Il était un visage
Aussi doux que l'aurore
Qui laissait en présage
Un bien malheureux sortDevant son teint blêmi
Par le temps et les peines
Amis et ennemis
Oubliaient toute haineEt devant le sourire
Qu'elle leur accorda
Ils ne savaient que dire
Alors on demanda :« Mais à quoi bon ces roses
Qui te ceignent le front
Si jamais ne reposent
Les guerres et affronts? »« Ce sont des roses d'or
Dit-elle sans délai
Qui viendront dans la mort
Embellir mon palais »
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Poésies étoilées
PoesiaDans cette nocturne amusie Où frissonnent bateaux et voiles La Terre a besoin des étoiles, D'un petit peu de poésie. Mes lecteurs habitués reconnaîtront dans cet ouvrage certains de mes poèmes, faisant auparavant partie de mon deuxième recueil, Mots...