensemble la seconder à ce grand spectacle .

Maman Kiwis : Je vais détruire ce véhicule, cet homme est un destructeur de vie, un ravageur d'espoir.

Tandis que la police se depechait de l'arrêter elle lança des pierres sur la partie avant du véhicule.
La presse de son côté la suppléait, et posait un lot de questions à monsieur le sénateur. Les grandes autorités dépassées, liberaient les lieux chacun de son côté pour des raisons de sécurité personnelles. Seul monsieur Oben n'avait qualité de se déplacer.

Monsieur Oben : madame qui vous a payé. Quel est votre identité ? Quel est votre souci?

Maman Kiwis : Tu tentes de m'ignorer. Ceci est le mois de la femme , je vais tout dévoiler.

Finalement, la garde réussit à neutraliser la partie revendicatrice. Les médias s'en occupère leur côté de remuer le couteau dans la plaie.
Une chaîne télé l'amena dans un plateau pour exposer son problème. Le nom de l'émission était dénommé  <<Après défilé >>

Journaliste radio X : Madame comment vous appelez-vous ?

Maman Kiwis : Bonsoir le panel du micro. Je m'appelle Kiwis dans mon sobriquet que je me suis moi-même donné <<mère désespérée>>.

Amour maternelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant