Fanfiction The 100 Lisa Murphy

Chapitre 3

PDV Lisa

Depuis le discours de Clarke, tout le monde travaille d'arrache pieds. Bellamy, Clarke et moi sommes actuellement en train de nous occuper des provisions.

Bellamy : 2 repas par jour pour des personnes qui travaillent aussi dur que les nôtres, on va pas se faire que des amis.

Clarke : Si il y a bien une chose que notre peuple comprends c'est le rationnement. De plus, une fois qu'on ferme ces portes, ce sera 1 repas par jour pour les 5 prochaines années.

Raven : Plutôt 1 repas tous les deux jours, les équipes de chasse reviennent avec de moins en moins chaque jour. Grâce à ton amie Niylah, nous conservons plus de viande que jamais, mais ce n'est toujours pas assez.

Raven qui parlait à Clarke se retourne soudainement vers Bellamy et moi.

Raven : Sans un moyen de produire de l'eau, on ne peut pas cultiver nos propres protéines comme sur l'Arche. Rappelez-vous de ça quand on sera affamés.

J'ai l'impression qu'elle nous en veut un peu.

Bellamy : Je ne serais pas affamé parce que je ne serais pas à l'intérieur.

Je ne suis pas surprise pas sa réponse, Bellamy ne pense pas mériter sa place dans le bunker, mais si lui ne la mérite pas, moi non plus. Et puis gagner une place pour vivre sans Bellamy, nan merci.

Clarke : Bien sûr que si que tu y seras.

Bellamy ne réponds pas, Raven en profite pour attaquer.

Raven : Est-ce que ça veut dire que tu as fait la liste ?

Clarke : Non. Qu'en est-il de l'eau potable ?

Raven se rapproche de Clarke, visiblement sur les nerfs.

Raven : Clarke ne change pas de sujet. On a besoin de savoir qui sera à l'intérieur de ces portes quand les radiations arriveront.

Clarke : On n'a pas besoin de le savoir maintenant.

La conversation est interrompu par une annonce.

Homme : Une aide médicale est requise à la porte principale. Il semblerait qu'on ait des personnes malades derrière.

On va voir immédiatement ce qu'il se passe, une armée de gardes sont postés à l'orée de la porte principale, des personnes crachant leur poumons sont juste devant les portes.

Garde : Nous vous approchez pas plus près !

Je reconnais alors Nyko qui porte une enfant dans ses bras et Luna à ses côtés.

Nyko : S'il vous plait, ils ont besoin de la médecine de Skaikru.

On essaye de se frayer un chemin entre les gardes.

Bellamy : Bougez, reculez-vous.

Un homme soutenu par Luna vomit devant nous, nous restons à une distance raisonnable, nous avons déjà vécus une épidémie et je n'en garde pas de très bon souvenir.

Clarke : Nyko...

Miller semble avoir suivi un chemin de pensée similaire au mien.

Miller : Et si les natifs attaquent, comme ils ont fait avec Murphy.

Clarke s'avance vers eux, moins prudente que nous, désireuse d'aider.

Clarke : Que leur ait il arriver ?