Beacon Hills, cette ville perdu de Californie où règne des créatures les plus maléfiques les unes que les autres. Mais dans la ville voisine habitait Nilia, une jeune femme dont la vie était comptée, atteinte d'une maladie mortel elle se sait condam...
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Nilia est sarcastique. Et folle. Enfin ça c'est ce que disent les élèves du lycée privé de Devenford.
Beaucoup la trouve dans la lune, ou bien même sur une autre planète. Elle ne pouvait pas vraiment les contredire après tout, mais cela ne l'empêcha pas de vivre pleinement sa vie. Vivre la vie qu'elle rêve malgré que l'ombre de la mort plane constamment au dessus d'elle tel l'épée de Damoclès.
Comment réagirait les jeunes de son âge si ils savaient qu'ils ne risquaient jamais de se marier, d'avoir un travail stable et de créer une véritable famille ? Nilia ne se posait même plus la question. Elle savait que cela ne servait à rien de se lamenter sur son sort.
Ce n'était pas le genre d'adolescente se plaignant, ni le genre "princesse de son papa adoré". Loin de là. Les regards de pitié elle les connaissaient mais elle ni faisait plus attention les balayant de la main.
Nilia Marshall ne voulait pas gâcher sa courte vie à pleurnicher, elle voulait profiter du peu qu'il lui restait !
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« Bouge ta casse Talbot ! »
La voiture du blond m'empêchais de sortir de ma place de parking.
Ce qu'il pouvait être agaçant par fois !
Ce dernier ne bougeant toujours pas et bien décidée à rapidement renter chez moi je sortie de ma voiture et alla toquer à la fenêtre de Brett.
Le blond tourna lentement la tête vers moi et ouvrit sa fenêtre à la même vitesse.
« Qu'est-ce tu veux Marshall ?
–Ce que je veux moi ? Je met ma main sur ma poitrine. Je veux que tu bouge ton jolie petit cul de là. », lui dis-je en souriant de toutes mes dents.
Il soupira puis décala sa voiture sur la droite.
« Et ben voilà ! Ce n'était pas bien compliqué à ce que je vois. », dis-je toujours le sourire aux lèvres sachant pertinemment que ce l'agaçait.
Je répartie vers ma voiture puis tourna la clé. Le moteur gronda quelques seconde avant de s'éteindre.
Quoi encore ?
Je retourne la clé, la voiture ne démarrait toujours pas. Je poussa un long soupire avant de pose ma tête sur le volant en poussa un râle d'énervement. Étais-je maudite ou bien l'on me punissait pour avoir voler dans le sac à main de maman quand j'étais plus jeune ?
