Les Nouvelles aventures de Sabrina et Eden Spellman

chapitre 3: Visions horrifiques

Le lendemain je me suis donc levée, surexcité et impatiente de commencer cette nouvelle partie de ma vie. Je me suis habillée sobrement et jai glissé un bandeau dans mes cheveux blond avant de descendre les escaliers pour arriver dans la cuisine pour le petit-déjeuner. Le docteur C etait déjà parti, mes tantines et Ambrose étaient assit à la table de la cuisine devant un copieux petit-déjeuner composé en partie de mes plats préférés.

-Bonjour les tantines et Ambrose !

-Bonjour cousine et...

Il s'est tut en me regardant, les tantines également ne m'ont rien dit, elles sont restés me fixer.

-Quest ce qui se passe?

-Rien ma petite loutre, s'exclame tante Hilda pour rompre le silence en souriant et en me prenant dans ses bras, bon anniversaire ma chérie!

-Bon anniversaire cousine

-Bon anniversaire ma nièce

-Merci à tous !

Je m'asseois à côté de tante Zelda pendant que tante Hilda me sert une grande quantité de pancake à la framboise.

-A quelle heure je pars pour l'académie ?, demande ai je a tant Zelda

-Tu n'iras pas a l'académie aujourd'hui, dit elle sans lever les yeux de son journal

-Mais jai 16 ans !, je suis en droit dy aller !

-Certes mais tu as tout pile 16 ans ma nièce et tu as lycée
Aujourd'hui et plusieurs étudiants doivent arriver demain donc autant arriver tous à la fois.

Je souffle en piquant violement dans le pancake alors que tant Hilda verse du sirop d'érable et que Ambrose me jette des petits sourires rassurant.

-Dis moi ma petit perle, tu ne mas pas dit quel gâteau tu voulais pour ta fête ce soir?

-Je ne sais pas...qui doit venir?

-oh et bien harvey, rosie, Théo, robin et les enfants bien sûr et Prudence et Agatha bien sur pour que vous appreniez à vous connaitre...

-d'accord ça me va et je me disais...que j'aurais plus organiser une petite fête avec mes amis...

Tante Zelda a baissé son journal pour me regarder, Ambrose a toussé et jai crus entendre "ne demande pas ca", tante Hilda est restée me regarder.

-Une fête? Ou ca ?

-Et bien ici...avec quelques amis et des gens de ma classe...

-On verra ça, dit précipitement tante Zelda en repliant son journal, si ta première semaine à l'académie se passe bien j'envisagerai peut-être de dire oui pour le week-end prochain.

-Merci tant Zelda!, il faut que j'y aille je vais être en retard.

-Harvey passe te prendre?, demande Hilda

-Comme tout les matins! A ce soir

                                              ***

Quand Eden eut claqué la porte les tantines et Ambrose relâcheront la pression.

-Elle a fait exprès de s'habiller et de se coiffer ainsi?, demande Zelda, ça ma...

-Perturbe, ajoute Ambrose, je pense que nous avons toutes cru un moment apercevoir...Sabrina

-En effet, dit Hilda en sortant un petit mouchoir en dentelle pour essuyer ses yeux, nous redoutions tous le jour de son 16 ème anniversaire et son entrée à l'académie.

-Tu n'as pas voulu quelle rentre aujourd'hui, dit Ambrose en regardant Zelda

-En effet, je nai pas finis de protéger toute les portes, les portraits et les miroirs de l'académie...si il faut la protéger des enfers, si les ordres infernal ou lilith apprennent que le seigneur obscur à une petite-fille je ne sais pas ce qu'il pourrait se passer pour elle comme pour nous...

-On ne sait pas exactement ce qui pourrait arriver tout court, dit Hilda, nous devons la protéger pour elle comme pour Sabrina...

Ambrose jette vite fait un coup d'oeil par la fenêtre de la cuisine ou il aperçoit la tombe toujours aussi fleuri de sabrina mais il préfère vite détourner son regard.

-Nous avons du travail, annonce Zelda en écrasant sa cigarette.

                                                ***

Je n'avais jamais caché à mes amis ma descendance de sorcière mais maintenant que je pouvais enfin pratiquer librement mes pouvoirs sans être toujours épiée par tante Zedla.

-incroyable!, s'écrit Allison alors que j'exécute un sortilèges très simple, tu vas donc aller faire tes études ici et à l'académie des...

-Des arts invisibles, dis je, oui je passerais mon temps entre les deux à partir de demain

-Et ta fête?,  demande Jack, quest ce que ta dit ta tante Zelda?

-Elle ma dit quelle allair y réfléchir et que si ma semaine a l'académie se passe bien elle ny verra pas d'inconvénient.

-Tu as intérêt à assurer, dit Dylan

-Je sais...

-Jespere que Miss Wardell sera plus aimable avec toi aujourd'hui, dit Allison alors que nous entrons dans la salle de littérature.

-A mon avis ça ne changera pas de d'habitude, elle a toujours été comme ça avec moi et j'ignore pourquoi d'ailleurs

Cependant je nai pas écouté un seul mot du cours de littérature d'aujourd'hui. Jetais concentré sur mon projet désormais plus accessible. Ca aller être compliqué d'échapper à la surveillance de tante Zelda et de ses "serviteurs" pour faire mes recherches. Cependant pour la première étape je n'avais pas besoin de consulter les sources de l'académie. Je me demandais seulement comment j'allais effectuer cette tâche difficile, après tout ça n'allait pas être très simple non plus et le faire seule aller être difficile. J'aurais pus demander de laide à mes amis mortel mais déjà que la sorcellerie leur fesait un peu peur alors leur demander de participer a une futur séance de résurrection serait encore pire. Il me fallait accomplir l'étape 1 mais la réaliser seule était compliquer et mele si Ambrose avait adoré ma mère je ne pourrait pas lui demander, tout comme ses anciens amis mortel ils  n'accepteraient pas et j'aurais de gros problème avec les tantines et même sûrement jusqu'au conseil des sorcières.

-Eden...

La chaleur avait augmenté dans la pièce et lair etait comme rouge vif, je remarque que les élèves avaient tous le regard fixe sur le tableau et que Miss wardell ne bougeait plus. Je me lève sur ma chaise et regarde autour de moi quand la porte de la salle s'ouvre. Cetait un bouc qui se tenait sur deux pattes mais il avait quelque chose d'humain et de céleste, il me fixé avec intérêt, lair sortant de ses narines avec fureur.

-Comment a t elle put me cacher ca, murmure t il en fonçant sur moi

Les piers fixes au sol je ne pus respirer et l'odeur de souffre envie la pièce a mesure quil avancé vers moi. Il s'était mit à crier.

-Eden ! Eden ! Eden!

Sa voix devanait de plus en plus féminine et j'ouvris grand les yeux, face contre le sol Allison me regardait inquiète.