Chapitre 6

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Rolala, pardon pardon pardon......... ça fait des mois que je n'ait pas posté un chapitre. Je n'avais plus d'inspiration. Le chapitre suivant est un peu long. Et en plus j'en ait pleins d'autre en réserve en plus d'énormément d'idées pour la suite. A partir de maintenant je poste minimum une fois par semaine !! C'est promis cette fois.

Bonne Lecture



PDV de Clarke

J'ai eu beaucoup de mal à m'endormir après ce repas avec mes parents, j'avais donc raison, il était vraiment arrivé quelque chose à Bellamy. Il me fallait vraiment un moyen d'en savoir plus.

-Maman, je peux venir t'aider ce soir après l'école ?

-Oh oui se serait avec plaisir, répondit-elle en souriant.

Son inquiétude de la veille avait complètement disparu, et c'était le mieux.

La journée passa lentement, trop lentement. Je n'écoutais rien de se que les professeurs ou mes amis disaient, jusqu'au moment où j'ai entendu un nom qui me paraissait familier.

-Oui je crois que c'est ça, Octavia Blake, si tu veux mon avis, elle doit être complètement folle, tout comme son frère.

Tout le monde à la table rigola, sauf moi. Il fallait que je me taise, ma mère commençait déjà à se poser des questions sur mon comportement étrange. Si en plus de ça je commençais à défendre une personne que je n'étais pas sencé connaître et encore moins apprécier.

-Clarke, ici la Terre.

C'était mon meilleur ami Wells qui m'appelait. Je ne pu m'empêcher de répondre de façon méchante.

-Elle est débile cette expression, on est plus sur Terre je te signale.

Tout le monde se tourna vers moi.

-Qu'est-ce que t'as aujourd'hui Clarke ?

-Un peu fatigué c'est tout, j'y vais ma mère m'attend.

J'eus le droit à quelques « au revoir », tout le monde comprit que je n'étais pas d'humeur. Je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivait, je ne pouvais pas être désagréable comme ça juste pour un garçon.

-Maman !

-Oui je suis là !

Je me dirigeais vers le son de sa voie. Et c'est là que je le vis, allongée sur un lit d'hôpital, inconscient.

-Que s'est-il passé ?

-Je ne sais pas, on me l'a emmenait hier après-midi, ils l'ont trouvé comme ça.

Et quand elle disait « comme ça », elle faisait référence a toutes les traces de sang et de coups qu'il avait sur le corps. Rien que de le voir dans cette état me donnait mal au ventre. Je lui demandais :

- Et on ne sait pas qui a pu lui faire ça ?

- Un certain Grégory, un garde.

C'était le garde de la prison.

- Mais bon... Commença ma mère.
- Mais bon quoi ?

- Et bien ce garçon est spécial, avec un passé spécial, ça ne m'étonnerait pas que il soit le principal responsable de cet état.

Elle insistait beaucoup lorsqu'elle disait « spécial »

- Tu n'en sais rien.

Ma réponses était beaucoup plus froide que ce que je voulais. Et ma mère le remarqua, avec ce qui s'était passé la veille, elle allait vraiment commençait à se poser des questions.

La main de Bellamy bougea légèrement, je ne pu m'empêcher de sourire. Ma mère étant trop concentré sur son patient, elle ne remarqua pas le changement d'humeur de sa fille. Au bout de quelques minutes, il était complètement réveillé et, je l'espérais, prêt a répondre à toute les questions sur son attaque. Je ne pouvais m'empêcher de me dire que ma mère avait raison. Il avait sans doute croisé ce garde qui l'avait trahi et avait continuer ce qu'il avait commencer la dernière fois avant que je ne l'en empêche. Bellamy allait devoir expliquer pourquoi il l'avait agresser, par la suite on lui demanderait comment il avait su que Gregory lui mentait et sachant très bien qu'il n'avait plus rien à perdre, aurait tout avoué.

- Bellamy est ce que tu m'entends ?

Il répondit oui de la tête.

- Je suis le Docteur Griffin, c'est moi qui t'est soigné. Tu avais une côte et un nez cassé avec en plus de nombreux hématomes.

Bellamy semblait perdu. Il tourna légèrement la tête et m'aperçus. Ma mère, pensant que nous étions des inconnus, me présenta. Ce jeune brun joua le jeu et dit :

- Bonjour Mademoiselle Griffin.

Je me promis de lui rappeler que au moins une fois dans sa vie il ne m'avait pas appeler princesse.

- Écoute, nous allons avoir besoin que tu répondes à quelques questions.

Encore une fois, Bellamy accepta. Un boule commençait à se former dans mon ventre à cause du stresse. Quand je vis le chancelier rentrer avec son fils Wells, Je me mis à complètement paniquer, je savais très bien que il me connaissait par cœur et qu'il devinerait que quelque chose ne va pas.

C'est Jaha qui commença à parler :

- Et bien bonjour Bellamy Blake. Je suis heureux de voir que tu es debout. La cause de ton état reste quelque peu incomprise pour tout le monde, tu veux bien nous expliquer ?

Plusieurs secondes passèrent durant lesquelles il eu un silence, et c'est a ce moment que je compris. C'était la première fois que Bellamy revoyait Jaha depuis l'envoie à la dérive de sa mère. Je me détestais de ne pas y avoir penser plus tôt. Je regardais Bellamy avec un regard suppliant, mais ce n'est pas moi qu'il regardait, c'était Wells. Il allait faire une bêtise, j'en étais sur. Ma mère devait sentir la tension dans le regard de son patient.

- Il y a un problème ?

C'est Wells qui venait de parler, lui aussi regardait Bellamy avec un regard provocateur. Je me surpris à prier. Cette entrevue n'allait pas bien se passer. Je le savais, tout le monde le savait, mais personne ne fit rien.
C'est Bellamy qui finit par prendre la parole.

- Un problème, non bien sur que non, je veux dire, quel problème pourrait-il bien avoir. Ah mais maintenant que tu le dis, oui en effet, quelque chose ne va pas. Tu ne trouve pas que c'est drôle ?

Personne ne comprenait de quoi il parlait, et il le savait. Il aimait se sentir enfin écouter, entendue. Je ne le connaissait pas mais je savais que il ressentais un énorme désir de vengeance. Ce que je ne comprenais pas, c'est pourquoi il s'adressait à Wells et non au Chancelier.

- Ma mère n'est plus là parce que elle a donné la vie mais ton père est toujours là alors que il a tué énormément de monde, situation cocasse tu ne trouves pas.

L'ironie, la meilleure arme lorsque on sait qu'on a raison, et ce jour là, Bellamy savait que personne ne pourrait le contredire.

Jaha ne fit pas attention à la remarque de Bellamy ni au teint rouge que venais de prendre son fils, il se remis à parler.

- Jeune homme, je dois te rappeler que si tu refuses de me dire ce qui s'est passé, tu devras le dire lors d'un procès ?

Bellamy le savait très bien, et c'est exactementce qu'il voulait.

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