chapitre 44

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— j'espère que tout est prêt pour ce soir je ne veux aucune erreur Owen.

— je sais mon vieux ne t'inquiète pas tout est sous contrôle, mes hommes sont partout et prêt à intervenir en cas de souci ne t'inquiète pas.
— Ok, je dois te laisser à ce soir.

Toc toc

— tu peux entré cara, me dit il ce qui me surprend toujours autant, comment il fait pour savoir que c'est moi à chaque fois. J'entre timidement dans son bureau, j'ai toujours cette sensation de ne pas être à ma place quand je viens ici, je me fige à l'entrée et l'étudie il semble fatigué, tendu, il m'inquiète vraiment depuis qu'il est rentré de son voyage il semble tendu et ceux encore plus depuis que nous avons parler de mes parents, j'essaie de comprendre ce qui ce passe mais il me met volontairement à l'écart en disant que c'est pas important mais je le sens bien qu'il ce passe quelque chose de grave et ce pressentiment qui ne me quitte pas depuis quelque temps, j'ai peur qu'il lui arrive quelque chose.

— viens mon coeur, dit il en me sortant de ma contemplation une main tendu vers moi je m'avance vers lui et prend sa main tendu pour m'installé sur ces genoux, il pose sa main sur mon ventre et commence à le caressé d'un ère absent, je passe ma main dans ces boucles noir histoire de le détendre un peu.

— mon amour, qu'es ce qui ne va pas? Jace je m'inquiète pour toi tu sais. Parle moi s'il te plait.

Son corps se fige quelques second avant qu'il me lâche dans un bref soupir

— tout va bien ne t'inquiète pas, c'est juste une affaire urgente que je dois réglé au plus vite mais tout va bien.

— ne te fou pas de moi Andersson, je le sens bien qu'il y'a autre chose que tu refuse de me dire je ne suis pas stupide tu sais. Je t'ai entendu parler avec un certain Owen quand je suis arriver et hier tu étais entrain de parlée avec damon de ta famille, qu'est-ce qui cloche hein?

Il me lance un regard noir mais ne me répond pas pour autant, il me fixe un long moment avant de lâché d'une voix froide.

— tu écoutes au porte maintenant cara?
— q-quoi? Mais non, j'ai écouter sans le fait exprès, mais j'ai clairement compris que quelque chose ne va pas jace, pourquoi tu refuse de me parler quand tu as un soucis hein? Je pensais que..

— sa ne te concerne pas, me coupe t'il toujours aussi froid ce qui me fait vraiment mal, écoute nous irons chez le docteur demain aujourd'hui je suis un peu surcharger et nous devons nous rendre à une réception ce soir j'appelle Lucas pour qu'il te raccompagne on se voir ce soir, tiens toi prête pour 19h s'il te plait.

— jace. Soufflait je au bord des larmes, pourquoi il me parle comme sa? Comme si j'étais une inconnue ? Pourquoi il m'écarte encore de ces problèmes ? Je me lève fébrilement de ces genoux récupère mon sac et me dirige vers la porte sans ajouter mot.
Je l'entends ce relevé vivement de son fauteuil en jurant comme un beau diable.
— bébé, je suis désolé, pardonne moi mon coeur. Souffle t'il en me retenant par le poignet pour me collé à lui, je sens son souffle dans mes cheveux mais je refuse de me retourner, même si je sens bien qu'il regrette je refuse de lui parler maintenant je suis trop en colère pour sa.
— je serais prête à 19h ne t'inquiète pas, et tu as raison jace tes problèmes ne me concerne pas, après tout je ne suis que la mère de tes héritiers alors laisse moi tranquille.

Oui je sais c'est un coup bas sa mais juste pour un instant je voudrais aussi qu'il ressente cette même douleur qui me transperce, on dirai bien que sa marche car il est complètement figé et je sens que sa respiration s'accélère signe qu'il est énervé.
— qu'est-ce que tu viens de dire? Répète.

<<Merde c'était vraiment le jour pour se disputé hein bien jouer Danie>>

— jace écoute...

— non tu la ferme, je fais tout sa pour vous , pour vous protégez tu pense vraiment que si tu n'étais que la mère de mes héritiers je ferais tout ces sacrifices pour toi? Je serais venu te retrouver et ramper vers toi hein, c'est ce que tu pense danie. Hurle t'il à m'en brisé les tympans m'arrachant un sanglot, les douleurs dans mon bas ventre me font grimacer mais je ne montre rien et essuie mes larmes.

— je suis désolé jace, j-je ne voulais pas dire sa, j-je cherchais juste à te comprendre et t'aider mais visiblement j'ai échouer, j-je vais te laissé. Dis je en sortant rapidement de son bureau en me traitant de tout les noms, quel idiote.

Je sors de l'entreprise et me permet enfin de tout lâcher je déteste quand on se dispute et cette fois c'est peut être ma faute, je me sens fatigue d'un coup tout ce que je veux c'est rentré à la maison, je regards partout et il y'a aucune trace de Lucas.

<<Peut être il est aller faire un tour, c'est bien ma veine>>.

Je marche en direction du parc j'ai besoin de réfléchir et me vidé la tête et mes bébés qui s'agitent, j'ai mal merde j'ai le corps lourd et la tête qui tourne, j'essaie de marcher vers le banc le plus proche quand une voiture noir viens subitement se garé devant moi et je suis tiré violemment à l'intérieur je vois à peine le visage de celui qui m'a tiré que je commence à me débattre en criant quand soudain je sens une douleur au niveau du cou et cette voix.
— fait de beau rêve ma belle, à ton réveille on va bien s'amuser toi et moi.

Non pitié pas ça, mes bébés, Jace au secours. Fut ma dernier pensé avant de sombré sous les rires sadiques de mes kidnappeurs

La Vengeance De Jace AnderssonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant