Le soleil n'était même pas levé, je me réveillais avec le bruit des charrettes et le claquement des équipements. Ils passaient par la forêt, les lumières des lanternes créaient des formes sur mes murs.
J'allumais une bougie près de la fenêtre et essayais de les voir partir.
J'ouvrit finalement la fenêtre car les reflets de ma flamme m'empêchaient de voir. L'air frais rentra tout de suite dans ma chambre, un frisson parcoura ma nuque et mon visage encore endormie.
J'appercevais les lanternes couleur bleues qui dansaient sur les flancs des chevaux. Je ne pus reconnaître personnes pourtant je voyais quelque personne faire des signes dans ma direction. Vu d'en bas, ma fenêtre allumé d'une lumière jaune n'a pas dû passer inaperçu, je répondais par de grand gestes leur souhaitant courage du fond de mon cœur.Je l'avoue je profitais du temps pour dormir un peu plus, jusqu'à que le soleil m'éblouisse totalement.
Il fallait que je soit le plus efficace possible ces trois prochain jours pour me préparer à leur retour. Je pris un bout de pain à la cuisine et fonça à l'infirmerie, ce matin j'avais un cours de médecine mené par Olga.J'écoutais attentivement, reproduis ses gestes jusqu'à les maîtriser à la perfection, quel produit pour désinfecter, aiguille pour coudre, scie pour amputer...
Je commencais à réaliser petit à petit. Nous fîmes un tour par le potager pour réviser les plantes à utiliser pour réaliser les onguents et pommades. Elle me prêta un livre pour que je révise dans ma chambre. C'était riche d'informations, elle me disait qu'elle apprenait avec chaque nouveaux cas, je n'aivais que la théorie.A midi nous mangions tout les trois dans la cuisine, ils me racontaient des annecdotes sur les anciens, Erwin, qu'ils avaient vu évoluer, le petit Livaï, déjà un génie en arrivant et tout aussi amical, on rigolais mais au fond nous apprehendions leur retours.
Je me mis à nettoyer de fond en comble tout l'étage des filles, un sacré boulot, ça m'a pris toute l'après-midi. Je n'osais touché à rien dans la chambre d'Hanji, c'était ma supérieur et pourtant on aurai dit une chambre d'enfant, j'ai même trouvé un livre coquin sous son oreiller, que j'ai replacé soigneusement exactement au même endroit après avoir changé les draps, je n'avais rien vu. C'était nickel, peut-être un autre coup de balai dans deux jours pour enlever la poussière de nouveau retombée.
Après le dîner j'ai réparé quelques planches du réfectoire, usées par le pas lourd et indélicats des soldats.
Le soir je me couchais fatiguée, avec mon livre de médecine douce sur le ventre.Le lendemain, pareil, cours le matin avec Olga, on rigolait bien. Elle ne me posais jamais de question déplacé sur mon parcours, elle se doutais bien que je cachais des choses pourtant quand je répondais évasivement à ses questions.
Je faisais l'étage des hommes ce jours ci, ça sentais le renfermé et tout leur vêtements traînais par terre. Les fenêtres grandes ouvertes, il fallait aéré tous ça, c'était invivable. Balai passer, vitre faite, je me décidai à faire une petite lessive des vêtements qui traînais, leur nom étais inscrit sur les étiquettes, ça ne serai pas compliqué à retrouver. Une fois étendu sous le soleil chaud de l'après midi je fis un tour dans le bureau d'Erwin, j'époussetais les livres, rangeais les documents dans les casiers. Je vis le dossier d'Eren étalé sur le bureau, intrigué je lu quelques mots en faisant semblant de rassembler les pages, l'air de rien.
" Eren Jager...... Shiganshina...... Danger public..... Danger public ?? TITAN ??..... Utile à la survit de l'humanité...."
Des pas s'approchait, j'en avais trop lu. Olga passa la tête par la porte, je passais le balai, elle voyais me démener pour faire bonne impression.
" T/p? Tu as besoin d'aide mal belle?
Tu t'en sors ?- Oui Oui tout va bien, j'ai presque fini. J'ai juste à rentré le linge, des nuages arrivent.
- Oula t'inquiète pas je vais m'en occuper, tu ne te ménage pas dit moi !
- Merci, répondis-je en souriant. "
Le lit, la douche faite je passais au bureau de Livaï. Tout étais propre jusqu'au dessu de l'armoire... Que faire ? Il remarquera que rien à été fait depuis trois jours c'est certain !
Je regardais dans les coins, sous le bureau, changeai les draps malgré tout, ils avaient son odeurs, c'était agréable... Ça me faisait presque mal au cœur de les changer, il fallait bien pourtant, je sentais qu'il y avais un test à passer ici. Il est bien trop malin pour laisser cette chambre nickel tout en me laissant comprend que tout dois l'être à son retour... Je réfléchi.
Je poussais la chaise bien en face du bureau après avoir vérifier sa salle de bain, baladais mon regard dans la pièces...J'ai trouvé ! Les livres sur l'étagère ! Ils ne sont pas dans le bon ordre, sur la tranche de chaque un fragment une image se dessinais, c'étais un puzzle.
Un paysage apparue une fois fini, c'était beau... On aurai dit un lac immense avec quelque gros bateaux à voile dessus, des petites touches de lumières contrastaient l'eau, qui lui donnaient du mouvement.Un rapide coup d'œil une dernière fois et je ferma la pièce à clef derrière moi.
Jour deux fini. Demain ils rentrais, le couple ne savais pas à quel heure. Nous appréhendions.
L'aude du troisième jours pointais le bout de son nez, j'étais réveillé depuis une heure, j'angoissais.
Ce matin pas de cours, j'avais ma tête pleine de connaissance, j'allais faire les écuries.
A midi nous mangions en silence, les pommes de terre et la viandes étais prête à être cuite pour leur arrivée. Tout était prêt. Je montais passer le balais chez les filles, rangeais les vêtements de chacun sur leur étagère.
Que faire du reste du temps... J'allais faire ma propre chambre, que j'avais oublier dans le lots et lava mes robes, j'étendis mes chemises devant ma fenêtre, face au soleil qui commencais à baissé...
Je ne voulais pas attendre seule, je restais avec Olga dans la cours, elle reparait une table, je dessinais des oiseaux.Des bruits de sabots se firent entendre, je fis tomber la pochette et mon crayon par terre, on se regarda pour se rassurer, ça ne marchait pas.
De plus en plus de sabots et des roues de charrettes, c'était eux. Nous retenions notre souffle.
" Chérie ! Dit t-elle a son mari penché à la fenêtre, tu peux faire cuire les patates. "
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La Bonne A Tout Faire [livaïxreader]
RomansaUne jeune femme, toi en l'occurrence, sans talent particulier, te retrouve malgré toi dans un lieux rempli de rebondissements, la caserne du bataillon d'exploitation. Alors non, tu n'es pas soldat, et pour cause tu sais pas te battre, mais tu te déb...