Fanfiction The 100 Lisa Murphy

Chapitre 9.bis

PDV Omniscient

Il fait jour, et un convoi composé de Natifs et de personne du peuple du ciel est en route pour Tondc. Là-bas, ils bruleront le corps de Finn selon un rituel natif et la paix sera enfin possible. Clarke est au plus bas et commence à avoir des visions, elle le voit.

Bellamy : Hé, tu vas bien ?

Clarke : Ouais.

Bellamy : Tu as fait ce qu'il fallait.

Clarke : Maintenant je dois vivre avec. Tu penses toujours que cette trêve est une mauvaise idée, n'est-ce pas ?

Bellamy : Je pense qu'on gâche notre temps avec la politique alors que nos amis sont en danger.

Clarke : On a besoin de leur armée pour entrer au Mont Weather et tu le sais.

Bellamy : Leur armée s'est toujours fait botter le cul par le Mont Weather. Ce dont on a besoin c'est d'un homme à l'intérieur. Quelqu'un pour être nos yeux et nos oreilles.

Clarke : Oubli ça, c'est trop dangereux.

Bellamy : Clarke, si tu peux sortir, je peux entrer.

Clarke : J'ai dit non.

Bellamy : Puisque je ne reçois pas d'ordres de toi, je vais avoir besoin d'une meilleure raison.

Clarke : Je peux pas te perdre aussi, ok ?

Bellamy : Oui, mais je peux pas la perdre non plus. S'il y a la moindre chance que je puisse la sauver, je dois le faire.

Clarke : Tu auras plus de chance avec l'armée native de notre côté, sans elle c'est quasiment du suicide. Si tu ne le fais pas pour moi, fais le pour elle.

Sur ce, Bellamy ne trouve plus rien à ajouter.

Ellipse

La nuit est tombée et le convoi n'est plus qu'à une dizaine de kilomètres de Tondc. Ils ont montés un campement pour la nuit, peuple du ciel d'un côté, natif de l'autre. Enfin Clarke en a décidé autrement et installe couchette en plein milieu.

Bellamy : Clarke, c'est plus sûr de notre côté.

Clarke : On doit leur faire confiance, Bellamy. Il n'y a plus de côté.

Bellamy fait alors de même et s'installe près de Clarke.

Un peu plus loin, Lincoln s'installe à côté d'Octavia après avoir croiser Indra qui lui a chuchoté un mot en trigedasleng.

Octavia : Natrona ?

Lincoln : Traitre. Mon peuple me craint, ils pensent que le démon est toujours à l'intérieur.

Il s'allonge fatigué.

Octavia : Tu peux me parler, de ce qu'il s'est passé.

Lincoln : Je ne peux pas.

Octavia : Tu n'es pas ce monstre.

Elle lui caresse la crane pour l'apaiser.

Lincoln : J'espère que tu as raison.

Elle se penche pour l'embrasser tendrement puis le baiser devient plus fougueux et elle se retrouve sur lui.

De son côté, Clarke à de nouveau une vison et il est allongé derrière elle.