chapitre 4: L'aventure sèche de maman Kiwis

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La mère sentimentale, la mère universelle , la mère de l'humanité subit des défaillances, des humiliations que l'on neglige de nos jours. Certaines se livrent à la prostitution, certaines au vol et bien d'autres métiers indécents .Pourtant,  la place de la femme est primordiale dans la société. Surtout si , celle-ci a déjà avec elle une charge sur son dos.

Maman Kiwis, dans le désespoir ne pouvait pas se lasser de vivre sans son fils. Elle ne connaissait par où commencer pour retrouver cet enfant perdu. C'est ainsi qu'elle alla voir un commissaire qui lui promis de le retrouver. En revanche, la dame au coeur attristé versait une somme de 8 euros par jour, soit un revenu d'environ 5000 francs cfa .Cette torture économiques a duré des mois , au point où elle fût obligée de mettre son toit aux enchères . Dans une espérance indéterminée, la maman perdra tout son capital au point de vivre dans des banlieues de la métropole. Finalement, le commissaire sera affecté dans une nouvelle région, ce qui lui permis de se débarrasser de manière aisée, des enquêtes dont il etait sûr de sa propre conscience de ne pas pouvoir tirer des conclusions.
Une fois appauvrie, la dame se rendit chez une amie d'enfance qui prenait soin d'elle avant même de perdre la vie dans un incendie d'usine.
De chez sa défunte amie chez sa camarade de classe de terminale, maman Kiwis était traitée comme une esclave chez celle-ci. En effet, la dame qui l'avait reçu était une ancienne camarade qui fût aussi amoureuse de monsieur Oben au collège. Elle était jalouse de Kiwis dans leur enfance. La mère du petit garçon ne faisait que payé le prix fort de son erreur de jeunesse. Elle sera mise dans la rue pour avoir réprimendé le gamin de son ancienne camarade. C'était tout simplement le prix fort de la gravité de son erreur.

D'heures en heures , de jours en jours, de semaines en semaines, de mois en mois, aucune trace du petit garçon de 10 ans n'était retrouvée. On ne cessait de voir l'image d'une mère nourri d'espoir. Elle fût obligée d'accepter des propositions cauchemardesques , d'un feticheur qui fit d'elle une véritable proie sexuelle. Celui-ci lui disait que ceux sont des rites qui vont leur connecter spirituellement, comme ça, elle pourra finalement voir dans ses rêves ; le lieu de refuge de son enfant.
Les dépenses d'énergie devenaient de plus en plus énormes pour elle.
Des nuits passées sur les trottoirs, des pluies s'abattaient sur elle. Sans emploi, sans courage, sans force, la femme intelligente voyait la fin venir pour elle. On pouvait parler de l'aventure sèche de la mère au coeur brisé.

Amour maternelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant