La Vengeance De Jace Andersson

chapitre 40

               PDV DE danie

Depuis 6 mois j'ai l'impression de mourir à petit feu, pourquoi ? Eh bien c'est tout simple, mon psychopathe de marie ne me laisse plus respiré déjà que je suis condamné à la maison parce que selon monsieur le docteur m'a recommandé beaucoup de repos vue mon état alors il profite pour m'en fermer dans sa grande tour comme la pauvre raiponce, je comprends mieux ce qu'elle a dû subir hein, même s'il est trop chou quand il se plie en 4 pour me satisfaire, j'en peux plus.
Je peux à peine resté sur le balcon sans qu'il ne pique une crise, sérieux.
Mais aujourd'hui c'est différent pourquoi ? Parce que je suis bien décidé à sortie d'ici même s'il faut employé la manière forte.
<<faut dire qu'avec ta force de mouche le problème sera vite réglé hein>> ce moque ma conscience de merde, je sais qu'elle a raison mais j'en peux plus je vais devenir folle si ça continue, et puis c'est bientôt son anniversaire et j'aimerais bien lui faire une surprise. Alors d'un pas décidé je rejoint son bureau.
Je suis devant son bureau depuis 15 minutes à tourné en rond et je ne trouve même pas la force de toqué, <<alors pour le courage faudrait repassé hein>> , non mais tu vas la fermé oui.
Ok c'est seulement mon mari pas mon père donc je n'ai rien à craindre nor.
Alors que je m'apprête à enfin frappé j'entends sa belle voix grave qui me fait toujours autant d'effet m'autoriser à entrez.
Mais comment il a sur que j'étais là ?  Je me reprends et entre timidement dans son entre, il a le regard rivé sur moi et ne me lâche pas, ce qui me fait rougir encore plus, il me déshabille carrément du regard ce qui à pour but de mettre tout mes sens en ébullition, on dirai un prince des ténèbres assis majestueusement sur son trône.
<<mais comment il fait pour être aussi sexy bon sang>> je bave littéralement, j'en oublie même le but de ma venu, jusqu'à ce qu'il me ramène à la réalité avec son sourire en coin ultra sexy.
— tu bave sur mon tapis bébé, dit il en souriant de plus belle le regard remplir de malice, je sais que je te fais de l'effet mon coeur mais si tu continue de me regarder comme sa je ne répond plus de rien. Rajout il avec une voix super grave, lente, sensuel comme une caresse sur ma peau ce qui me fait rougir encore plus.

Oh mince comment il réussi à me faire mouillé rien qu'avec un regard bon sang.
<<euh tu n'étais pas venu pour quelque chose toi?>>
— euh oh...je..  Enterré moi tout de suite bon sang.
— alors qu'es-ce que je peux faire pour ma merveilleuse épouse ?
— en..en fait je venais te dire que je sortais, j'ai deux ou trois course à faire. A plus. Dis je rapidement avant de sortie précipitamment sachant déjà ce qui devait suivre vu son froncement de sourcils.
J'entends ces pas lourds derrière moi alors j'essaie de vite atteindre l'escalier pour m'en fuir de cette tour infernal mais avec mon gros bidon alors comment vous dire.... C'est tout simplement impossible. Et je me fais vite rattrapé.

— quelqu'un peu allé acheter ce dont tu as besoin donc pas besoin que tu mette le pied dehors, tu sais très bien que le docteur t'a demandé de te reposé.
— non non non. Je veux y aller moi même c'est..c'est très important je...
— et je peux savoir où tu veux aller ?
— fais des courses je t'ai dire, s'il te plaît.
Il fronce les sourcils, mais ne me lâche pas pour autant.
— je peux savoir ce que tu me caches?
— qui moi? Mais rien du tout. Je souffle puis reprend, bébé en fait je voudrais juste prendre un peu l'air j'en peux plus d'être enfermé, et puis tu te rappel qu'on en avait parlé nor un compromis a été faire et j'ai accepté d'arrêter de travailler jusqu'à la naissance du bébé alors je veux plus être retenu prisonnière, alors pour les 2 heures qui vont suivre je ne te veux pas sur les fesses et encore moins tes chiens de garde c'est d'accord ? A plus je t'aime.

Tout au long de mon discours sa prise c'est un peu lâché et j'en ai profité pour partir en courant c'est, et voilà comment on s'échappe des griffes d'un tyran.

Bon sang j'en peux plus, finalement j'aurais mieux faire de resté bien au chaud à la maison moi, je suis épuisé et je meurt de faim. Je suis dans un petit café tranquille a attendre ma commande depuis plus de 15 minutes déjà<< ils font quoi nom de dieu>>.
— en voilà une ravissante fleur, je peux savoir ce qu'une tel beauté faire toute seul? Me dit une voix qui essaie je crois d'être sexy.
Oh non, technique de drague à deux ball. Je ne prends même pas la peine de regardé le trouble faite qui viens de ruiné mon moment de plaisir et répond froidement histoire de le faire dégagé au plus vite, déjà que j'ai faim.
— la fleur est marié, enceinte et attend son mari alors bouge ton cul et dégage.
Ma réplique semble beaucoup l'amuser car au lieu de partie il prend place en face de moi, je souffle et me care sur mon fauteuil en portant enfin mon regard sur le type que l'impression d'avoir déjà vu quelque part mais je ne sais où.
— toujours aussi belle ma petite danie.
Comment il connait mon nom lui déjà ?
— tu n'as pas changer, bon peut être un peu. Dit il en avisant mon gros ventre, son regard me fait totalement flipper et mon bébé est d'accord avec moi, donc c'est tout naturellement que je me lève attrape mes courses et me dirige vers la sortie pensant m'être débarrassé de lui mais j'ai à peine le temps de franchir la porte que je me sens tiré violemment et des lèvres se posent sur les miennes, j'essaie de le repoussé mais il est plus fort que moi alors je bouge comme une folle et quand il me lâche enfin je lui administre une grande claque qui raisonne puissamment.
— Vous êtes un grand malade espèce de cinglé,  approcher moi encore une fois et je jure que vous allez regretter toute votre misérable vie salopard. Hurlait je de toute mes forces, quand je me retourne pour prendre un taxi je remarque une voiture non loin de la scène avec un passager a bord qui me fixe l'ère malveillant, et là je comprends.
Oh oui je comprends mieux.

Mes larmes montent instantanément quand je vois ma belle mère qui me fixe avec un grand sourire aux lèvres.

Je me suis faire avoir....