Chapitre 41

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On courais tous les 3 tandis que les humains commençaient à garder le rythme et à ne plus mourir de courir.

Puis, on les amena à une espèce de charnière et chacun à son tour fut mis dedans.

On les sangla et on fit des étirements.

Leur tête devait toucher les genoux, jambes tendues.

L'appareil se remplissait d'eau , enfin un bac qui faisait contrepoids et forcait les malheureux à appuyer leur tête contre les genoux. Certains y arrivèrent en hurlant et pour d'autres, ce fut la déchirure.

Partout, la douleur, les cris.

Mais, pendant la déchirure, Songhi faisait des sorts de soins.

Le maître démon voulait de la souplesse pour tous.  Quitte à briser les raides et recoller les morceaux.

On entendait les complaintes par dela l'enceinte de la pagode et des facilités du temple.

Les espions d'Imagawa entendaient nos supplices et retournèrent vers leur daimyō.

Après quelques heures, les messagers arrivèrent et se mirent à plat ventre devant leur seigneur.

Il écouta le messager "Nous entendons les cris et les supplices comme pour nos hommes les autres années."

Imagawa :"Le monstre doit avoir eu raison d'eux."  Il sourit et se leva allant inspecter ses troupes.

"Je t'attends, Nobunaga!"

Il il se rassit, buvant son thé et reprenant son conseil militaire là ou il l'avait laissé.

D'un coup, une éruption de cris de douleurs.

Les humains passèrent à la machine à faire le grand écart.

Pas le temps d'assouplir. On déchire et répare.  

La journée se passa dans l'horreur, les soins magiques et les désarticulations.

La soirée fut comme une litanie de blessés sur un champ de bataille sauf que personne ne mourais mais tout le monde sans exception avait mal et souffrait le martyr.

Moi aussi, j'ai été désarticulé.  Je pouvais mettre mes pattes arrières derrière mon cou  et ma tête savait regarder son cou dans le dos.

On se reposa le soir et des repas simples nous furent servis.

C'était dégueu et probablement empoisonné.

Ming : "C'est un repas humble devant vous détoxifier du sucre et du gras"

Vous n'avez pas le temps pour la méditation, 

Je vais vous forcer à ouvrir vos chakras.

N/A : "Les techniques décrites ici sont un synthèse  permettant d'ouvrir un autre monde invisible au profane.  A prendre à vos risques et périls.

On pris nos bols avec une mixture de plantes et de riz et des pilules de cultivation mélangés.

Pour nous, les wyvernes, pas de distinctions avec les humains.  

On était terrifiés et mes instincts tapaient au maximum.  Je n'étais plus qu'un animal.

Mais Songui nous caressait et nous massait et essayait de nous réconforter.  On pleurait comme des petits chiots.

Elle nous pris comme des chats et elle nous roula la queue comme une corde enroulée.  On devait faire comme une roue, notre cou et nos cornes de tête devant s'emboîter avec les crètes de queue. et nos ailes plaquées, servant avec nos pattes à faire rouler.

Jaws . Les mâchoires de la forêt (Tome 9 de LA GUERRE DES TIAMATS)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant