La Vengeance De Jace Andersson

chapitre 14

On reste là, à se regarder pendant une dizaine de minute, lui semble satisfaire de ce qu'il voit, moi je suis juste une coquille vide qui seconde après seconde se brise un peu plus.
- monte. M'ordonne t'il sur un ton neutre, et entre dans la première porte sur ta gauche. Je le regarde encore quelques secondes dans les yeux avant d'exécuter son ordre sans un mot, si je l'ouvre, je me remettrai à pleuré , mais je ne lui ferai pas se plaisir.
Je suis en face de cette porte noir, j'entre le ventre noué, je ne m'attarde pas sur la décoration et m'installe sur le lit en fixant la porte je veux juste en finir avec toute ça et rentré chez moi, quelques minutes plus tard il rentre dans la chambre, mon coeur se serre en me disant que nous sommes comme deux étrangers, il est tellement absorbé par son désir de vengeance qu'il ne voit même pas le mal qu'il est entrain de me faire, il retire son tee-shirt et son pantalon, et reste en bermuda, il se dirige vers moi et je ne bouge toujours pas de ma place, j'essaie de contrôler les battements irréguliers de mon coeur, mais rien a faire, il est déjà lancé dans une course folle.
- Debout. Je me relève sur mes jambes tremblante et reste figé je veux partir d'ici, seigneur, je réalise à peine quand il passe ces mains sur mon corps, me caresse les seins, je n'en peux déjà plus alors je ferme les yeux, je refuse d'assisté à ça, sa ne peu pas être le même homme que j'ai aimé <<impossible>>.

Je sens la robe quitté mon corps, je n'y met aucune résistance, à quoi bon je ne peux m'en fuir.
Il dépose des légers baisé sur mon cou, je frissonne à son contact, mon corps réagit malgré moi alors que je fais mon possible pour rester de marbre, il passe une main sur mon seins droit et me le malaxe, il prend l'autre bout dans sa bouche, je lâche un gémissement sourd que je bloque tout de suite avec ma main, je ne le voir pas mais je sais qu'il est entrain de sourire, il connais chaque point sensibles de mon corps et en joue. Il continue cette torture pendant au moins cinq minute, il voulait m'entendre gémir et il a réussi, ma respiration est saccadé, mes battements de coeur ont redoubler mais je n'ouvre toujours pas les yeux .
Il me couche sur le grand lit et me retire ma petite culotte rapidement comme s'il était impatient d'en finir, j'ai à peine le temps de mettre mes pensées en ordre qu'il était déjà au dessus de moi, son sexe posé sur le mien, je ne retiens plus mes larmes quand il rentre en moi d'un coup sec, je pousse un gémissement de douleur parce que ça fesais longtemps que je ne l'avais pas fait alors une légère douleur se fait ressentir et tout mon être en a réagir, mais il ne s'arrêta pas pour autant et me donne des coups de bassin lent et profond, je suis haletante et gémir de plus en plus fort quand il augmente le rythme mais cet fois de plaisir, lui il pousse des grognements, et enfouis sa tête dans mon cou, sa main joue avec mon sein et il accélère encore plus, mon corps ne m'obéir plus comme s'il avait sa propre volonté, je noue mes jambes autour de ces reins et mes mains dans ces cheveux. Je sens que je viens, et sa voix rauque contre mon oreille me faire savoir que lui aussi alors il pousse encore plus fort et plus vite, quand la jouissance nous balaie enfin en emportant tout sur son passage je suis incapable de retenir mon gémissement tout en m'accrochant à ces épaules.
Le souffle court, j'essaie de reprendre mes esprits, je suis épuisée jace sort de moi sans un mot, ni un regard il s'habille et sort de la chambre en claquant la porte. J'éclate en sanglot, en me cachant avec le drap en prenant conscience de ce qui vient de se passé, <<c'est finir, rentre chez toi avec le peu de dignité qui te reste allez..>> me dit ma conscience, je nettoie mon visage et me lève toujours emballé dans le drap, je cherche des yeux le torchon qui me couvrait une fois trouver je l'enfile rapidement et me dirige vers la porte, je descend l'escalier en vitesse et récupère mon sac à l'entrée.
J'appelle l'ascenseur qui ne tarde pas à arrivé, je m'en gouffre à l'intérieur et appuie sur le dernier bouton, quand les portes se referment je l'aperçois sur l'escalier il me jette un regard noir mais je m'en moque je veux juste sortie d'ici..

Quand j'arrive chez moi je ferme la porte et me laisse glissé lentement contre celle ci une mains sur le front, mon coeur est encore plus briser qu'avant, je me sens sale, tellement sale, j'ai honte de moi, honte d'avoir cédé au plaisir, honte d'avoir aimé ça, je cours vers la salle de bain, j'entre rapidement dans la douche et me frotte énergiquement pour retiré cette sensation sur mon corps, cette sensation que ces mains sont toujours sur moi. Après 20 minutes je sors et m'en roule dans une serviette, je me jette sur mon lit et m'endors épuisé par mes larmes.
Maintenant je peux reprendre le cours de ma vie, enfin j'espère...