La Vengeance De Jace Andersson

chapitre 9

Je reste figé j'ai l'impression que mon pauvre cerveau déraille, c'est la seul explication possible.
Il ne peut pas avoir dire ce que j'ai cru entendre hein, nous sommes bien d'accord ?
Je crois qu'il perd la tête, ou bien c'est moi qui me tourne totalement un film dans ma tête.
Cet homme qui m'a mise à la rue sans me laisser une seconde pour m'expliquer en me fessant clairement comprendre que j'avais intérêt à disparaître de sa vie ne peut pas avoir dire sa hein?
Visiblement dans mon moment d'égarement il a eu le temps de passé commende, parce que je reviens à moi quand je vois le serveur posé un plat en face de moi.
— Quoi? dis-je enfin dans un souffle
— Tu m'as très bien compris ma belle ne m'oblige pas à me répété, tu sais que je déteste ça.
Je secours la tête en éclatant de rire, je ne peux plus m'arrêter il vient de me sortie la blague de l'année, quelques clients se retournent vers notre table mais je m'en moque, il est totalement fou mon dieu.

Après quelques minutes je trouve enfin assez d'air pour m'arrêter.
— Tu pense vraiment que je vais passé une nuit avec toi? plutôt mourir jace, dis je en le regardant droit dans les yeux.
Il abord toujours ce même sourire qui n'atteint pas ces yeux.
— C'est ce que nous verrons, pour l'instant mange.
— Mais c'est déjà tout vu jace, plus jamais je ne te laisserai m'approcher, c'est terminé tu te souviens ?
— Je t'ai demandé de manger. Dit il froidement j'en ai des sueurs froides.
Je dois avouer que son regard me fiche un peu la trouille mais pas plus hein.
Je plonge alors mon regard dans mon plat, bien décidé à ne plus le relevé...

Au cours du repas tout était calme personne ne parlait, moi je tentai du mieux que je pouvais de réprimé cet douleur qui me comprimait le coeur, je sens bien son regard sur moi mais il est hors de question qu'il lise à travers moi comme dans le passé, quand il pouvait détecté quand je me sentais mal.
Quand le dîner s'achève enfin, j'attends qu'il prenne la parole pour enfin rentré chez moi, mais dès qu'il l'a prise j'ai vraiment regretter avoir eu cette pensé.

— Relève la tête tout de suite, dit il froidement, mais je ne bouge toujours pas jusqu'à ce que je vois des feuilles dans mon champ de vision

— Signe, reprend t'il avec toujours la même froideur dans la voix.
Je relève enfin la tête ce que je vis dans son regard me terrifie encore plus, le vide.

— Qu'es ce que c'est? Demandais d'une petite voix

— Un contrat stipulant que tu vas passé des nuits avec moi jusqu'à ce que j'ai un héritier.
Cet fois si le choque fut telle que j'ouvris grand les yeux et la bouche, non mais il est malade lui. Les dents serré je lui répond le plus froidement que je pus

— Non, jamais! Mon regard toujours droit dans le siens

— Oh vraiment ? Avec toujours se fichue sourire en coin

— Oui jamais je ne porterai tes enfants, tu n'as qu'à le demandé à une de tes poupées je suis sûre qu'elles en seraient ravir.

— Vois tu ma belle, je te veux toi alors va être très gentille et signé.

— Pourquoi ? Criais je

— Pourquoi? En levant un de ces épais sourcils noir. Parce qu'il y'a une rumeur qui dit que tu m'as quitté parce que je ne pouvais pas te fait d'enfants et puis, il me faut des héritiers, au plus vite.

Non, il ne peut pas me faire ça, pourquoi maintenant? Et pour une foutue rumeur? Depuis quand il se soucis de ça lui.
Je secours de la tête, je refuse d'y croire et pourtant son sourire satisfait me dit le contraire.

— Tu veux me faire payer c'est sa? Tu veux me faire payer pour quelque chose que je n'ai pas faire?

— J'ai toujours admiré ton intelligence cara, mais maintenant que tu as tout compris, je te demande de signé. Sa voix était plus dure et froide que jamais, toute traces d'humour avait disparu de son visage.

— Non je refuse, jamais. criais je d'une voix sourde.

— eh bien chérie tu n'as pas trop le choix vois tu, ça serai dommage que tes amis se retrouvent sans emploi après tout les effort qu'ils ont fournir pour en arrivé là, tu ne pense pas ma belle?