Chapitre 8: Début d'une longue maladie

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Une mère lorsque son enfant est dans une mauvaise situation, subie des faiblesses morales qui peuvent détériorer son état de santé.

Maman Kiwis : Seigneur seigneur! Regardes tu ma situation ?

C'était là, les cris d'une mère désespérée, l'hypertension venait de frapper la maman dépourvue de sourire, son coeur était rongé de chagrin : elle ne parvenait plus à supporter les douleurs de la vie. Toujours en pleines pensées, elle eu un accident cérébral vasculaire plus connu sous l'abréviation de AVC. À son tour, M. Geremie de profiter d'elle afin de pouvoir lui présenter l'enfant disparu. Elle n'avait pas de moyens et était sous diverses menaces, Oben en premier et au second plan du grand malin de Geremie. La vie si difficile ne lui souriait pas.
Elle sera conduite à l'hôpital où elle va subir des traitements. Plus rien n'allait chez elle ! !!

Monsieur Geremie : Kiwis mon épouse, je ne veux pas que tu rendes l'âme sans avoir vu ton fils. Nous méritons de vivre comme une famille heureuse.

Maman Kiwis : Et pourquoi m'empêches tu de le voir ? Pourtant tu sais où il se trouve actuellement ?

Monsieur Geremie :Tu n'as jamais voulu que je consomme mon droit de mariage, pourtant tu es sans ignorer que nous tendons déjà vers l'individualisme dans le monde actuel.

Maman Kiwis : Est-ce à cause de cette raison que tu me prives de mon bonheur ! Et pourtant, tu prétends m'aimer ! Où sont passés les valeurs morales de ce monde !

Monsieur Geremie: La morale de nos jours, c'est difficile d'en parler.

Maman Kiwis : je suis couchée sur un lit d'hôpital, cela te laisse indifférent. Justice sera rendu. La morale, les gens s'en fiche de nos jours.La haine a remporté sur le pardon, le mensonge sur la vérité, la méchanceté sur l'hospitalité. Tout reviendra à l'ordre j'en ai la foi.

Monsieur Geremie : Je suis néanmoins le seul jusqu'ici, qui t'a toujours soutenu.

Maman Kiwis : Le seul tu dis ! Lorsque tu recherches un intérêt derrière !

Maman Geremie : Oui. Heureusement que le mien n'est pas négatif comme celui de Oben. Moi je lutte pour deux causes. Mon amour pour toi et le bonheur du petit.

Maman Kiwis : Il est bien vrai que ma famille m'a abandonné, je n'ai aucun ami, tu es le seul qui m'a soutenu. Je reste reconnaissante sous cet angle.  Malgré cela, toi aussi tu veux abuser de moi. Tu n'as pas idée, du mal que ça me cause de voir ma liberté embrigader .

Monsieur Geremie : Je suis désolé. Pourtant cela s'appelle les coups de la vie. Et tout le monde en a.

Maman Kiwis : Tout le monde en a. Mais nous n'en subissons pas de la même manière.

Tout était grave pour la dame au coeur en or brisé .
Après s'être remis de cette maladie, une autre la frappa . En clair, maman Kiwis était devenue comme une personne ayant du superflu dans sa raison , elle parlait sans cesse ,agissait sans aucun scrupule . Sa posture aux yeux des gens n'avait plus de tenues. La seule parole qui sortait de sa bouche était la suivante :

- Mon fils où es-tu ? Honoré maman te cherche!

Geremie l'amena dans un asile, elle était devenue insupportable. Très méconnaissable aux yeux de la population, plus personne ne se souvenait d'elle.

De l'autre côté, le festival Oben-Geremie était loin d'être terminé. Ceux-ci continuaient de se faire des coups bas. La loi n'était pas encore en possibilité de se saisir de leur liberté , car la procédure d'enquête prenait assez de temps , plutôt que prévu. Le seul karma restait celui de monsieur Oben qui avait perdu son poste à cause du divorce.
Maman Kiwis pour sa part subissait son traitement. Elle semblait de temps en temps se remettre de sa situation, malgré cela, elle faisait d'autres rechutes.
Les médecins se decouragaient de son état. Monsieur Geremie quant à lui, était le seul persévérant, il lui changeait d'hôpital sans découragement, espérant que celle-ci allait se remettre.
Voyant tout ces événements se dérouler, Geremie informa Honoré de la situation. Ce sera peut-être la sonnette d'alarme d'un grand changement.

Amour maternelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant