La Vengeance De Jace Andersson

chapitre 18

Je suis figé, ma respiration est bloqué, le temps semble suspendu je n'entend même plus le bruit des couverts autour de moi, je garde mes yeux fixer sur angèle qui me lance un regard désolé, je n'ose même pas bouger de peur de me rendre compte que je ne suis pas dans un rêve.
Nath a les yeux rivé sur la nappe blanche de la table, je vois sur leurs visages du regret, j'entends la chaise près de moi être tiré, je bâts des cils pour que mes larmes ne coulent pas et essaie de garder la tête haute pour ne pas flancher.
— danie je... dit celle que je croyais être ma soeur, mais je la coupe d'une main levé ne voulant rien écouter de leurs part à tous, je me lève ramasse ma pochette pour partie mais une mains dur et ferme se rabat sur mon poignet me provocant des frissons sur tout le corps, j'essaie de me dégagé mais il raffermit sa poigne, n'ayant plus le choix je souffle imperceptiblement et tourne ma tête vers lui, il me regarde sévèrement, mais j'ai l'impression que quelque chose à changer dans ces beaux yeux noir qui me fascine toujours malgré moi, comme si une lueur indescriptible y dansait,
<<tu te fais des film ma pauvre et puis ce n'est pas le moment>> me gronde ma conscience.
— lâche moi tout de suite jace, dis je très lentement en articulant bien chaque mots, mais loin d'être intimidé il n'en fit rien on dirai même que ça l'amusait, il plis des yeux comme pour m'avertir de quelque chose.
— tu devrais écouté ton amie. Me répond t'il le plus calmement possible, pour qui se prend t'il hein.
— je t'ai demandé de me lâcher, si tu ne veux pas que je fasse un scandale tu as intérêt à le faire.
Il se lève et me surplombe de toute sa hauteur, sa carrure, son charme, son parfum épicé vient titiller mon nez, ma respiration se fait plus courte, mes yeux sont rivé aux siens comme si rien n'existaient autour de nous comme la toute première fois que je l'ai vu mon coeur s'emballe, pourquoi me fait il tant d'effet seigneur, mes larmes me montent aux yeux et j'ai de plus en plus de mal à les contenir

— danie écoute nous s'il te plait et en suite si tu décides de ne plus jamais nous voir je le comprendrai mais s'il te plait écoute nous juste dix minutes, nous interrompt nath avec tellement de tristesse dans la voix, je me retourne vers lui, et voir angèle dans ces bras en pleure ce qui me déchire le coeur, alors pour elle je ravale ma douleur et me rassoir la tête baissé sans un mot, je le sens enfin me lâché.

— je suis désolé de t'infliger sa ma danie, je sais très bien ce que tu as traversé mais je ne pouvais pas repoussé ce dîner indéfiniment, on n'avait pas l'intention de te blessé ou même te piégé je t'assure. Angèle était contre cet idée mais je n'avais pas le choix, notre société traverse quelque problèmes financiers en se moment et il a racheté la boite il y'a peu de temps, mais pour finaliser les dernières partie  il a soumit une condition..
— une condition ? Dis je dans un souffle en relevant enfin la tête, ils me regardent tous, mais je sens encore plus le regard de jace me brûlé la joue mais je m'obstine à ne pas le regarder

— oui, que tu sois présente. dit cette fois si angèle d'une toute petite voix éteinte en jetant un regard noir à jace.
— et maintenant qu'ils ont accomplir leurs parts du marché c'est à mon tour, renchérit jace en sortant quelque feuilles de la poche de sa veste.

Quand je me tourne vers lui je constate que ces yeux sont toujours sur moi plus intense que jamais.
Moi qui pensai ne plus jamais le revoir et bien c'est rater.
Il est plus beau que jamais, il a laissé sa barbe poussé ces traits n'ont jamais été plus figé, son regard perçant est marqué par des cernes comme s'il n'a pas dormir pendant plusieurs semaines, ces muscles enfermé dans ce costume semble sur le point de lâché, et cette voix grave, virile, envoûtante qui m'avait tant manqué.

Je reviens à moi quand je vois un sourire en coin apparaître sur le coin de ces lèvres sensuelles, je me retourne vers mes amis en me raclant la gorge les joues en feu. Qu'es ce qui m'a prise de le regardé comme sa merde.

— s'il te plaît ne m'en veux pas, me dit angèle le regard remplir de tristesse,
— ooh mon ange, comment pourrai je t'en vouloir, je..je comprend ne vous en faites pas, et puis vous avez tellement faire pour moi. Dis je en prenant leurs mains qui étaient au dessus de la table et les serrent très fort.
— c'est vrai? tu me pardonne? reprit elle en éclatant en sanglot
— bien-sûr, répondis je d'un sourire, nath me remercie silencieusement d'un simple regard, puis reporte son attention à ma gauche, on dirai qu'ils sont entrain de discuter silencieusement puis nath se lève en emportant angèle avec lui, quand je veux en faire autant je sens une mains se posé sur ma cuisse, je tressailli.
— pas toi cara, toi et moi avons à parler...