Amour maternel

Chapitre 3: Le retour tonitruant du père d'Honoré

    Une maman abandonnée ,lorsqu'elle élève son enfant n'est pas vu de tous. C'est quand le fruit de la souffrance frappe brillamment aux yeux du monde, qu'elle est jalousée.
  Ce chapitre marque le commencement d'une véritable souffrance de la part de la mère d'Honoré. Une souffrance qu'elle avait déjà cru parchever. C'est le début même de l'histoire .

   Mère : Mon fils, aujourd'hui tu as 10 ans je suis émue de voir l'oeuvre de ma conscience et surtout de mon effort physique, porter des fruits dignes. Tu viens d'avoir ton diplôme d'entrée au lycée. Sois sage et ne déçoit pas les efforts de ta mère.

   Alors même qu'elle était encore en train de conseiller son filston sur la conduite à tenir au lycée, un Homme frappa à la porte. Mais non ce n'était pas le père d'Honoré, plutôt un de ses amis déguisé en un service courier.

Mère : que voulez-vous monsieur ?

Demanda telle.

Monsieur Geremie : Je recherche la maison de monsieur Happy.

Mère : Je ne m'en souviens pas de ce nom dans les environs. Honoré viens par ici, connais-tu un certain monsieur Happy qui réside dans les environs ?
Honoré : Hein... hein (tout en réfléchissant ) .Maman je n'est jamais entendu parler de ce nom dans le quartier.
Mère : monsieur, je suis désolée vous vous êtes trompé d'endroit.

Monsieur Geremie: Merci madame. Sinon excusez-moi pour le dérangement.

Monsieur Geremie partit tout heureux d'avoir rempli sa mission. Celle de vérifier si madame Kiwis, la mère d'Honoré avait véritablement enfanté d'un garçon . Le compte rendu fût aussitôt relaté à monsieur Oben le père biologique d'Honoré.
Tout heureux, celui-ci décida de kidnapper cet être qui était si cher, aux yeux de madame Kiwis.

Monsieur Geremie : Monsieur Oben vous n'avez pas idée de l'enfant que cet dame a eu à enfanter. Il est beau , mignon, et a l'air très intelligent.

Monsieur Oben : Justement, c'est à cause des commentaires de nos camarades de classe , que l'idée m'est venue à l'esprit de vérifier l'information. Elle ne pourra jamais m'attribuer la paternité de cet enfant, alors je vais le retirer de gré ou de force.

Monsieur Geremie : pour en faire quoi ? Tu as déjà une épouse qui t'a donné un garçon et une fille.

Monsieur Oben : Tu es sans oublier que je serai bientôt l'un des plus grands sénateurs de ce pays. Pour cela je dois éviter toute sorte de controverse au risque de ne pas pouvoir gagner ce poste.

Monsieur Geremie : Que comptez-vous alors faire monsieur?

Monsieur Oben : C'est justement ce que tu devrais me demander depuis. Je vais taire toute sorte de critique. L'éliminer si possible. Pour réussir en politique il faut paraître saint aux yeux de la population.

   Monsieur Geremie, n'osait même pas le regarder, son comportement laissait croire d'une personne qui était en désaccord avec son ami et maître de tous les temps.
Lorsque Honoré se rendait à l'école un véhicule de couleur rouge le renversa pour plus tard le conduire à l'hôpital : c'était à l'entrée du lycée. Le monsieur qui l'avait renversé ira ensuite faire mi-chemin et l'amener à son domicile secret : ce fût le retour marqué du futur sénateur.
La maman du petit garçon qui venait à peine d'avoir 10ans arriva rapidement en poussant des cris.