La Vengeance De Jace Andersson

chapitre 4

Le coeur battant à un rythme effrénée, je me dirige vers son bureau

<<pourquoi me convoque t'il..qu'es ce qu'il me veut, mon dieu aide moi>>

Tellement de questions se bousculaient dans ma tête que je n'ai même pas remarqué que j'étais déjà arriver.

Une fois devant LE bureau je pris une grande inspiration et je frappe trois coups presque inexistant à la porte en attendant la réponse..un bref

— Entrez..dur et déterminé se fit entendre.

Je pousse la lourde porte peint de noir et pénètre dans se bureau luxueux et froid. Si froid que j'en frisonne tellement il est sans vie, sans chaleur, à l'image de son propriétaire enfaite.

Quand mon regard trouva ces yeux noir qui m'ont tant captivé par le passé  j'ai cru avoir faire un bon dans le passé, quand ces même yeux noirs m'avaient regardé avec tellement d'insistance que j'en avais rougir comme une ado <<remarque tu l'étais hein>>
Ce même regard noir et si troublant, est posé sur moi en se même moment mais la lueur qui y danse me faire clairement comprendre qu'il me déteste au plus haut point, il me regarde actuellement avec tellement de mépris que mon coeur rate plusieurs battements, plus aucune trace de ce que nous avons vécu ne traversa ces yeux, il était impassible, vide d'émotion comme un robot, mon coeur se fit encore plus douleur quand les flashs de notre séparation me reviennent en mémoire, le souvenir de tout ce que j'ai perdu me frappe de plein fouet et je serre les poing pour effacé sa de ma tête et me reconnecte à celui qui est en face de moi, il est plus grand que dans mes souvenirs, plus musclé aussi, j'ai l'impression que cet chemise qui referme sa musculature va cédé à tout moment.
Et ce corps, oh seigneur ce corps magnifique qui m'appartenait autre fois, ce corps que j'ai eu l'occasion d'explorer au millimètre près, que j'ai touché, caressé, embrassé et...
<<Aller reprendre toi danie c'est pas le moment de fantasmé sur ton ex>> me dit ma conscience.

Je me racle la gorge ,souffle un bon coup et m'avance droit comme un piquet. 
— Bonjour Mr, Vous m'avez demandé ? Dis-je avec une voix neutre ,tout le contraire de la valse qui se danse dans mon esprit en se moment.
Ces yeux ne me quittent pas d'une seconde comme s'il était entrain de m'étudier, de mémorisée mon corps, ce qui me rend plus mal à l'aise que je ne le suis déjà j'ai l'impression de passé sous un scanner tellement son regard est intense.
Quand je perdais espoir qu'il puisse me dis quelque chose il prit enfin la parole.
— Asseyez-vous.. Me dit-il d'une voix froide et dur.
Je ne me fais pas prié tellement mes jambes tremblaient, j'avais peur qu'elle me lâche à tout moment.
— Danielle Storne c'est bien sa? Demande t'il d'une voix sèche en regardant mon dossier.
Il agit comme si on ne se connais pas. Très bien ça me va. 
— Oui Mr. dis-je d'une voix toujours neutre. il est hors de question qu'il voit à quel point je suis mal d'être en face de lui, même si mon coeur me crit de sortie de ce bureau en courant pour être loin de lui, être en face de lui ranime les douleurs que j'essaie d'effacer depuis deux ans déjà, mais je ne fais rien et reste le plus calme possible.
— Alors c'est à vous que je dois m'adresser en ce qui concerne les comptes de l'entreprise, dit-il toujours avec sa voix grave et sèche.

Bien malgré moi je me revois 2ans plutôt quand il disait m'aimer avec cette même voix rauque et plus douce.
Je me reprendre bien vite.
— Oui Mr.
— Alors vous pouvez m'expliquer tout ces failles que je retrouve dans le dernière bilan?
— Mr je vous pris de m'excuser mais j'ai vérifié 3 fois ce bilan et il y'a aucun problème. C'est bien le taux de vente du mois passé, dis-je en le regardant droit dans les yeux ce qui semble l'agacer.

— Ce que moi je vois surtout c'est que vous êtes incapable de faire votre travail normalement, alors..
— Non Mr j'ai toujours faire mon travail correctement et je suis sûr qu'il y'a aucun soucis avec celui ci. Le coupais-je rapidement

Et je crois qu'il n'a pas trop aimé que je lui coupe et le regard noir qui a accompagné cet excès de courage me le fait bien comprendre.